- 2004 -
Les boites de nuit, ce n’est vraiment pas mon
trip. Mais ce soir, j’accompagne un pote en pleine séparation d’avec sa copine.
Il voulait sortir pour se changer les idées. J’ai suivi…
Au bout d’une heure d’ennui et trois bières avalées,
je prends la direction des toilettes. Je me fraie un chemin entre ces corps
dansant et se collant lascivement les uns aux autres. En chemin, je croise deux
mecs ; deux musclors transpirants qui faisaient manifestement un concours
du plus con en lançant des commentaires sur les gens présents dans la boite. Je
les ignore et gagne enfin les toilettes.
Après mettre soulagé des litres de bières
absorbées, je me rafraichis un peu le visage au lavabo. Mais c’est au moment où
je me retourne pour sortir que je me retrouve nez à nez avec l'un des deux gars
en question. Son pote se tenant juste derrière avec un sourire qui ne présage
rien de bon.
- Dis donc mec, t'as demandé la permission à qui pour venir dans ces
chiottes ?
- Pourquoi ? bredouillai-je sans trop savoir si c'était sérieux. Il
faut une permission pour venir pisser ici ?
J'esquisse un petit léger sourire, un peu pour me rassurer mais plus pour
leur laisser imaginer que je prends ça avec amusement. J’entreprends de
contourner le mec pour sortir.
- Excusez-moi, je dois y aller...
- Ta gueule !
Le premier mec, celui qui était en face de moi se décale légèrement pour
m’empêcher de passer. Il me pousse en arrière d’une main ; ce qui me fait
reculer contre son pote qui m’attrape aussitôt les bras pour m’immobiliser.
- Faut que tu paies le prix maintenant, me lance ce dernier en continuant
à se marrer et en me planquant le dos contre son torse.
Je sens déjà sur mes fesses une bosse bien rigide dans son pantalon. Le mec
en face de moi se retourne en sortant un trousseau de clés de sa poche et
verrouille la porte des toilettes.
- Hey ! Vous faites quoi, là ? dis-je en essayant de me
libérer.
- On t’a pas déjà dit de la fermer, salope ?
En rangeant les clés dans sa poche, le mec s’avance vers moi et me met
d'entrée une main au paquet pendant que, de l'autre, il me tire les cheveux en arrière,
plaquant ainsi ma tête contre son épaule. Je peux sentir leur odeur virile. Je
commence à transpirer…
- Tu vas commencer par nous sucer et, si tu fais ça bien, peut-être qu’on
te baisera en douceur.
Le mec derrière moi me force à m’agenouiller devant son pote qui était en
train de défaire sa ceinture de pantalon. Il dégrafe ses boutons de braguette
et sort une queue à moitié bandée mais déjà très volumineuse. Il me la met dans
la bouche en appuyant ma tête contre lui.
- Vas-y ! Suce-moi la bite, salope ! J’ai envie de
gicler !
Je sens sa queue gonfler dans ma bouche. Ce n’est que quand elle atteint
sa taille et sa raideur maximale qu’il commence à bouger son bassin pour me
baiser la bouche avec des va-et-vient dépourvu de toute douceur.
- Et tu fais pas de connerie, t’as compris ? Tu suces et tu
t’appliques !
Il me tient fermement la tête pour imposer un rythme. Son pote, relâchant
son étreinte derrière moi, s’accroupit et commence à défaire mon pantalon. Puis
il y glisse une main pour me rentrer un puis plusieurs doigts dans mon trou.
- Tu mouilles déjà, salope, me susurra-t-il, approchant sa bouche de mon
oreille.
Celui qui me baise la bouche se met à gémir en poussant des râles virils.
- Ouais, ma salope, tu vas me faire jouir ! Ouais…
Et je reçois tout son jus au fond de ma gorge. Comme il ne s’est pas
retiré, je suis forcé de tout avaler pour ne pas m’étouffer.
- Mais dis donc, on dirait qu'elle aime ça en plus. Elle a tout avalé.
- Elle a intérêt d’aimer ça parce que c’est mon jus qu’elle va avaler
maintenant.
Ils se mettent à rire ensemble. Celui qui était derrière moi me fait
pivoter vers lui et me fourre directement sa queue dans la bouche.
- Ah ! Putain, c’est bon ! C’est pas Valérie qui me sucerait
comme ça !
Et ils rient de plus belle.
L'autre, visiblement pas entièrement satisfait de s’être soulagé dans ma
bouche, entreprend de s’intéresser à mon cul. Il me prend par les hanches et me
fait mettre debout, me faisant lâcher pour le coup la queue que j’avais en
bouche. Il me fait pencher le tronc vers son pote qui me prend aussitôt la tête
entre ses mains pour la diriger à nouveau vers sa queue. Il appuie ma tête
contre son bas-ventre, me forçant à engloutir son sexe prêt à éclater. Je me
tiens à ses hanches pour ne pas tomber. Le mec derrière moi me fourre sans précaution
pendant que je m'occupe ainsi de son pote. Je suis déjà bien lubrifié et ses
doigts ont préparé le terrain. Sa pénétration se veut féroce mais, en réalité,
je l'accueille avec plaisir. Ils déchargent presque en même temps. L’un dans ma
bouche, l’autre dans mon cul.
- Tu vois, on n’a pas été méchants, dit l’un d’eux en se rhabillant.
- On va même te laisser le temps de te rhabiller comme il faut avant
d’ouvrir la porte.
- Ouais, faudrait pas donner des idées à d’autres mecs. Faudrait pas
qu’ils mélangent leur jus au nôtre.
Ils se mettent à rire bêtement. Une fois rhabillé, celui qui avait les
clés ouvre la porte. Il me lance un clin d’œil et sort avec son acolyte tout sourire
aux lèvres. Je rejoins mon pote sans rien oser dire de ce qui vient de
m’arriver. J’affiche moi aussi un grand sourire...