- 2000 -
Dimanche, 17H00. Ça fait près d’une heure que
Philippe me baise comme un fou. Nous sommes dans son salon. Moi, je suis sur le
canapé, allongé sur le dos et mes jambes sur ses épaules. Il me fait penser à
un acteur de film de gladiateurs. Le genre musclé et poilu. Il m’encule comme
un vrai mâle en rut. Ma queue se gonfle sous ses coups de reins. Il me parle
sèchement, me dit qu’il aime mettre sa queue dans ma chatte et qu’il n’y a pas
de meilleur trou pour prendre son pied et se vider les couilles. Ses mots me
rendent dingue. Je sens sa queue aller et venir dans mon ventre. Il finit par
jouir en moi en donnant de bons coups de boutoir au fond de mon trou tout en
poussant des râles virils très excitants. Puis il s’allonge sur moi,
m’immobilisant par le poids de son corps massif et me tenant les poignets de
ses mains.
- Tu vas rester avec moi ce soir, me glisse-t-il à
l’oreille. J’ai bien envie d’organiser une petite soirée avec mes potes en ton
honneur. On a besoin d’une femelle pour bien nous les vider régulièrement. Rien
ne pourra mieux les satisfaire que ta bonne chatte de salope.
Là, il se redresse, se lève et se dirige vers la
salle de bain sans même attendre une réponse de ma part. Ayant d’autres projets
pour la soirée, je devais lui faire part de mon refus.
Philippe fait immédiatement demi-tour vers le salon…
- Je t’ai pas demandé ton avis, me dit-il en
dirigeant son index dans ma direction. T’es chez moi ici et tu partiras quand
je le voudrai. Fallait y réfléchir à deux fois avant de venir chez un inconnu
pour te faire ramoner la chatte. Tu voulais te faire remplir par un mâle
dominant alors maintenant t’assumes !
Son regard est agressif. Je suis surpris et inquiet.
Il se retourne pour reprendre la direction de la salle de bain. J’en profite
pour rassembler mes vêtements silencieusement. Je me rhabille le plus vite
possible sans prendre le temps de refermer boutons ni braguette. Chaussures à
la main, je récupère ma veste sur le dossier d’une chaise, et me dirige vers le
couloir pour rejoindre la porte d’entrée. J’entends l’eau de la douche couler
dans la salle de bain. Je vais pouvoir partir sans être vu. Face à la porte
d’entrée, je réfléchis quelques secondes pour être sûr de n’avoir rien oublié.
De toute évidence, non. Ni une ni deux, j’appuie sur la poignée et tente
d’ouvrir la porte qui reste fermée. Je reste calme mais je sens qu’un début de
panique se manifeste. C’est le genre de porte blindée, sans verrou, avec pour
seule serrure celle sous la poignée. Une fermeture centralisée qui actionne le
mécanisme complet de la porte.
- Tu peux me dire ce que tu fous, là ?
Je me retourne d’un seul coup. Philippe se tient
face à moi, nu. Il commence à avancer vers moi comme un prédateur vers sa
proie. J’ai un mouvement de recul et me retrouve adossé à la porte.
- Je… Je dois vraiment partir, bredouillai-je. On
m’attend, j’ai un impératif ce soir…
- Oh oui, dit-il en continuant d’avancer lentement.
Je confirme. T’as un impératif ce soir et tu vas pas y échapper.
Il se tient juste face à moi. Son visage est à
quelques centimètres du mien. Je peux sentir son souffle sur moi. Il me regarde
droit dans les yeux. Je tourne légèrement la tête, signe involontaire de
soumission qu’il perçoit rapidement. Il pose ses mains sur mes épaules et me
force à m’agenouiller devant lui.
- Suce-moi !
- Non, murmurai-je en tentant de me relever.
- Pardon ? dit-il d’une voix caverneuse.
Il prend alors mes cheveux d’une main et me bascule
la tête en arrière, me maintenant ainsi toujours fermement à genoux devant lui.
De son autre main, il attrape sa queue qui, même au repos, est tout aussi
massive suivant la proportion de son corps. Il me frappe les joues avec son
sexe qui commence à enfler.
- Suce-moi !
Il enfonce son membre entier dans ma bouche,
manquant de m’étouffer au passage. Je peux sentir ses couilles contre mon
menton. Il reste ainsi pendant plusieurs secondes maintenant ma tête sur son
bas-ventre. Je sens sa queue gonfler dans ma bouche et commencer à atteindre le
fond de ma gorge.
- Toi, tu vas déguster ! me dit-il en
commençant un long va-et-vient.
Il me tient la tête des deux mains et se met à
onduler du bassin pour me baiser la bouche. Je n’ose plus bouger. Je suis pris
entre peur et excitation. Je sens bientôt sa queue se contracter et un puissant
jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice la semence de ce mâle,
lui léchant le gland pour ne pas en perdre une goutte. Il se retire de ma
bouche et me relève en me prenant par les cheveux. Il m’entraine ainsi vers le
fond de l’appartement. Il ouvre une porte. Un placard.
- Déshabille-toi.
Je le regarde sans bouger.
- Déshabille-toi, je te dis !
Je m’exécute et enlève, à l’exception de mon boxer,
tous mes vêtements qu’il récupère.
- Allez, rentre là-dedans !
J’entre dans le placard. Il y a une penderie pleine de
vêtements sur toute la longueur, quelques cartons au sol. Il referme la porte.
- T’inquiète, tu devrais pas rester longtemps
là-dedans, dit-il derrière la porte.
Je me retrouve dans le noir complet. J’entends le
bruit d’un verrou. Je suis bel et bien enfermé. Je m’assois par terre entre
deux cartons sous les vestes et manteaux suspendus. Le sol est froid, alors je
glisse mes mains sous mes fesses. J’entends Philippe qui semble être sous la
douche. Il sifflote joyeusement. Puis je l’entends parler à quelqu’un, sans
doute au téléphone. Divers bruits de fond viennent interrompre de temps en
temps le silence. Il vaque à ses occupations comme si personne n’était enfermé
dans son placard.
Au bout d’un temps qui me semble interminable, la
sonnette d’entrée retenti. Quelques secondes plus tard, un bruit de clés et de
serrure. J’entends plusieurs voix d’hommes dans l’appartement. Puis le bruit du
verrou de la porte du placard, et la porte s’ouvre. Philippe est là, devant
moi, toujours aussi imposant, surtout vu d’en bas.
- Lève-toi, mes potes sont là.
Je me redresse et sort du placard. Il pose
directement sa main sur ma nuque et guide la marche jusqu’au salon. Les voix se
taisent quand nous entrons. Quatre hommes sont là, assis confortablement dans
le canapé. Ce même canapé où Philippe m’a baisé plus tôt dans l’après-midi.
Philippe m’arrête devant la table du salon et m’ordonne de m’y allonger sur le
ventre. Il m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table. Il fait de
même avec mes poignets. Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table,
soumis et offert au premier venu. J’entends des braguettes s’ouvrir, des
pantalons se baisser. Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement
la tête. Je sens l’odeur d’une bite et un gland vient heurter ma bouche.
J’écarte les lèvres pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée.
Quelqu’un d’autre fait glisser mon boxer et m’écarte les fesses. Je sens une
main humide, sans doute de la salive, parcourir mon anus. Il appuie son sexe
contre ma rondelle et m’encule d’un seul coup de reins. Sa queue me paraît
énorme. J’ai un peu mal mais, à mon grand étonnement, cette douleur plutôt
légère passe vite. Personne ne parle. Seuls des gémissements de plaisir, des
souffles saccadés et le bruit de leur queue dans mes orifices se font entendre.
Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux
m’inonde la bouche puis le cul. Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent.
Philippe s’approche de moi et vient murmurer
quelques mots à mon oreille :
- Ouvre bien tes trous, ma salope. On va te baiser
pour se vider les couilles toute la soirée.
Et d’autres queues raides et brûlantes
s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les une après les autres. Les
mecs commencent à parler. J’entends que l’un d’entre eux s’appelle Nicolas,
comme moi.
- Allez Nico, laisse-moi la place ! Moi aussi
j’ai envie de fourrer ma queue dans sa chatte ! dit l’un d’eux.
- Putain qu’elle est bonne, cette salope ! dit
un autre. Elle a une bouche d’enfer !
Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe
maintenant les sexes dressés sans problème. Je ne suis plus qu’une machine à
faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager. Bientôt
le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et dans le cou. Je ne
peux rien faire d’autre que subir les assauts répétés de ces hommes et de
m’abandonner au plaisir qu’ils prennent en me baisant. Les uns après les
autres, pendant près de deux heures, cinq mâles me baisent sans retenue. Certains
d’entre eux me prendront même deux ou trois fois. Les derniers m’éjaculent sur
le visage, les cheveux et les fesses.
Tous les mecs se rajustent et se rembraillent.
Philippe sert un verre à tous ses invités. Moi, je suis toujours attaché à la
table. L’un d’entre eux, installé dans le canapé, allonge ses jambes en les
posant sur mon dos. Leur conversation va bon train comme s’ils avaient oublié
ma présence. Puis Philippe raccompagne ses invités à la porte. Il revient dans
le salon et se penche près de moi :
- T’as bien assuré, ma salope. Mes potes se sont
vraiment bien éclatés.
Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue
glisser entre mes fesses. M’a-t-il déjà baisé pendant la soirée ? Je l’ignore
mais il a l’air très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de
mon cul et son sexe s’enfonce en moi sans difficulté.
- J’ai encore besoin de me vider les couilles. T’as
vraiment une chatte faite pour ma queue, ma belle !
Il commence à me baiser frénétiquement. Il me
défonce littéralement le trou et il semble y prendre un plaisir immense.
- Ouais… Tu la sens bien ma queue ? T’aimes ça,
hein, ma queue dans ta chatte, ma salope !
Il pousse un râle de plaisir, comme un animal. Je
comprends qu’il est en train de jouir dans mon trou. Mais il ne s’arrête pas de
me baiser. Je me dis qu’il va bientôt débander, mais ce n’est pas le cas. Je
regarde l’heure affichée sur le cadran de son magnétoscope, presque une heure
est passée depuis que ses amis sont partis. Il me tient par les hanches,
alterne les mouvements entre lenteur et frénésie, entre douceur et violence. Il
pose alors ses mains sur mes fesses en les serrant fermement et je l’entends à
nouveau pousser un râle reconnaissable à présent. Il jouit en moi.
- Ah ! Ça fait vraiment du bien…
Il se retire et se relève.
- Ça ira pour aujourd’hui, tu vas pouvoir rentrer
chez toi.
Il me détache, me dit que je peux aller prendre une
douche avant de partir si je le veux. J’hésite un instant mais accepte sa
proposition. Je reviens peu de temps après dans le salon. Mes vêtements sont
posés sur une chaise. Philippe est confortablement allongé dans son canapé,
toujours à poil, avec mon téléphone portable à la main.
- Tu vas me servir de vide-couilles, à moi et mes
potes, à chaque fois que je le voudrai. J’ai pris ton portable dans ta veste,
j’ai fait sonner le mien avec et maintenant, j’ai ton numéro.
Il me regarde avec un grand sourire sadique.
- Au fait, je t’ai pas dit que je suis CRS, je
crois. Ça sera facile pour moi d’avoir ton adresse si tu réponds pas à mes
appels et si tu rappliques pas ici quand je te le dis.
Il me lance mon mobile que j’attrape au vol et, sans
rien dire, commence à m’habiller. Il se lève et s’approche de moi, de la même
façon que tout à l’heure, avec cet air de prédateur vainqueur.
- T’es à moi maintenant, j’espère que tu l’as
compris. T’es qu’une femelle qui a besoin d’un bon mâle et tu m’appartiens. Tu
sais maintenant que t’es à ma disposition. Une bonne salope docile et soumise
pour me satisfaire. Un bon vide-couilles comme je les aime.
Il m’attrape d’une main par les cheveux, penche ma
tête en arrière et m’embrasse goulument.
- Allez, dégage avant que je remette ça.
Je me dirige vers la porte et sors enfin de cet
appartement. En bat de l’immeuble, mon mobile sonne. Un SMS vient d’arriver.
C’est Philippe. Le message dit seulement « Demain 20H30 ». Il n’a
donc pas menti. Il a bien mon numéro...