- 2005 -
Ce soir, j’ai passé la soirée chez
des amis. Ils habitent en périphérie de Lyon. La soirée s’est très bien passée
jusqu’au moment de rentrer. De discuter des choses et d’autres, je n’ai pas
surveillé l’heure et me voici courant pour attraper le dernier métro. Manque de
bol, les grilles d’accès aux quais sont déjà tirées quand j’arrive à la
station. Que faire ? N’ayant pas les moyens de prendre un taxi sur une
aussi longue distance, je décide de rentrer chez moi en faisant du stop. Je me
rapproche donc de l’entrée du périphérique en espérant ne pas attendre trop
longtemps. J’ai bien conscience que le stop n'est pas recommandé, on ne sait
jamais sur qui on tombe. J’ai d’ailleurs déjà fait de mauvaises rencontres il y
a quelques années quand j’habitais le sud de la France, mais à cause du froid qu'il
fait, je tente quand même.
Des voitures passent, camions et
autres. J'espère sincèrement que quelqu'un va s'arrêter car je ne me vois pas
marcher et rentrer chez moi à pieds par ce froid ; ça me prendrait
plusieurs heures. Au bout d’un quart d’heure, une voiture s'arrête enfin devant
moi. Au volant, un jeune mec d’environ 30 ou 35 ans. Un visage ouvert et
avenant qui inspire plutôt confiance. Il me demande où je vais. Il réfléchit
alors quelques secondes après lui avoir répondu, puis me dit de monter. Je
m'assois à côté de lui. Plutôt grand et bien musclé d’apparence, c’est un homme
qui ne laisse pas indifférent.
- Merci, c’est sympa de m’avancer.
Vu le froid et l’heure qu’il est, je pensais ne jamais trouver personne…
- Pas de souci, ça m’arrange…
Je ne comprends pas sa réponse.
Mais cela devient plus clair quand, à peine démarré, il pose sa main sur ma
cuisse et commence à me caresser. Voyant que je me laisse faire, il me regarde
avec un sourire et continue à me caresser, mettant sa main sur ma queue à
travers mon jeans. Il ne peut que s’apercevoir que je bande. Il prend alors ma
main pour la poser sur son paquet ; lui aussi bande dur. Je sors sa queue
et je me penche pour le sucer pendant qu'il conduit. Il finit tout de même par se
garer sur une aire d'urgence et s'adosse confortablement sur le siège. Il prend
tellement son pied qu'il me jouit dans la bouche au bout de quelques secondes.
J'avale le tout, n'en perdant pas une goutte. Il reprend la route en gardant la
bite à l'air.
- Je m’appelle Yohann, me dit-il.
Et toi ?
- Moi, c’est Nico.
- Enchanté Nico. T'es une bonne
suceuse de bites, toi. T’as l’air d’être une bonne salope aussi. Je vais en
boite avec des potes, ça te dit de venir ?
- Non, je préfère rentrer.
- Ah… Pas de bol, c’est moi qui
conduis. Et c’est pas la route…
Il me regarde pour voir ma réaction.
Moi, je ne sais quoi penser.
- Tu vas où ? demandai-je un
peu effrayé.
- Si tu fais tout ce que je te
dis, je te raccompagnerai après la soirée, me dit-il en me regardant du coin de
l’œil.
- Comment ça ?
- Tu te laisses faire, tu obéis,
et tout ira bien. Comme la route sera longue, tu te mets bien à l'aise surtout.
Tu baisses bien ton jeans et tu laisses ta queue à l'air, OK ?
Je m’exécute et suis ses
instructions. Il joue avec ma queue sans quitter la route des yeux. On roule
encore une bonne demi-heure puis il s'arrête à nouveau. Il me demande de le
sucer encore ; ce que je fais. Je lèche ses couilles et son gland avec un
tel engouement que Yohann me remplit à nouveau la bouche de son liquide chaud.
- T’es passif ? me demande-t-il.
- Oui…
- T'aime les gros calibres, toi !
- Pas forcément… Je sais pas...
- Ça se voit que t’aimes ça !
Et t’inquiète, mes potes vont s'occuper de toi, tu seras leur bonne petite
femelle ce soir.
Il prend alors ma tête entre ses
mains et m’abaisse vers son entre-jambe. Je le suce encore, plus longuement
cette fois-ci. Il redémarre et reprend la route. Moi, je prends mon temps et
fais durer le plaisir à jouer de la langue sur sa queue. Et, pendant qu’il roule,
il jouit encore au fond dans ma gorge. Au moment où je me redresse, son
téléphone portable sonne.
- Tu peux répondre, s’il te
plait ? On approche de Mâcon et vaut mieux pas que j'aie le portable en
main.
Je me dis que s’il ne veut pas
perdre de points à cause du mobile, il risque d'en perdre quand même vu qu'il
me tient la queue de la main droite. Il me branle et je me laisse faire. Ma
queue dans sa main, je tente tant bien que mal de répondre aux questions de son
pote.
- T'est qui, toi ?
- Je faisais du stop. Yohann a
bien voulu me prendre…
- Ah ouais ? Il t’a pris
comment ?
Silence…
- Vous faites quoi, là ?
- On est en chemin pour Mâcon, je
crois…
- Et tu viens avec lui, ce
soir ?
- Oui, on est en route.
Je regarde ma queue prête à lâcher
son jus. Yohann s’y prend vraiment bien.
- C’est toi qu’il emmène pour nous
vider les couilles, ce soir ?
Je ne réponds rien…
- Attends, on va t'enculer,
salope ! Tu vas aimer te faire sauter comme une chienne, tu vas voir !
T'es bien obéissante, j’espère ?
Je ne sais pas quoi dire…
- Bon, allez ! Dépêchez-vous
d’arriver, on bande comme des taureaux ici !
Et il raccroche. Yohann me dit
qu’on arrive à destination dans cinq minutes. Je me rhabille comme je peux. Il
se gare en bas d’un immeuble de huit étages.
- Je croyais qu’on devait aller en
boîte, lui dis-je étonné.
- On se rejoint tous ici d’abord,
on ira après.
On descend de voiture et on entre
dans l’immeuble. Devant l’ascenseur, Yohann se caresse l’entre-jambe. Il bande
toujours. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et on entre. Il appuie sur le 8è
étage. Puis il se tourne vers moi et sort sa queue. Il baisse mon pantalon et
commence à m’enculer dans l'ascenseur.
- Arrête ! Si quelqu'un monte
?
- Fallait y penser avant de me
chauffer, salope !
- Mais...
- Ta gueule et prends ton pied, pétasse
! T’as voulu ma queue, maintenant tu l’as !
Il me baise avec frénésie. Au bout
de quelques secondes, l’ascenseur s’arrête. Le 5è étage. Il voit que je
panique ; il me maintient alors plus fortement. Il enfonce sa queue le
plus loin possible puis reste immobile. Les portes s’ouvrent sur deux mecs Magrébins
qui se regardent l’air à la fois intrigué et intéressé.
- Alors les pédés, on a pas envie
d'attendre d'être en privé ?
- Non. Cette pute, elle veut de la
queue, alors faut lui en donner ! leur répond Yohann.
- Ah
ouais ?
- Ouais ! Si toi et ton pote
avez envie, faut pas vous gêner.
Ils ne se font pas prier et
montent dans l'ascenseur qui repart. J'ai toujours la queue de Yohann dans le
cul, et maintenant deux autres queues que je pompe l'une après l’autre.
- Ça, c’est de la bonne
salope ! dit l’un des deux mecs.
Arrivant à l’étage souhaité, l’un
des deux gars appuie sur le bouton « Stop ». L’ascenseur s’immobilise
avant que les portes ne s’ouvrent. Ils jouissent l'un après l'autre, ce qui a
bien excité Yohann qui jouit à son tour. Il sort sa queue de mon cul bien
rempli et le montre aux deux autres en le caressant. Je reste dans la même
position. Je n’ai pas à attendre longtemps avant qu’Hassein, le plus grand des
deux, me la mette sans ménagement. Son pote, quant à lui, se branle et, en
attendant son tour, parle avec Yohann.
- C'est une bonne chienne que t’as
trouvée là.
- Oui. Et là, elle a pas fini de
s'en prendre, des queues ! Vous voulez venir ? Deux de plus, ça va pas la
déranger, au contraire…
- OK, on te suit. Combien de mecs
?
- Six. Et avec vous, ça fait huit.
Il y en aura peut-être plus, on verra. Sinon on la baisera encore jusqu'a ce
qu'elle soit pleine.
- On connait des mecs qui se sont
pas vidés les couilles depuis des lustres, ça leur plairait, un bon trou comme
ça, dit Hassein en me baisant.
- Une fois qu'on aura terminé,
vous la prendrez avec vous. Elle aura qu’à satisfaire tes potes.
Ils parlent de moi comme si je
n’étais pas là. Ou plutôt comme si je n’étais qu’un objet à leur disposition.
Je commence à m’inquiéter pour la suite. Celui qui m'encule sort sa queue après
m’avoir bien rempli le cul.
- Bouge de là, Hassein, c’est mon
tour, dit le deuxième gars.
Au bout de quelques minutes, il
remplit mon trou à son tour. Yohann se branle et me tient par les cheveux pour
me forcer à avaler son jus.
La porte s’ouvre. On longe un
couloir jusqu’à un appartement où cinq mecs attendent. En nous voyant rentrer,
ils se mettent tous à hurler. Personne ne se présente et aucun discours n’a
lieu. Seuls mes trous pris d'assaut les intéressent. Je suce et me fait ramoner
le fion déjà bien dilaté. Les huit mecs m’enculent à tour de rôle, puis deux
par deux ; un me baisant la bouche pendant que l’autre me baise le cul. Au
bout d’un temps qui me semble interminable, ils décident tous de se reposer.
Mais ils ne tardent pas à retrouver toute leur énergie et me baisent encore.
Plus longuement, cette fois.
Puis tout s’arrête. Je regarde ma
montre : 2H45. Ça doit faire presque trois heures que je me prends des
queues à la chaine. Les deux mecs croisés dans l’ascenseur s’approchent et l'un
d'eux me dit :
- Rhabille-toi, salope !
Maintenant, t'es à nous pour une bonne baise de deux jours, voire plus.
- Non, ça suffit, les gars. Faut
que je rentre maintenant, dis-je en me rhabillant.
Ils se mettent tous les deux à
rire.
- Attends, sac à foutre !
T’as des queues à vidanger maintenant, dit Hassein.
Ils me forcent à les suivre.
Direction les caves et, à peine arrivés, la baise continue. Ça dure longtemps. Des
groupes de deux ou trois mecs arrivent successivement et repartent après s’être
vidé les couilles en moi. Je m’écroule sur un matelas vraiment très crade. Hassein
est le seul à être resté. Il vient s’amuser avec mon cul, y fourrant quelques
doigts. Il peut constater que j'ai le cul vraiment bien dilaté. La semence de
ses potes en coule et dégouline sur mes cuisses. Il me plante alors son chibre
dans le cul et me baise comme une vraie brute.
On aurait dit qu’il avait attendu
que tous ses potes soient partis pour me posséder de la sorte. Il me baise
trois fois avant de me proposer de me ramener chez moi. J’accepte par dépit.
Dehors, il commence à faire jour. Rien ne se passe durant le trajet, on parle
de chose et d’autres. Mais arrivés devant chez moi, il me dit :
- C’est cool de savoir où
t’habites, je pourrai venir chez toi quand je viens à Lyon si je veux me vider
les couilles.
Il coupe le monteur et me regarde.
- Et là, faut que tu me vides, ma
chérie.
Il descend de voiture, attend que
je fasse de même et me suit jusqu’à ma porte. A peine celle-ci refermée, il
sort son braquemart et m’oblige à le sucer. Ma bouche subit encore ses assauts
avant qu’il me baise le cul.
Je referme la porte derrière lui,
deux heures plus tard, quand il décide enfin de partir...