mardi 24 septembre 2013

Dans un parc


- 2006 -

Pendant les vacances d’été, décidé à ne pas rester enfermé dans mon appartement, je vais presque tous les jours dans un parc pour profiter un peu du soleil. Plutôt que de rester vautré sur mon canapé pour lire, pourquoi ne pas le faire en plein air ?
Le parc en question est vraiment superbe, d’une très grande surface, équipé d’une base nautique et d’espaces séparés en fonction des activités. Chacun peut y trouver son bonheur. Il est possible d’être au calme autour de l’étang, de se mettre à l’abri des coups de soleil sous les saules pleureurs à l’écart des enfants qui, eux, s’éclatent avec un ballon, un freesby ou bien encore s’amusent à la base nautique. Ceux qui ne font rien de tout cela peuvent simplement se balader ou s’isoler dans un coin pour être tranquille et vaquer à leurs occupations. C’était mon cas et j’avais trouvé un lieu assez tranquille, à l’arrière de la base nautique. L’endroit n’est fréquenté que par quelques personnes solitaires venant se prélasser sur la pelouse pour lire un roman et de quelques amoureux se prélassant au soleil.
Je me déambule tranquillement dans le parc ; je flâne en jetant des regards à droite et à gauche en allant rejoindre ma place habituelle. Mon regard est soudain attiré par un homme assis sur un banc, vêtu d’un pantalon de toile beige et d’un polo saumon, les bras placés le long du dossier en bois et les jambes écartés, s’offrant ainsi au soleil. Ses origines, sans doute nord-africaines, donnent un contraste remarquable entre la couleur choisie de ses vêtements et celle très sombre de sa peau. L’homme me dévisage. Je me rends compte qu’il était en train de me détailler de la tête au pied sûrement depuis un bon moment. Comme si de rien n’était, je continue de marcher dans sa direction pour passer devant lui. Il doit avoir une quarantaine d’années, très bien conservé quoique l’embonpoint semble le gagner. En descendant mon regard, je tombe sur une ceinture marron discrète, puis sur un entrejambe qui semble bien rempli. Alors que je fabule sur cette partie de son anatomie, il écarte davantage les jambes, tendant du même coup la toile de son pantalon et marquant un peu plus les contours de son bas ventre.
Arrivé à quelques pas de lui, il pose une main sur ses attributs et il commence à se caresser doucement. Je sens que je commence à bander. Je me mets à baliser en arrivant à sa hauteur car il vient de faire glisser sa main sur sa cuisse, faisant apparaître une belle bosse qui ne laisse aucun doute quant à son origine. Il ne se gêne pas pour le faire, d’autant que les autres personnes présentes dans le coin sont assez loin et ne prêtent aucune attention à ce qui se passe autour d’eux, fort heureusement. Je passe devant lui et détache mon regard de son paquet pour croiser son regard. Il mate mon pantalon et mes jambes, et à peine l’ai-je dépassé que je sens son regard se poser sur mes fesses. Pour ma part, je me mets en quête de trouver rapidement un endroit où je peux m’installer et surtout d’où je pourrai lire tranquillement en lui laissant imaginer que son petit jeu n’a aucun effet sur moi.
Je ne fais pas un long parcours et repère rapidement en surplomb du chemin un coin d’herbe en pente légère, vide et ensoleillé. Je m’y rends et m’y installe le plus naturellement possible. Etendu sur l’herbe, je sors mon livre pour commencer à lire, mais il m’est difficile de me concentrer en me sachant observé par l’homme sur le banc. Effectivement, lorsque je relève les yeux dans sa direction, je peux le voir, les bras de nouveau écartés le long du dossier de chaque côté du banc, le regard rivé sur moi. Je plonge alors le nez dans mon livre feignant l’indifférence.
Quelques minutes plus tard, lorsque je relève les yeux vers le banc, l’homme a disparu. Je le cherche alors du regard et l’aperçois sur le chemin que j’avais moi-même emprunté plus tôt. Il me regarde, un léger sourire aux lèvres ; sans doute la satisfaction de m’avoir surpris en train de le chercher. Il fait quelques mouvements comme pour se dégourdir, tout en jetant des regards autour de lui, comme pour vérifier que personne d’autre que moi ne prête attention à lui. Je me rends compte qu’il vient dans ma direction. Il passe devant moi et s’installe un peu plus loin à ma droite, presque sous les arbres. Il s’allonge et prend appui sur son bras gauche, le genou droit relevé et la jambe gauche allongée, le torse pratiquement tourné vers moi. Son regard ne tarde pas à se reposer de nouveau sur moi, un sourire aux lèvres. Puis, à ma grande surprise, il se redresse et ôte son polo, faisant apparaître son torse d’ébène que l'âge commence à marquer comme je l’avais deviné plus tôt. Il étale son polo sur l’herbe et retire ses mocassins.
Je suis curieux de voir jusqu’où il peut aller. Je suis quand même surpris lorsqu’il se retourne vers moi et défait la ceinture. J’ai l’impression que l’espace-temps vient de s’arrêter. Doucement, il défait les boutons de son pantalon et descend sa braguette, faisant apparaître un slip blanc à rayures bleues. Tout en me fixant, il glisse alors une main dans l’ouverture et sans complexe se malaxe le paquet. Après quelques secondes, il s’assoit et retire entièrement son pantalon qu’il roule en boule. Je peux maintenant voir les moindres détails de son corps, hormis ce qui est encore caché par ce slip dont la toile tendue et les rayures déformées laissent imaginer sans difficulté le contenu. Il s’allonge, les bras sous la tête. De temps en temps, il tourne la tête vers moi. Voyant que je le fixe toujours, il reprend appui sur son coude gauche, le torse tourné vers moi. Je vois que son regard se dirige vers mon entrejambe, sûrement désireux de savoir ce qu’il y a dedans ou de l’avoir entre les mains. Cette idée m’est de suite confirmée lorsqu’il commence à se caresser de la main droite, glissant son pouce sous l’élastique de son slip, faisant descendre celui-ci un peu plus à chaque mouvement. Heureusement que nous sommes à l’écart car la situation devient de plus en plus chaude et inquiétante. Après avoir de nouveau jeté un coup d’œil aux alentours, le type descend doucement son slip, tout en étirant son sexe à travers la toile prête à exploser.
Je dois être rouge écrevisse et je suis de plus en plus mal à l’aise. Je ne sais pas quoi faire et, dans ma position, il m’est difficile de cacher mon érection ; mon pantalon en toile me trahit à mes dépens. Ce que l’autre a dû remarquer depuis un bout de temps et que cela devait encourager. Mon trouble atteint son paroxysme à l’instant où il libère entièrement son sexe. C’est une bite énorme, tant au niveau de la longueur que de la largeur. Je n’en avais jamais vu d’aussi grosse auparavant et mon ébahissement doit se voir sur mon visage car l’homme souris tout en continuant à l’étirer.
Je commence à avoir peur. Je suis sans doute allé trop loin et, pour tenter de retrouver mes esprits, je décide d’allumer une cigarette. Mais rien n’y fait, j’ai l’image de ce sexe en tête. J’écrase ma cigarette et regarde à nouveau cet homme. Il n’a pas arrêté sa manœuvre et sa queue a vraiment une taille phénoménale. Le gland décalotté reluit au bout de sa bite droite comme un I. Il se masturbe carrément, faisant lentement monter et descendre sa main le long de ce pieu qui doit mesurer au moins vingt-cinq centimètres pour un gros diamètre. Je ressens des fourmillements dans le cul et malgré la peur qui me taraude, je bande de tant d’excitation. Après avoir joué avec sa queue et ses couilles, il se retourne et s’allonge sur le ventre. Il se met à onduler du bassin comme s’il enculait quelqu’un. Il le fait avec douceur et puissance à la fois, poussant de temps en temps un soupir à peine audible. Son manège dure quelques minutes jusqu’à ce que son corps se tétanise et qu’il lâche un long râle. Il se retourne sur le côté et me regarde un sourire ébahi sur le visage. De sa bite s’échappe un filet de sperme. Il vient de prendre son pied. Il se lève, se rhabille lentement, et s’en va.
De temps en temps, il se retourne jusqu’à ce qu’il disparaisse au loin, me laissant seul et soulagé...

Le lendemain, j’hésite à retourner dans le parc. J’ai rêvé de cette bite toute la nuit à en attraper des sueurs. Mais quelque part au fond de moi, et malgré la peur, j’en ai envie. Ainsi, je me retrouve à nouveau à l’endroit de la veille dès le début d’après-midi. Il n’y a pas grand monde, et celui que je recherche n’est pas là. Déçu, mais un peu soulagé aussi, je m’installe en m’allongeant sur le dos et sors mon livre. A chaque page que je tourne, je jette un coup d’œil alentours et reprends ma lecture après avoir vérifié qu’il n’était pas dans les environs.
Je ne peux décidément pas me concentrer sur ma lecture et referme mon livre sur mon ventre en fermant les yeux pour chasser les mauvaises idées. Ma surprise est de taille quand, en ouvrant les yeux, je vois l’homme marcher dans ma direction. Il est vêtu d’un pantalon de toile identique à celui de la veille mais de couleur verte et d’un polo blanc. Quand il s’aperçoit que je l’ai vu, il place une main sur sa bite et se caresse tout en avançant sans me lâcher du regard. Je crois alors qu’il va recommencer son spectacle de la veille mais il s’arrête devant moi. Il a toujours la main sur le paquet et se passe la langue sur les lèvres. Allongé sur le dos, je ne sais quoi faire d’autre que de regarder cette main en plein travail glissant le long de son entrejambe. Il s’approche et s’agenouille à côté de moi et, sans un mot, il défait sa ceinture et sa braguette pour faire apparaître un caleçon gris en coton. Tétanisé, je le regarde faire et je sursaute quand il pose une main sur ma cuisse et commence à me caresser. Je suis allongé, les jambes repliées et écartées, et c’est avec facilité qu’il glisse sa main de mon sexe à mon cul, s’attardant particulièrement sur ce dernier en tentant d’y introduire un doigt à travers le tissu. Il défait alors les boutons de mon pantalon et attrape la toile de mon caleçon. Je ne mets pas longtemps à bander et je suis incapable de faire le moindre geste. Je le laisse faire et il ne s’en gêne pas. Il glisse ses doigts dans mon caleçon et en dirige un vers mon cul pour l’explorer sans complexe. Ce qu’il veut est clair.
Voyant que je ne réagis pas, il m’attrape par la taille et me fait me basculer sur le côté face à lui. Il entre de nouveau sa main dans mon short et sous mon caleçon et se met à me malaxer les fesses à pleine main. Très vite, je sens un doigt se diriger de nouveau vers mon cul pour en définir le contour. Je transpire plus que de raison et, le souffle court, je me laisse tripoter par ce mec que je ne connais même pas. Ces gestes sont brusques et je sens que je vais passer un mauvais quart d’heure, mais malgré cela je me laisse faire.
Tout se déroule comme dans un rêve. De sa main libre, il tire sur mon pantalon pour le faire glisser le long de mes jambes. Pris de panique, je tente de remonter mon pantalon en écartant machinalement son bras.
- Laisse-toi faire !
Sa voix est autoritaire mais je refuse de l’écouter.
- Non, je ne veux pas… Y’a du monde…
- Ta gueule et laisse-toi faire, je t’ai dit !
Il me bascule carrément sur le ventre et m’immobile totalement. Assis d’un côté de mon corps, il prend appuie avec son bras de l’autre côté, me bloquant ainsi sous le poids de son corps. Il me donne des fessées à travers le tissu de mon caleçon avec ses grosses mains. Après quelques claques bien assenées, il tire sur mon caleçon, mettant mes fesses à nues. De sa main gauche, il m’écarte mes fesses et, de l’autre, il appuie son index sur mon trou. Il le fait entrer sans aucun problème, la transpiration aidant. Son souffle s’accélère et son doigt est entré entièrement en moi. Il entame des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus imposants. Je deviens son jouet sexuel.
De temps en temps, il retire complètement son doigt, attend un peu, puis sans préambule me l’enfonce entièrement, m’arrachant des petits cris. Pour profiter pleinement du spectacle, il descend encore plus mon pantalon et mon caleçon de sa main libre et m’empoigne les fesses sauvagement pour les écarter. Je sens la grosseur de deux doigts à l’entrée de mon trou et me pénétrer. Il me fouille les entrailles, m’écartelant l’anus avec ses doigts. Il met tant d’ardeur à les faire entrer en moi que j’ai l’impression qu’il veut y faire entrer la main entière. Je suis pris de panique devant la tournure des événements mais je suis toujours incapable de faire le moindre mouvement sous son corps massif.
Il retire alors ses doigts de mon cul et les approche de ma bouche pour m’obliger à les sucer. Il les fait glisser entre mes lèvres de la même façon qu’il l’avait fait dans mon cul. Alors que je lui suce les doigts, il change de position et la pression de son corps se fait plus légère. Je parviens alors à me retourner sur le dos pour me relever mais il me plaque à nouveau et vient s’agenouiller sur moi, un genou posé au sol de chaque côté de ma tête. Il défait sa ceinture et abaisse son pantalon. Je comprends alors qu’il avait lâché prise pour que je prenne cette position quand il attrape ma tête de ses deux mains et m’attire vers son pubis, jusqu’à ce que je me retrouve le nez dans son slip. Il appuie sur ma nuque et se met à onduler du bassin, frottant son sexe sur mon visage à travers le tissu bien humide et sur lequel apparaissent des taches d’excitation.
Il sort alors son sexe dont le gland est déjà tout gluant et se met à me frapper les joues avec. Il le frotte partout sur mon visage. Il mouille beaucoup et m’en met partout sur le visage. J’essaie encore une fois de me dégager, mais il ne le voit pas sous cet angle. Il attrape son pieu à la base et présente son gland sur mes lèvres tout en poussant sur ma nuque. Je suis coincé et ne peux rien faire d’autre qu’ouvrir la bouche et laisser son gland s’introduire en moi avec rage, manquant de m’étouffer. J’ai l’impression que plus rien ne le retient. Il semble avoir oublié le lieu où l’on se trouve. Sa bite est tellement grosse que je suis obligé d’écarter au maximum les lèvres pour ne pouvoir en absorber qu’une partie. Mais à force d’insistance, son gland bute rapidement au fond de ma gorge, me levant le cœur pratiquement à chaque fois. J’ai beau essayé de le repousser, cela à l’effet inverse. Il attrape mes bras et les coince au-dessus de ma tête. Il revient à la charge encore plus violemment. J’ai un moment de répit lorsqu’il me lâche pour enlever son polo trempé de sueur. J’en profite pour reprendre mes esprits mais cela est de courte durée. Il me pousse en m’obligeant à m’allonger sur le ventre et vient s’écraser de tout son poids sur moi. Il se frotte à moi comme un chien en chaleur et je sens sa queue aller et venir entre mes cuisses, caressant mon trou au passage. Il halète et pousse des cris rauques. Il se redresse de temps en temps pour regarder son pieu noir disparaître entre mes cuisses et reprend de plus belle, s’affalant complètement sur moi. Puis sans rien dire, il se redresse et vient placer ses jambes une à une entre les miennes pour les écarter sans arrêter sa masturbation sur mes fesses. Je n’ai qu’une seule hâte, c’est qu’il jouisse au plus vite. Je veux me sortir de ce pétrin et la seule solution est qu’il se vide les couilles rapidement. Mais il a autre chose en tête ; il se redresse et m’écarte les fesses pour cracher sur ma rondelle. Je crois alors qu’il va m’enculer mais il positionne son pieu entre mes fesses et s’allonge de nouveau sur moi pour reprendre sa masturbation. Il va de plus en plus vite, gémissant de plus en plus fort, comme un bœuf en rut. J’ai du mal à respirer car il est lourd et je suis de plus en plus paniqué car je le sens glisser plus bas dans mon dos, mettant mon trou à la portée de son gland. Je sens son sexe pousser l’entrée de mon cul.
- Non ! S’il vous plait, arrêtez ! Ça va trop loin, je ne veux pas !
Il se met à rire.
- T’avais qu’à le dire avant ! Il est trop tard maintenant !
Pour me prouver qu’il ne s’arrêtera pas, il fait pénétrer son gland dans mon cul et commence à forcer pour y faire entrer sa queue entière. Je le sens progresser en moi. Je serre les fesses au maximum pour l’empêcher d’aller plus loin, mais devant ma résistance, et cela malgré la sueur et la bave qui mouille mon cul, il m’attrape par les épaules et m’attire fortement à lui. J’ai l’impression qu’on est en train de m’écarteler le cul tellement la douleur est forte. Je me mets alors à crier et tente de me dégager mais il fait peser son corps de tout son poids sur moi. Il pose son énorme main sur ma bouche pour m’empêcher de crier et attirer l’attention des promeneurs. Petit à petit, son sexe me pénètre davantage et, plus je le sens entrer en moi, plus la douleur s’estompe.
J’ai les larmes qui me viennent et, dans ma tête, c’est le chaos le plus total. Je crois un instant que je vais m’évanouir mais ses coups de rein me font revenir à la réalité. Il me baise de bonne cadence à présent, se laissant retomber sur moi à chaque pénétration, enfonçant bien son membre au fond de mes entrailles, jusqu’à la garde. Une fois bien enfoncé, il se retire complètement et m’empale à nouveau. A chaque pénétration, j’ai le souffle coupé et le cul de plus en plus en feu.
L’apothéose arrive quand je sens sa bite gonfler encore plus et se contracter en moi. Il sort de mon cul et éjacule en de grands jets de sperme que je sens s’écraser sur mon dos. Il revient me baiser en me pénétrant d’un seul coup, m’arrachant une nouvelle grimace de douleur, et reprends ses va-et-vient effrénés. Il vient de jouir mais ne débande pas et continue de m’enculer sauvagement. La douleur se fait moins forte, sa bite glisse plus facilement mais je la sens quand même bien occuper mon cul de toute sa longueur. Il resserre mes jambes à l’aide des siennes pour bien profiter de mon cul et rendre le trou plus étroit. Il me baise à nouveau avec frénésie. Je commence seulement à y trouver du plaisir. Au bout d’une dizaine de minutes, je sens sa queue gonfler en moi mais cette fois-ci il ne se retire pas et jouit dans mon cul. Après quelques légers va-et-vient, il se retire, attrape son polo et essuie sa bite pleine de sperme avec.
Il se relève. Je peux à nouveau bouger. Je me retourne sur le dos. Il rentre sa queue dans son slip, referme son pantalon et se rhabille tout en me regardant. Je me relève à mon tour pour me rhabiller aussi. Avant de partir, il m’assène une dernière claque sur le cul pendant que je remonte mon pantalon. Il s’en va sans dire un mot.
Reprenant mes esprits, c’est uniquement à cet instant que je me rends compte que j’ai joui sans me toucher pendant qu’il me baisait. J’ai du sperme qui dégouline de partout et suis complètement épuisé. C’est comme si une armée m’était passée dessus. Je rentre alors chez moi dans l’idée de faire une sieste et de dormir des heures entières.