- 1998 -
Ahmed est technicien supérieur en informatique dans
à la Faculté de Lettres à Aix-en-Provence où je suis employé pour dix-huit mois
au Service Universitaire d’Informations et d’Orientation en tant qu’objecteur
de conscience. D’origine marocaine, il a une peau naturellement halée et une
attitude qui me fait littéralement fondre. Surtout quand il plonge son regard
dans le mien. Je ne sais pas s’il fait ça avec tout le monde ou s’il est
particulièrement insistant à mon égard, mais je ne suis pas insensible à son
charme. Il est de ma taille, mais par contre, en carrure et en poids, je suis
une ablette à ses côtés.
Nous nous sommes connus il y a quelques mois quand
un collègue du SUIO m’a fait faire le tour des différents services pour me
présenter le personnel de la Fac. Nous avons sympathisé assez rapidement. A
plusieurs reprises, nous avons pu discuter pendant une pause-café et nous
devisions de tout et de rien en riant et plaisantant.
A plusieurs reprises, il m'a invité à venir voir
son « antre » professionnelle ; à savoir le bureau dans lequel
il passe seulement quelques minutes par jour. Le reste du temps, il court dans
les longs couloirs de la Fac pour se rendre dans différents bureaux où l’on a
besoin de son aide.
Un matin, après avoir accompagné un étudiant
handicapé à son cours, je profite du chemin du retour pour me rendre dans ce
bureau inconnu. Je frappe et ouvre la porte pour le trouver en train de consulter
son ordinateur. Content de me voir venir lui rendre visite, il se lève et me
tend la main. Mais mes yeux ne peuvent être attiré que par cette barre qui
déforme son pantalon à l’entre-jambe. Ahmed a dû s’en rendre compte puisque, de
son autre main, il tente de cacher ce détail en tirant sur son pantalon.
- Ah ! Quelle surprise de te voir ! Comment
vas-tu ? me demande-t-il à peine gêné.
- Bien, merci. Mais toi, tu as l'air en pleine
forme, lui rétorquai-je avec un sourire complice.
- Ouais, ça va bien pour moi, répond-il avec un
sourire complice. T’es un mec, tu sais ce que c’est, on contrôle pas toujours, continue-t-il
en frottant sa braguette. Surtout quand on a une visite aussi charmante que toi. On va
prendre un café ?
- Avec plaisir…
- T’as déjà vu le central informatique de la Fac ?
- Non. Je ne sais même pas où il se trouve.
- Ça te dit de faire la visite ?
- Oui, bien sûr.
- Allons-y maintenant, alors.
Je passe donc devant lui pour sortir de son bureau
et je sens une main qui se pose sur mes épaules et qui descend doucement
jusqu'aux reins. Sans montrer de réaction, pourtant bien ressentie, je continue
comme si rien ne s'était passé. Nous passons plusieurs portes et escaliers et à
chaque fois ce fut le même scénario : main sur l'épaule puis caresse
descendante vers les reins.
Enfin, après avoir longé un long couloir au
sous-sol, il s'arrête devant une porte blindée, l'ouvre et m'invite dans un
univers fait de machines assez bruyantes et d'échelles pleines de fils. Je
reste pantois devant ces matériels par où passent tant de communications. Un vrai
travail pour s'y retrouver.
- Allez, avance, reste pas planté là, me dit-il en
me claquant les fesses et en laissant sa main trainée pour me caresser.
- Tu fais quoi, là ? dis-je en me retournant
pour le regarder.
- Bah, t'as pas l'air de refuser les caresses non
plus !
Sur ces paroles, il m'attrape par derrière et me
fait pivoter pour se coller contre mon dos, son bas-ventre bien callé contre
mes fesses.
- Tu sens bien ma barre ?
- Hey ! Ahmed ! Non mais
franchement ! Tu fais quoi, là ?!
- Mais si, tu vas aimer, j'en suis sûr.
Ses mains caressent mon entre-jambe tout en me
serrant contre lui tandis que des mouvements de bassin branlent sa queue contre
mes fesses. Je commence à le repousser en gueulant.
- Ça suffit tes conneries, arrête !
Ce qui le fait rire. Il saisit alors mon bras droit
et me le tire dans le dos au niveau de mon cul. Je m’aperçois alors que sa
queue est sortie de son pantalon. Je n'ai pas retiré ma main mais saisi son
membre tendu. Grosse erreur de ma part ; il en profite pour me retourner face à
lui et me mettre à genoux.
- Allez, suce ! Tète bien le biberon !
De voir ce sexe impressionnant dressé devant moi et
se rapprocher de ma bouche m’excite beaucoup. Je refuse d'abord d'ouvrir les
lèvres. Il met alors son gland sur ma bouche fermée en insistant.
- Allez, ouvre ta gueule où je te force, dit-il en
m'attrapant par les cheveux pour basculer ma tête vers l'arrière.
Cette m’oblige à entre-ouvrir la bouche, qu'il a
aussitôt investie pour s'enfoncer aussi loin que possible.
- Alors, t'es content maintenant ? Suce-moi
bien, salope ! me hurle-t-il en bloquant ses mains sur ma nuque et en
m'enfonçant encore un peu sa queue dans la bouche.
Je ne peux que répondre à son attente en le suçant.
- Voilà, t'as tout compris, continue ! Suce
bien, tu vas avoir droit à ton lait.
J'ai l'impression de téter un manche de pioche tant
il est gros et raide. Je salive un max pour bien coulisser, et je prends ses
boules dans la main pour les malaxer.
- Super ! Vas-y, occupe-toi bien de moi,
j'aime t'avoir à genoux devant moi ! Dégrafe mon froc et sort ma teub
en entier ! T'es vraiment un bon vide-couilles !
Ce n'est pas ma première pipe mais c'est une queue
comme je ne n'avais jamais sucé. Intérieurement j'apprécie le morceau. Je joue
avec ses boules tout en glissant sa hampe dans ma bouche en l'enfonçant de plus
en plus. Je sens les premiers gonflements des veines et le retire de ma bouche.
- Hey ! Tu fais quoi, là ?! Suce encore,
ça vient !
Je reprends alors ma pipe lentement toujours en
allant au plus profond possible. Je l'entends gémir de plaisir. Il m'encourage avec
de puissants mouvements de bassin.
Lorsqu'il y arrive, il gueule en vidant son foutre
dans ma bouche que j'avale de gourmandise.
Après un bon nettoyage, il me relève pour me rouler
un patin d'enfer en mettant la main sur mon paquet.
- T'es vraiment une sacrée salope mais c'était
super bon. On recommencera.
Ses mots résonnent dans ma tête. Pourquoi
« mais » ?
Une fois rhabillé, nous sortons de ce nouveau lieu
de débauche. Il me quitte avec un grand sourire.
- A la prochaine ! lance-t-il.
Et le voilà déjà disparu.
Je fais le chemin du retour un peu étourdi par ce
que je viens de faire. Mais je me sens bête de faire ce chemin tout seul. Et
pourquoi ce « mais », bordel ?!
Revenu au SUIO, je m’assois à un bureau du service,
la tête entre les mains, l'esprit chamboulé par ce que je viens de vivre. J'ai
pris beaucoup de plaisir à sucer ce mec qui m'a complètement soumis à son
désir. Et j'ai encore une fois aimé ça…
Trois jours après, assis à l’accueil du SUIO, je le
vois débarquer en se frottant le bas-ventre. Il me tend la main pour me dire
bonjour mais, une fois ma main dans la sienne, il la tire vers lui en se
penchant pour me parler en chuchotant.
- Tu m'as bien dit que tu me purgerais quand je
voudrais alors viens prendre ton biberon.
Il se redresse en m’invitant d’un clin d’œil à le
suivre.
- Non mais ça va pas ? murmurai-je. Je n’ai
jamais dit ça ! Et on ne devrait pas faire ça, c’est trop risqué.
- Et moi, je suis sûr que t’en as envie, me
répond-il d’un ton assuré. Attends-moi, je reviens.
Je le regarde s’éloigner pour se diriger vers le
bureau de ma responsable. Il lui dit bonjour et je vois qu’une conversation s’engage
mais, de là où je suis, je ne peux pas entendre ce qui se dit. Puis, je le vois
revenir vers moi avec un large sourire aux lèvres. Un sourire qui me fait
toujours autant craqué.
- Allez, suis-moi. On a une heure devant nous.
Je jette alors un regard derrière lui en direction
de ma responsable qui me sourit et me fait un signe de la main.
- Tu viens ?
Je suis alors Ahmed jusqu’à un petit local
technique. Sans même attendre que la porte soit refermée, il sort sa queue déjà
raide.
- Vas-y, à genoux ! Et suce aussi bien que la
dernière fois !
Sans me faire prier, je me baisse pour prendre en
bouche ce pieux qui n’attend que moi. Je lui baisse le pantalon, puis le caleçon
afin d'avoir accès à l'ensemble du service.
Quelle belle paire de couilles ! C'est un réel
plaisir que de les soupeser et les malaxer pendant que j'engloutis sa tige
aussi profondément que possible. J'arrive à me mettre le nez dans son pubis
bien taillé.
Je salive un maximum et fait de longs va-et-vient
pour bien le satisfaire. Son gland gonfle doucement. Il commence des mouvements
de bassins qui enfoncent sa bite en gorge profonde. Heureusement, il ne poursuit
pas trop longtemps cette position étouffante. Sa respiration s'accélère de plus
en plus ; il ne va pas tarder à livrer sa semence. Encore deux aspirations et
le premier jet arrive. Il bloque ma tête avec ses mains et je déglutis pour
avaler le lait qu'il me fournit. Je l'entends pousser de petits râles de
plaisir retenus pour ne pas alerter l'entourage de ce qui se passe.
Nous restons branchés le temps que je fasse
l'ultime nettoyage de cette queue magnifique qui ramolli doucement dans ma
bouche. Il se retire enfin.
- T'es vraiment une bonne salope de suceuse. Je vais
bien t'utiliser comme vide-couilles, t'es trop bonne.
- Tant que ça reste discret…
Une certaine habitude s'est installée entre nous et
nous nous retrouvons toujours avec plaisir pour que je le suce.
Après quelques mois de cette routine, il arrive
un matin avec un sourire carnassier que je ne lui avais encore jamais vu.
- Salut, salope ! Va dans les chiottes et mets-toi
à poil, là, j’arrive !
- T'es fou ou quoi ?! Pas ici, c'est trop
dangereux.
- Vas-y et tout de suite ! Je te le redirai
pas !
- Ça ne servira à rien de le redire. Je t’ai très
bien entendu. Mais c’est hors de question.
Son regard devient alors noir, menaçant. Je flippe
un peu mais je ne cèderai pas.
- Dans les toilettes, tout de suite ! Vas-y,
je te suis !
Je sors du SUIO et me dirige alors vers les
toilettes qui se trouvent dans un autre couloir. A peine ai-je ouvert la porte
qu’il me pousse dans cette pièce exiguë et referme la porte derrière lui.
- Dessape-toi, salope !
J’enlève alors chemise et pantalon.
- Vire ton slip !
Je me baisse alors pour enlever mon caleçon.
- Tourne sur toi, salope. Lève les bras et écarte
les jambes.
J’obéis sans opposition et fais un tour complet sur
moi-même pour me retrouver face à lui.
- Bien. A genoux maintenant. Et suce-moi en profondeur.
Prends bien ton temps surtout.
J'exécute ses ordres et, pendant plus de vingt
minutes, je m’active sur sa queue conquérante. Il se vide les couilles comme
d'habitude mais, malgré tout, avec une sévérité toute nouvelle.
Après le nettoyage habituel, il s'est rajusté, et alors
que je prends mon caleçon pour le remettre, il m’attrape par le bras et
approche son visage du mien.
- Pas la peine de le remettre, les salopes n'en
portent pas et t’es une salope, alors cul nu. Compris ?
- T’es malade, toi ! Pourquoi ça ?
- Parce que t'es une salope et que tu dois m'obéir
sans broncher. Rappelle-toi : cul nu à ma disposition. Sinon…
Et il part sur ces mots me laissant pour ce que je
devenais de plus en plus pour lui.
Il me laisse tranquille environ une semaine pendant
laquelle je suis sur le qui-vive, jusqu’à ce que je tombe sur lui un matin dans
un couloir. Quand il m’aperçoit, il vient directement vers moi. Il glisse une
main dans mon pantalon pour vérifier si je porte un sous-vêtement. Sa main est
chaude et me fait bander dans la seconde.
- Voilà comme j'aime les salopes : obéissantes
et soumises. Et sans culotte. Allez, viens prendre ton biberon, il est plein de
lait !
Il me prend par le bras pour m’emmener dans les
toilettes. La porte à peine refermée derrière nous, je commence à me baisser
devant lui mais il m'en empêche d'un ton glacial.
- Non, tu te plies en deux, ça me permettra de voir
ton petit cul, j'ai envie d'y toucher !
Je lui ai obéi sans broncher. Il me claque les
fesses de temps en temps et me flatte les flancs comme on le fait aux animaux.
La pipe est plus longue que d’habitude et la
mâchoire commence à me faire mal, mais je pompe en soufflant au maximum.
Bien qu'il ne manifeste aucun signe de plaisir, je
sens son gland grossir dans ma bouche avant que son foutre ne se rependre dans
ma bouche.