samedi 22 novembre 2014

Sucer en travaillant


- 1998 -

Ahmed est technicien supérieur en informatique dans à la Faculté de Lettres à Aix-en-Provence où je suis employé pour dix-huit mois au Service Universitaire d’Informations et d’Orientation en tant qu’objecteur de conscience. D’origine marocaine, il a une peau naturellement halée et une attitude qui me fait littéralement fondre. Surtout quand il plonge son regard dans le mien. Je ne sais pas s’il fait ça avec tout le monde ou s’il est particulièrement insistant à mon égard, mais je ne suis pas insensible à son charme. Il est de ma taille, mais par contre, en carrure et en poids, je suis une ablette à ses côtés.
Nous nous sommes connus il y a quelques mois quand un collègue du SUIO m’a fait faire le tour des différents services pour me présenter le personnel de la Fac. Nous avons sympathisé assez rapidement. A plusieurs reprises, nous avons pu discuter pendant une pause-café et nous devisions de tout et de rien en riant et plaisantant.
A plusieurs reprises, il m'a invité à venir voir son « antre » professionnelle ; à savoir le bureau dans lequel il passe seulement quelques minutes par jour. Le reste du temps, il court dans les longs couloirs de la Fac pour se rendre dans différents bureaux où l’on a besoin de son aide.
Un matin, après avoir accompagné un étudiant handicapé à son cours, je profite du chemin du retour pour me rendre dans ce bureau inconnu. Je frappe et ouvre la porte pour le trouver en train de consulter son ordinateur. Content de me voir venir lui rendre visite, il se lève et me tend la main. Mais mes yeux ne peuvent être attiré que par cette barre qui déforme son pantalon à l’entre-jambe. Ahmed a dû s’en rendre compte puisque, de son autre main, il tente de cacher ce détail en tirant sur son pantalon.
- Ah ! Quelle surprise de te voir ! Comment vas-tu ? me demande-t-il à peine gêné.
- Bien, merci. Mais toi, tu as l'air en pleine forme, lui rétorquai-je avec un sourire complice.
- Ouais, ça va bien pour moi, répond-il avec un sourire complice. T’es un mec, tu sais ce que c’est, on contrôle pas toujours, continue-t-il en frottant sa braguette. Surtout quand on a une visite aussi charmante que toi. On va prendre un café ?
- Avec plaisir…
- T’as déjà vu le central informatique de la Fac ?
- Non. Je ne sais même pas où il se trouve.
- Ça te dit de faire la visite ?
- Oui, bien sûr.
- Allons-y maintenant, alors.
Je passe donc devant lui pour sortir de son bureau et je sens une main qui se pose sur mes épaules et qui descend doucement jusqu'aux reins. Sans montrer de réaction, pourtant bien ressentie, je continue comme si rien ne s'était passé. Nous passons plusieurs portes et escaliers et à chaque fois ce fut le même scénario : main sur l'épaule puis caresse descendante vers les reins.
Enfin, après avoir longé un long couloir au sous-sol, il s'arrête devant une porte blindée, l'ouvre et m'invite dans un univers fait de machines assez bruyantes et d'échelles pleines de fils. Je reste pantois devant ces matériels par où passent tant de communications. Un vrai travail pour s'y retrouver.
- Allez, avance, reste pas planté là, me dit-il en me claquant les fesses et en laissant sa main trainée pour me caresser.
- Tu fais quoi, là ? dis-je en me retournant pour le regarder.
- Bah, t'as pas l'air de refuser les caresses non plus !
Sur ces paroles, il m'attrape par derrière et me fait pivoter pour se coller contre mon dos, son bas-ventre bien callé contre mes fesses.
- Tu sens bien ma barre ?
- Hey ! Ahmed ! Non mais franchement ! Tu fais quoi, là ?!
- Mais si, tu vas aimer, j'en suis sûr.
Ses mains caressent mon entre-jambe tout en me serrant contre lui tandis que des mouvements de bassin branlent sa queue contre mes fesses. Je commence à le repousser en gueulant.
- Ça suffit tes conneries, arrête !
Ce qui le fait rire. Il saisit alors mon bras droit et me le tire dans le dos au niveau de mon cul. Je m’aperçois alors que sa queue est sortie de son pantalon. Je n'ai pas retiré ma main mais saisi son membre tendu. Grosse erreur de ma part ; il en profite pour me retourner face à lui et me mettre à genoux.
- Allez, suce ! Tète bien le biberon !
De voir ce sexe impressionnant dressé devant moi et se rapprocher de ma bouche m’excite beaucoup. Je refuse d'abord d'ouvrir les lèvres. Il met alors son gland sur ma bouche fermée en insistant.
- Allez, ouvre ta gueule où je te force, dit-il en m'attrapant par les cheveux pour basculer ma tête vers l'arrière.
Cette m’oblige à entre-ouvrir la bouche, qu'il a aussitôt investie pour s'enfoncer aussi loin que possible.
- Alors, t'es content maintenant ? Suce-moi bien, salope ! me hurle-t-il en bloquant ses mains sur ma nuque et en m'enfonçant encore un peu sa queue dans la bouche.
Je ne peux que répondre à son attente en le suçant.
- Voilà, t'as tout compris, continue ! Suce bien, tu vas avoir droit à ton lait.
J'ai l'impression de téter un manche de pioche tant il est gros et raide. Je salive un max pour bien coulisser, et je prends ses boules dans la main pour les malaxer.
- Super ! Vas-y, occupe-toi bien de moi, j'aime t'avoir à genoux devant moi ! Dégrafe mon froc et sort ma teub en entier ! T'es vraiment un bon vide-couilles !
Ce n'est pas ma première pipe mais c'est une queue comme je ne n'avais jamais sucé. Intérieurement j'apprécie le morceau. Je joue avec ses boules tout en glissant sa hampe dans ma bouche en l'enfonçant de plus en plus. Je sens les premiers gonflements des veines et le retire de ma bouche.
- Hey ! Tu fais quoi, là ?! Suce encore, ça vient !
Je reprends alors ma pipe lentement toujours en allant au plus profond possible. Je l'entends gémir de plaisir. Il m'encourage avec de puissants mouvements de bassin.
Lorsqu'il y arrive, il gueule en vidant son foutre dans ma bouche que j'avale de gourmandise.
Après un bon nettoyage, il me relève pour me rouler un patin d'enfer en mettant la main sur mon paquet.
- T'es vraiment une sacrée salope mais c'était super bon. On recommencera.
Ses mots résonnent dans ma tête. Pourquoi « mais » ?
Une fois rhabillé, nous sortons de ce nouveau lieu de débauche. Il me quitte avec un grand sourire.
- A la prochaine ! lance-t-il.
Et le voilà déjà disparu.
Je fais le chemin du retour un peu étourdi par ce que je viens de faire. Mais je me sens bête de faire ce chemin tout seul. Et pourquoi ce « mais », bordel ?!
Revenu au SUIO, je m’assois à un bureau du service, la tête entre les mains, l'esprit chamboulé par ce que je viens de vivre. J'ai pris beaucoup de plaisir à sucer ce mec qui m'a complètement soumis à son désir. Et j'ai encore une fois aimé ça…

Trois jours après, assis à l’accueil du SUIO, je le vois débarquer en se frottant le bas-ventre. Il me tend la main pour me dire bonjour mais, une fois ma main dans la sienne, il la tire vers lui en se penchant pour me parler en chuchotant.
- Tu m'as bien dit que tu me purgerais quand je voudrais alors viens prendre ton biberon.
Il se redresse en m’invitant d’un clin d’œil à le suivre.
- Non mais ça va pas ? murmurai-je. Je n’ai jamais dit ça ! Et on ne devrait pas faire ça, c’est trop risqué.
- Et moi, je suis sûr que t’en as envie, me répond-il d’un ton assuré. Attends-moi, je reviens.
Je le regarde s’éloigner pour se diriger vers le bureau de ma responsable. Il lui dit bonjour et je vois qu’une conversation s’engage mais, de là où je suis, je ne peux pas entendre ce qui se dit. Puis, je le vois revenir vers moi avec un large sourire aux lèvres. Un sourire qui me fait toujours autant craqué.
- Allez, suis-moi. On a une heure devant nous.
Je jette alors un regard derrière lui en direction de ma responsable qui me sourit et me fait un signe de la main.
- Tu viens ?
Je suis alors Ahmed jusqu’à un petit local technique. Sans même attendre que la porte soit refermée, il sort sa queue déjà raide.
- Vas-y, à genoux ! Et suce aussi bien que la dernière fois !
Sans me faire prier, je me baisse pour prendre en bouche ce pieux qui n’attend que moi. Je lui baisse le pantalon, puis le caleçon afin d'avoir accès à l'ensemble du service.
Quelle belle paire de couilles ! C'est un réel plaisir que de les soupeser et les malaxer pendant que j'engloutis sa tige aussi profondément que possible. J'arrive à me mettre le nez dans son pubis bien taillé.
Je salive un maximum et fait de longs va-et-vient pour bien le satisfaire. Son gland gonfle doucement. Il commence des mouvements de bassins qui enfoncent sa bite en gorge profonde. Heureusement, il ne poursuit pas trop longtemps cette position étouffante. Sa respiration s'accélère de plus en plus ; il ne va pas tarder à livrer sa semence. Encore deux aspirations et le premier jet arrive. Il bloque ma tête avec ses mains et je déglutis pour avaler le lait qu'il me fournit. Je l'entends pousser de petits râles de plaisir retenus pour ne pas alerter l'entourage de ce qui se passe.
Nous restons branchés le temps que je fasse l'ultime nettoyage de cette queue magnifique qui ramolli doucement dans ma bouche. Il se retire enfin.
- T'es vraiment une bonne salope de suceuse. Je vais bien t'utiliser comme vide-couilles, t'es trop bonne.
- Tant que ça reste discret…

Une certaine habitude s'est installée entre nous et nous nous retrouvons toujours avec plaisir pour que je le suce.
Après quelques mois de cette routine, il arrive un matin avec un sourire carnassier que je ne lui avais encore jamais vu.
- Salut, salope ! Va dans les chiottes et mets-toi à poil, là, j’arrive !
- T'es fou ou quoi ?! Pas ici, c'est trop dangereux.
- Vas-y et tout de suite ! Je te le redirai pas !
- Ça ne servira à rien de le redire. Je t’ai très bien entendu. Mais c’est hors de question.
Son regard devient alors noir, menaçant. Je flippe un peu mais je ne cèderai pas.
- Dans les toilettes, tout de suite ! Vas-y, je te suis !
Je sors du SUIO et me dirige alors vers les toilettes qui se trouvent dans un autre couloir. A peine ai-je ouvert la porte qu’il me pousse dans cette pièce exiguë et referme la porte derrière lui.
- Dessape-toi, salope !
J’enlève alors chemise et pantalon.
- Vire ton slip !
Je me baisse alors pour enlever mon caleçon.
- Tourne sur toi, salope. Lève les bras et écarte les jambes.
J’obéis sans opposition et fais un tour complet sur moi-même pour me retrouver face à lui.
- Bien. A genoux maintenant. Et suce-moi en profondeur. Prends bien ton temps surtout.
J'exécute ses ordres et, pendant plus de vingt minutes, je m’active sur sa queue conquérante. Il se vide les couilles comme d'habitude mais, malgré tout, avec une sévérité toute nouvelle.
Après le nettoyage habituel, il s'est rajusté, et alors que je prends mon caleçon pour le remettre, il m’attrape par le bras et approche son visage du mien.
- Pas la peine de le remettre, les salopes n'en portent pas et t’es une salope, alors cul nu. Compris ?
- T’es malade, toi ! Pourquoi ça ?
- Parce que t'es une salope et que tu dois m'obéir sans broncher. Rappelle-toi : cul nu à ma disposition. Sinon…
Et il part sur ces mots me laissant pour ce que je devenais de plus en plus pour lui.

Il me laisse tranquille environ une semaine pendant laquelle je suis sur le qui-vive, jusqu’à ce que je tombe sur lui un matin dans un couloir. Quand il m’aperçoit, il vient directement vers moi. Il glisse une main dans mon pantalon pour vérifier si je porte un sous-vêtement. Sa main est chaude et me fait bander dans la seconde.
- Voilà comme j'aime les salopes : obéissantes et soumises. Et sans culotte. Allez, viens prendre ton biberon, il est plein de lait !
Il me prend par le bras pour m’emmener dans les toilettes. La porte à peine refermée derrière nous, je commence à me baisser devant lui mais il m'en empêche d'un ton glacial.
- Non, tu te plies en deux, ça me permettra de voir ton petit cul, j'ai envie d'y toucher !
Je lui ai obéi sans broncher. Il me claque les fesses de temps en temps et me flatte les flancs comme on le fait aux animaux.
La pipe est plus longue que d’habitude et la mâchoire commence à me faire mal, mais je pompe en soufflant au maximum.
Bien qu'il ne manifeste aucun signe de plaisir, je sens son gland grossir dans ma bouche avant que son foutre ne se rependre dans ma bouche.