- 2003 -
D'une main, il tient fermement ma nuque pour que je reste
la gueule collée au carrelage muré de la salle de bain. De son autre main, il
fait descendre mon pantalon et dégage mon cul pour appliquer des claques
puissantes sur mes fesses. Il commence alors à travailler mon trou avec deux
doigts.
- Tu vas prendre cher, ma salope ! dit-il en sortant
sa queue épaisse et circoncise.
Il fait taper sa queue bien raide sur chacune de mes
fesses.
Ce Maghrébin d'environ quarante ans, baraqué, avec
une barbe de plusieurs jours me tient à sa merci dans la salle de bain de
Philippe. Je sais que ce dernier ne m’a invité ici que pour me baiser après la
soirée et me garder chez lui pour la nuit. Il m’avait promis qu’il n’y aurait aucun
partage sexuel durant cette soirée. Je m’étais juste absenté pour me rendre aux
toilettes, mais pendant que je me lavais les mains, Samir est entré et, après
avoir refermé la porte derrière lui, s’est directement jeté sur moi en me
plaquant contre le mur.
- T'es une bonne salope soumise, hein, bébé ? T'aimes
les grosses bites dans ton cul et ta bouche, hein ? Tu vas en avoir !
Allez, écarte tes jambes, mon pote va te dérouiller avec sa bite pendant que tu
vas me sucer ! Et t'as intérêt à t'appliquer sinon on te baise le cul
direct de force. T’as compris, bébé ?
Samir est venu accompagné d’un mec qu’il a présenté comme
son voisin. Même Philippe a fait sa connaissance ce soir. Son pote, Joaquim, un
black encore plus baraqué que lui, charpenté comme un colosse, avec un
entre-jambe impressionnant, semblait pourtant réservé et un peu mal à l’aise.
Mais cette impression s’avère maintenant bien fausse ; la porte de la
salle de bain s’ouvre et je vois Joaquim entrer. Il ferme la porte derrière lui
tout en regardant la scène qui s’offre à lui.
Samir, en maintenant toujours sa main appuyée sur ma
nuque, me fait pivoter pour me mettre la tête face à sa queue dressée vers le
plafond. Il enfourne sa bite dans ma bouche. Je biberonne sa queue avec
application. Mes mains posées sur ses cuisses, il fait en sorte que mon cul
soit dressé vers son pote.
- C'est bien, t'es une bonne travailleuse. Tu vas me vider
les couilles, bébé.
Il se retire et se penche sur moi.
- T'as une jolie p’tite gueule de lope à baffer.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me prends deux
claques. Une sur chaque joue.
- Putain ! Une vraie chienne, s'éclate son pote en
m’écartant les fesses.
Samir glisse sa queue dans ma bouche tandis que celle de
Joaquim tente de se frayer un chemin pour m'enculer. C'est du sérieux, il entre
en moi un énorme morceau. Je n’ai pas vu sa queue mais un mec baraqué comme lui
doit avoir une queue proportionnée au reste.
Les deux hommes me défoncent la bouche et le cul et
s'amusent à m’humilier. Je ne sens déjà plus mon cul sous les coups de boutoir
de mon enculeur qui a bloqué mon bassin pour pratiquer un va-et-vient très
rapide.
C'est quasiment ensemble que les deux mecs inondent ma
gorge et mon cul de sperme. Les coups de boutoir dans mon cul continuent et
c'est enfoncé en moi jusqu'à la garde que Joaquim éjacule. Quand il se retire,
je tombe à genoux devant Samir qui continue de me baiser la bouche pendant que
sa queue ramollit. Mais je sens alors des jets de foutre sur mon dos. J’ai
senti Joaquim jouir en moi, ça ne peut donc pas être lui. Samir lâche son
étreinte et se retire. Je me retourne et vois Philippe en érection derrière
moi.
- Les mecs, ça fait du bien, dit Joaquim en rajustant son
pantalon.
- J’aurais bien aimé l’enculer, cette salope, poursuit
Samir.
Je suis assis, là, par terre, avec ces trois hommes autour
de moi.
- Ça t’a plu, ma chérie, me demande Philippe en se
rapprochant de moi.
Il me tend la main et m’aide à me relever. Puis ils
sortent de la salle de bain pour se diriger vers le salon. Je me nettoie et me
rhabille.
Quand je rejoins Philippe dans le salon, les autres sont
déjà partis. Philippe est allongé dans le canapé, une cigarette au bec, me
tendant le bras pour que je m’approche de lui. Je m’assoie sur le bord du
canapé.
- C’était pas prévu mais ils en avaient envie, je pouvais
pas les priver de ça, me dit-il en souriant.
Je ne réponds pas. Philippe se caresse l’entre-jambe à
travers son jogging.
- Allez, viens, on va se coucher.
Il écrase sa cigarette et je le suis dans sa chambre. Je
ne fermerai les yeux qu’après avoir encore été baisé une bonne heure.