mardi 30 décembre 2014

Les potes de Philippe : Samir & Joaquim


- 2003 -

D'une main, il tient fermement ma nuque pour que je reste la gueule collée au carrelage muré de la salle de bain. De son autre main, il fait descendre mon pantalon et dégage mon cul pour appliquer des claques puissantes sur mes fesses. Il commence alors à travailler mon trou avec deux doigts.
- Tu vas prendre cher, ma salope ! dit-il en sortant sa queue épaisse et circoncise.
Il fait taper sa queue bien raide sur chacune de mes fesses.
Ce Maghrébin d'environ quarante ans, baraqué, avec une barbe de plusieurs jours me tient à sa merci dans la salle de bain de Philippe. Je sais que ce dernier ne m’a invité ici que pour me baiser après la soirée et me garder chez lui pour la nuit. Il m’avait promis qu’il n’y aurait aucun partage sexuel durant cette soirée. Je m’étais juste absenté pour me rendre aux toilettes, mais pendant que je me lavais les mains, Samir est entré et, après avoir refermé la porte derrière lui, s’est directement jeté sur moi en me plaquant contre le mur.
- T'es une bonne salope soumise, hein, bébé ? T'aimes les grosses bites dans ton cul et ta bouche, hein ? Tu vas en avoir ! Allez, écarte tes jambes, mon pote va te dérouiller avec sa bite pendant que tu vas me sucer ! Et t'as intérêt à t'appliquer sinon on te baise le cul direct de force. T’as compris, bébé ?
Samir est venu accompagné d’un mec qu’il a présenté comme son voisin. Même Philippe a fait sa connaissance ce soir. Son pote, Joaquim, un black encore plus baraqué que lui, charpenté comme un colosse, avec un entre-jambe impressionnant, semblait pourtant réservé et un peu mal à l’aise. Mais cette impression s’avère maintenant bien fausse ; la porte de la salle de bain s’ouvre et je vois Joaquim entrer. Il ferme la porte derrière lui tout en regardant la scène qui s’offre à lui.
Samir, en maintenant toujours sa main appuyée sur ma nuque, me fait pivoter pour me mettre la tête face à sa queue dressée vers le plafond. Il enfourne sa bite dans ma bouche. Je biberonne sa queue avec application. Mes mains posées sur ses cuisses, il fait en sorte que mon cul soit dressé vers son pote.
- C'est bien, t'es une bonne travailleuse. Tu vas me vider les couilles, bébé.
Il se retire et se penche sur moi.
- T'as une jolie p’tite gueule de lope à baffer.
 Aussitôt dit, aussitôt fait, je me prends deux claques. Une sur chaque joue.
- Putain ! Une vraie chienne, s'éclate son pote en m’écartant les fesses.
Samir glisse sa queue dans ma bouche tandis que celle de Joaquim tente de se frayer un chemin pour m'enculer. C'est du sérieux, il entre en moi un énorme morceau. Je n’ai pas vu sa queue mais un mec baraqué comme lui doit avoir une queue proportionnée au reste.
Les deux hommes me défoncent la bouche et le cul et s'amusent à m’humilier. Je ne sens déjà plus mon cul sous les coups de boutoir de mon enculeur qui a bloqué mon bassin pour pratiquer un va-et-vient très rapide.
C'est quasiment ensemble que les deux mecs inondent ma gorge et mon cul de sperme. Les coups de boutoir dans mon cul continuent et c'est enfoncé en moi jusqu'à la garde que Joaquim éjacule. Quand il se retire, je tombe à genoux devant Samir qui continue de me baiser la bouche pendant que sa queue ramollit. Mais je sens alors des jets de foutre sur mon dos. J’ai senti Joaquim jouir en moi, ça ne peut donc pas être lui. Samir lâche son étreinte et se retire. Je me retourne et vois Philippe en érection derrière moi.
- Les mecs, ça fait du bien, dit Joaquim en rajustant son pantalon.
- J’aurais bien aimé l’enculer, cette salope, poursuit Samir.
Je suis assis, là, par terre, avec ces trois hommes autour de moi.
- Ça t’a plu, ma chérie, me demande Philippe en se rapprochant de moi.
Il me tend la main et m’aide à me relever. Puis ils sortent de la salle de bain pour se diriger vers le salon. Je me nettoie et me rhabille.
Quand je rejoins Philippe dans le salon, les autres sont déjà partis. Philippe est allongé dans le canapé, une cigarette au bec, me tendant le bras pour que je m’approche de lui. Je m’assoie sur le bord du canapé.
- C’était pas prévu mais ils en avaient envie, je pouvais pas les priver de ça, me dit-il en souriant.
Je ne réponds pas. Philippe se caresse l’entre-jambe à travers son jogging.
- Allez, viens, on va se coucher.
Il écrase sa cigarette et je le suis dans sa chambre. Je ne fermerai les yeux qu’après avoir encore été baisé une bonne heure.

dimanche 7 décembre 2014