- 2000 -
C’est la deuxième fois que Philippe doit venir chez moi.
J’ai appris la semaine dernière qu’il est en instance de divorce. Sa femme
n’accepte pas le penchant de son mari pour les hommes et, d’après ce qu’il en
dit, elle est assez garce dans le règlement du conflit. Philippe m’a dit qu’il
préfère avoir une femelle comme moi qu’une femme comme elle. J’étais très gêné
quand il m’a dit ça. Gêné parce qu’il y avait un soupçon d’humiliation dans ses
mots. Mais j’aime l’idée d’être sa femelle. Un homme comme lui est tout ce que
j’aime…
Il est arrivé très bien habillé. Difficile de ne pas
craquer ou de résister à un tel charisme. Vêtu d’un blouson de cuir, jeans et
pull épais. Une barbe de quelques jours, mal taillée, qui souligne sa mâchoire
carrée et accentue sa virilité.
Dans le message qu’il m’a envoyé aujourd’hui, il
m’annonçait avec une certaine autorité qu’il avait envie de se défouler avec
moi ce soir. Je le sais très frustré par sa femme à cause de la procédure de
divorce, et j’ai bien compris qu’il cherche à regagner une forme de domination
avec moi.
On se serre la main à son entrée, et je l’accompagne
jusqu’au salon. Il s’assoit sur le canapé. Je suis mal à l’aise ; je ne
sais pas quoi faire, je ne sais pas quoi dire, et j’attends presque son
approbation pour m’asseoir à côté de lui sur mon propre canapé. Je m’assois
cependant en évitant de le regarder.
Assis à côté de lui, mes yeux se posent sur ces jambes. Je
savoure la vue de ce jeans laissant deviner ses cuisses musclées. J’aime poser
mes mains sur ses cuisses quand il me baise. Ou les caresser comme des piliers
qui me servent d’appui pendant que je le suce à genoux, devant lui.
Il enlève son blouson et me le tend pour que je le range.
Il s’adosse, bien installé au fond du canapé et, trouvant toute son aise, me
demande de lui servir un Whiskey. Il m’avait demandé de lui en acheter pour ses
visites chez moi. Je nous sers donc un verre à chacun et je m’installe à
nouveau à côté de lui, calé dans le coin du canapé. On discute un long
moment ; j’apprécie vraiment nos échanges. Il est très instruit et me
complimente souvent pour mes connaissances.
Puis il pose son verre presque vide sur la table basse
devant nous et pose sa main droite sur ma cuisse.
- Allez, lance-toi. Tu me fais déjà bander. Fais-lui
prendre un peu l’air, me dit-il en écartant bien les jambes.
Je descends lentement à terre, en frottant mon visage sur
son pull. A genoux entre ses cuisses, je défais sa ceinture et déboutonne le
jeans ; il soulève le bassin, me permettant ainsi de descendre jusqu’aux
chevilles pantalon et boxer. Son gros sexe à moitié bandé, au milieu de poils
pubiens odorants, apparait au milieu de ses cuisses velues et puissantes.
- Vas-y, suce-moi !
J’entoure sa taille de mes bras et commence à lécher son
gland. De là aussi se dégageait une bonne odeur masculine. Je l’entends
soupirer de plaisir et de satisfaction. Il se laisse faire un bon moment,
savourant son verre de Whiskey et la succion de mes lèvres. Mais sa queue
devient vite très raide : un gland gonflé, merveilleux cylindre très dur, long,
bien gros et veiné. Je commence à ventouser sérieusement cette sacrée queue,
m’interrompant parfois pour la regarder, ou pour le regarder, lui, dans les
yeux, pour juger sa réaction.
- Tu veux mon jus tout de suite, ma salope ? Je sais que
c’est ce que tu veux ! Je me suis pas branlé depuis trois jours. Alors
pompe ! T’inquiète pas, je récupère très vite, tu vas en avoir.
Je ne me fais pas prier, motivé par cette promesse de jus
et cette assurance.
Sa queue est vraiment bonne. Il continue de boire
tranquillement son verre, me caressant les cheveux et bloquant parfois ma tête
pour donner de légers coups de reins au fond de ma bouche. Il grogne un peu de
plaisir.
- Bien au fond. Là, comme ça… Bonne salope…
Il me relâche et me laisse continuer. Je salive sur son
sexe.
- C’est ça, c’est bien. Ouais, c’est bien. Régale-toi, ma
salope !
Et soudain, haletant et d’une voix caverneuse :
- Oh ! Ça vient ! Allez, allez ! Purge-moi
bien, là ! Oh putain ! Ouais !
Il essaie de contenir un cri mais un râle puissant,
presque animal lui échappe, pendant que, dans une crispation totale, il
décharge dans ma bouche une sacrée dose de sperme, en nombreuses saccades.
Avant la fin, il reprend le contrôle et commente avec soulagement :
- Encore ! Là, tiens ! Ouais, encore une !
Il soupire longuement. Je savoure chaque gorgée. Je
réussis à maintenir ma langue sur la grosse veine qui se gonfle en expulsant
son jus, et à caler le gland contre mon palais pour mieux sentir les jets. Je
trouve son sperme vraiment délicieux.
Pendant que j’avale les dernières gouttes et lui nettoie
amoureusement la queue, je le regarde ; il rayonne de bien-être.
- Belle dose, hein ? T’as aimé, je vois, me dit avec un
sourire narquois.
- Oui, répondis-je en léchant sa bite et son gland,
toujours bien gonflés.
- T’es vraiment une sacrée salope, toi !
Je me relève et reprends ma place à côté de lui.
- Oh, tu sais, c’est pas elle qui va se fatiguer la
première.
Il finit d’une gorgée son verre de Whiskey.
- Bon, tu t’es pris trois jours dans le gosier mais, moi,
j’ai fini mon verre, ajouta-t-il en me tendant le verre vide.
Je me lève pour lui en servir un autre.
- Mets-toi à poils, me dit-il en rapprochant de lui la
table basse pour poser ses pieds et allonger ses jambes.
Il en profite pour se débarrasser de ses pompes et de son
jeans, resté aux chevilles. Il enlève pull et chemise, dévoilant son torse
musclé et poilu, avec toujours ce parfum poivré délicieux. Je lui tends le
verre qu’il prend avec un hochement de tête.
Je m’assois à côté de lui. Il se caresse la queue, à peine
ramollie, et me fait un clin d’œil en se penchant légèrement vers moi. Je
m’approche également et l’embrasse. Il me roule une pelle endiablée. Sa barbe
me griffe le visage.
- Dis donc, t’aurais pas vidé une grosse paire de
couilles, toi ? me dit-il avec un sourire moqueur.
Je lui répondis en souriant aussi.
- Si, une grosse paire de couilles bien pleines,
répondis-je.
Puis il m’embrasse encore un long moment.
- T’es prêt à faire ce que je veux ?
- Oui.
- Tu sais que t’auras tes doses à volonté ?
- Oui, raison de plus.
- OK, après on ira au pieu et tu vas morfler ! Avant,
lèche-moi les couilles en t’inclinant pour me montrer ton cul.
Je me penche alors en prenant appui sur ses jambes
allongées. Je cambre mes reins pour lui laisser accès à mes fesses. Je lèche
ses couilles poilues pendant qu’il se caresse le gland.
- C’est plus fort que toi, hein ? T’aime ça, lécher une
bonne paire de couilles, dit-il mi amusé mi excité.
Je sens son doigt mouillé appuyer sur mon trou. Je
redouble d’ardeur, suçant et léchant ses couilles.
- Ouais, lèche bien comme ça. Ecarte tes fesses !
J’écarte mes fesses d’une seule main et garde l’autre sur
sa cuisse pour garder appui. Son doigt décrit des cercles et appuie de temps en
temps sur mon trou.
- Joli… Bien serré en plus…
Il a un petit rire vicieux.
- Quand je l’aurai explosé, il ressemblera plus à rien...
Il rentre alors son doigt lentement et s’amuse avec mon
trou tout le temps que je lèche ses couilles. Il se penche pour poser son
verre.
- C’est bon, arrête.
Il replie ses jambes et s’enfonce dans le canapé pour me
présenter sa queue de nouveau bien raide, les cuisses bien écartées.
- Vas-y, suce-moi encore. Et applique-toi.
Il n’a pas besoin de me le dire ; je lèche toute la
longueur de son sexe avant de prendre le gland en bouche. Ses râles ne
s’arrêtèrent plus. Je lèche et suce cette queue virile et tendue.
- Oh, putain ! Oh, ouais, salope ! Suce-moi la queue,
putain ! C’est trop bon !
Ma langue s’acharne à lécher cette queue qui m’est
offerte. Je gémis moi-même de plaisir.
- Oh ouais, t’aimes ça, hein ? C’est bon de sucer le
chibre de ton homme ?
Philippe, dans un déluge d’insultes, dégage une de ses
mains pour me plaquer encore plus la tête contre lui.
- Vas-y, p’tite pute ! Suce-moi bien la queue ! Ouais !
Régale-toi, ma salope ! Pompe-moi le dard à fond !
Finalement, il m’interrompt pour me mettre à quatre
pattes, en travers du canapé, pour que je le pompe pendant qu’il me doigte. Sa
queue est devenue hyper sensible ; je le sens réagir à chaque coup de
langue. Il lèche deux doigts qu’il glisse dans mon cul, et se met à limer très
vite, au point que j’en lâche sa queue pour crier ; il me fait vraiment
mal.
- Regarde-moi ! C’est bon, hein ?
- Non, tu me fais mal !
- Je sens que tu t’ouvres. Tu veux le troisième, salope ?
- Non, arrête ! Tu me fais mal !
Son regard devient dur, son front se plisse et je ne vois
que ses sourcils froncés. Il n’écoute pas ma réponse et un troisième doigt
s’ajoute aux deux autres. Mais la vitesse réduit ! Il continue de me fixer du
regard. Son visage semble mimer un plaisir que je n’ai pas. Il hoche la tête en
se rapprochant de moi.
- C’est bon, ça, ma chérie, hein ?
Il accélère un peu la cadence et mes cris redoublent.
- Ta gueule, et pompe !
Sa main me plante la tête sur sa bite, et m’oblige à
pomper au rythme de son invasion.
- Putain ! Toi, tu vas te faire viander ! Allez, au
pieu !
Mon appartement étant bien petit, il a juste à me soulever
et faire quelques mètres pour me poser sans ménagement sur mon lit. Il
m’installe en levrette au bord du lit et reste debout, observant mon cul en le
caressant d’une seule main. Il s’enfonce alors dans mon cul, lentement, et je
sens le gonflement que son sexe impose à mon trou.
- Putain, que c’est bon ! jure-t-il, semblant apprécier
l’instant.
Mon cul lui va parfaitement. Commence alors un puissant
ramonage ; il me pilonne comme une bête pendant cinq bonnes minutes, me
tenant fortement la taille.
- Ouais ! Tu peux couiner, salope ! Tiens ! Je vais te
faire le cul, moi ! Tu vas t’en souvenir !
Il s’arrête et m’attrape les cheveux.
- Viens me sucer !
Je me tourne à quatre pattes pour lui sucer la queue,
énorme et luisante. Il me regarde, reprenant son souffle, les mains sur la taille.
Il dégouline déjà de sueur.
Puis il revient à la charge ; cette fois me montant
dessus au bord du lit, comme les chiens qui s’enculent, me limant d’abord
lentement en me chuchotant à l’oreille que j’ai un cul de rêve, et on sent bien
tous les deux à quel point ça coulisse à merveille, aussi serré que glissant.
Puis il redresse le buste, attrape mes épaules, et me matraque encore plusieurs
minutes. J’ai la sensation que jamais mon cul ne se refermera ou alors ne sera
plus jamais le même. Parfois ses poussées sont si brutales, qu’en plus de me
faire crier, elles me demandent un effort terrible pour ne pas avancer droit
dans le mur.
Une nouvelle fois, et ainsi de suite, pendant une heure de
temps. Mais il sort enfin, s’allonge et me fait sucer sa queue, trempé et à
bout de souffle ; mon cul peine à se refermer en effet. Dès que Philippe pense
avoir récupéré, ses reins le démangent. Il décide de me reprendre levrette. Il
bourrine tellement que j’ai l’impression qu’il veut s’enfoncer queue et
couilles en moi ; j’en hurle dans l’oreiller dans lequel sa main me plaque la
tête.
- Ah, tu morfles, hein, salope ! Je te l’avais dit !
Il se retire pour me présenter sa queue à sucer.
- Tiens ! Suceuse de bites ! Tiens ! Lécheuse de cul !
Je n’en peux plus. Je ne bouge que difficilement pour
venir le sucer. Sa queue me parait presque effrayante, une arme infatigable qui
me laboure sans jamais cracher ; et pourtant, quand je la prends au sortir de
mon cul explosé pour la sucer, j’essaie de la faire céder en fond de gorge ;
j’y arrive presque quand Philippe me recule pour se contrôler et ne pas cracher
Mais il n’en a pas fini avec moi, et le verbe « viander »
prend tout son sens. J’ai le trou en charpie. Ça n’empêche pas de nouvelles
positions : debout sur le lit contre le mur, en missionnaire, allongé sur le
dos, etc.
L’épisode du missionnaire est un peu différent : après
avoir repris la même cadence infernale et son ramonage en profondeur, qui
soulève ses fesses suintantes et musclées comme l’acier, après m’avoir arraché
à chaque coup de reins un cri qu’il vient aussitôt étouffer en enfonçant sa
langue dans ma bouche, il ralentit, devient moins bestial, m’embrassant dans le
cou, et murmurant avec un souffle sacadé à mon oreille des choses plus
gentilles.
- Ce cul ! Ce cul ! Tu me rends fou tellement c’est bon,
putain ! Je veux pas arrêter.
Il dévore mon visage de baisers.
- Ma p’tite salope !
Et sans cesser bien sûr de limer, mais très lentement. Son
ventre frotte ma queue, qui brûle depuis longtemps déjà. Il sent à mon souffle
et à mes mains, plus crispées sur ses fesses, que je vais décoller.
- Je vais jouir, lui dis-je.
- Oui, bébé, vas-y ! Jouis pour moi, vas-y !
Il prend ma tête à deux mains, m’embrasse profondément en
accélérant ses mouvements et le frottement. Je me sens partir, je gémis dans sa
bouche. Il relève la tête pour me voir jouir. La chaleur de mon jus se répand
entre nos deux ventres.
- Oui, c’est bien, bébé, c’est bien, dit-il à chaque
spasme qui me secoue.
Puis il se met à genoux et plaque mes jambes en l’air
contre son torse, et continue de me bourrer le cul. Je suis comme une poupée
morte, un simple boyau pour lui permettre de se finir. Il ramasse sur mon
ventre un mélange de sperme et de sueur qu’il me donne à sucer sur ses doigts.
Même épuisé, je tette naturellement ; ce qui le remet en feu. J’ai droit à
un dernier poutrage terrible. Il gueule lui aussi, n’en pouvant plus de se
retenir sans doute.
- Je vais me vider, salope ! Et je vais te rincer !
Après quelques coups frénétiques, il gueule, gueule, sort
de moi et se met debout.
- A genoux, salope ! Putain, tu vas le prendre !
Je suis à peine sur mes genoux, devant sa bite qu’il tient
fermement dans sa main, qu’un torrent de jus gicle du gland. J’ouvre aussitôt
la bouche pour récolter sa semence. J’en reçois partout sur le visage sauf dans
la bouche. Ça n’en finit pas, pas plus que ses râles libérateurs. Clignant des
yeux, je peux voir qu’il s’adosse au mur pour ne pas chanceler ; tout son corps
tremble, son ventre se plie.
- Oh, putain… Oh, putain de Dieu !
J’avale tout de même ce que j’ai reçu et je sens que son
jus dégouline d’autant plus sur mon visage qu’il est déjà couvert de sueur. Son
jus coule sur mon torse et sur mes cuisses. J’essuie mes sourcils du revers de
la main. Philippe s’effondre sur ses genoux en glissant sur le mur et s’assoie
sur ses talons. Je prends en bouche délicatement sa bite qui commence lentement
à ramollir. Vidé dans tous les sens du terme, il reste longtemps ainsi les yeux
fermés, puis me regarde, sourit, et récolte de ses doigts son jus, qu’il glisse
avec sa bite dans ma bouche.
On s’écroule tous les deux au milieu de mon lit, tête
bêche. Il s’assoupit un moment. Enfin je peux me reposer. Je le regarde dormir
à côté de moi, nu. Je contemple ce corps d’une virilité qui me bouleverse
complètement. Et je me dis être chanceux d’avoir été choisi par un homme comme
lui.
Il s’écoule bien une demi-heure avant qu’il ne se réveille
presque d’un bond.
- J’ai besoin d’une bonne douche, là. Et toi aussi.
Je le laisse occuper la salle de bain en premier. Je reste
allongé sur mon lit et m’endors à mon tour sans même m’en rendre compte. C’est
le contact d’une serviette sur mon visage qui me réveille ; Philippe
m’essuie le visage encore couvert de son sperme séché. Il est déjà habillé et
prêt à partir. Je me relève brusquement.
- Non, viens juste au bord du lit. Allonge-toi sur le dos,
la tête dans le vide.
Je comprends où il veut en venir et je m’exécute. Il ouvre
son jeans et sort sa queue de son boxer.
- J’ai encore du sirop pour toi. T’en as eu partout mais
pas tellement dans le bide, hein ?
Je souris, avant d’avaler la bite qu’il enfourne dans ma
bouche. Je tette et suce si bien qu’elle retrouve ses dimensions et sa raideur
en quelques secondes. Cette position idéale pour les gorges profondes me fait
bander et, je l’avoue, me chatouille le cul.
- Vas-y, branle-toi. Je me vide une dernière fois les
couilles avant de rentrer.
Il passe ses mains sous son pull pour atteindre les
tétons. Je me branle en me doigtant légèrement le trou. Sa queue commence de
profonds va-et-vient dans ma bouche offerte, sur toute la longueur. Son
mouvement est lent et agréable. Je sens le gland forcer ma glotte. L’excitation
me fait ouvrir grand la bouche comme un gouffre, et il peut ainsi limer sans
peine. Je sens à chaque mouvement ses couilles se poser sur mes narines.
- Dis donc, tu sais mouler une bite des deux côtés, toi !
Nous ne tenons pas longtemps ; je me branle
frénétiquement en me doigtais tout autant, pendant que lui se pince les tétons
en accélérant le limage de ma gorge. Sa bite fouilleuse m’empêche de crier
quand je gicle sur moi, trois doigts au fond de mon cul. Presque aussitôt, son
râle monte tandis qu’il ralentit ses mouvements.
- Ouais, putain ! Avale !
Et ma bouche se remplit de son jus brûlant, du fond à
l’entrée, selon ses mouvements de bassin. Pas facile d’avaler à l’envers, mais
avec la faim de son jus qui me tient, je réussis bien. Il se laisse pomper
encore jusqu’à ramollir, puis remballe son morceau. Je m’assois sur le bord lit
et le regarde fermer sa braguette. Je me rends compte qu’il est impeccable,
comme il était arrivé, et moi, démonté du cul et le visage croûté de sperme,
j’ai un peu honte. Ça ne l’empêche pas de me dire de réserver mon samedi soir.
- P’tit vide-couilles, va !
Et il m’embrasse goulûment, me léchant les lèvres et
suçant ma langue.
- Allez, je file. Remets-toi bien ! La même chose la
prochaine fois !
Je reste assis sur mon lit et le laisse partir en
refermant la porte derrière lui. Cette prochaine fois, je vais m’en souvenir
longtemps…