- 2005 -
Cet après-midi, Hassein me propose de prendre une
chambre au F1. Ça ne me plait pas beaucoup, je n’aime pas l’idée de louer une
chambre juste pour baiser ; ça me donne l’impression stupide d’être un
prostitué. Mais ne pouvant refuser cet ordre, j’accepte sans rechigner.
On se retrouve sur le parking du F1. Direction, la
réception, et on file dans la chambre. Hassein me saute dessus la porte à
moitié refermée. Il commence à m’embrasser, collant son corps contre le mien, et
m’obligeant à reculer. Il me pousse en fait vers le lit sur lequel il me fait
basculer. Il enlève sa veste et son t-shirt, laissant apparaître son torse
lisse et musclé, et s’allonge sur moi. On s’embrasse pendant cinq ou dix
minutes tout en se caressant. Je m’amuse à bien lui palper sa queue raidie à
travers le survêt ; je sais que ça l’excite beaucoup. On se déshabille au
fur et à mesure que nos baisers deviennent plus ardents. On enlève à tour de
rôle un vêtement. C’est lui qui m’enlève mon pantalon. Je suis nu en dessous
comme il me l’a demandé. Il me met directement un doigt dans le cul.
- Je te prépare bien ta chatte, Bébé. Je suis chaud,
là.
Il me lèche le cou et les tétons, puis il remonte vers
moi et se met en mode dominateur.
- Suce-moi, Bébé !
Il s’allonge sur le dos et je descends entre ses
jambes. Je prends en bouche sa queue bien raide, longue et épaisse. Il me
laisse faire pendant quelques minutes, puis je l’entends gémir assez fort. Il
me prend la tête se met à me baiser la bouche tout en m’insultant et me donnant
des claques sur le haut de ma tête.
- Tiens ! Prend ça, salope ! Sale
pute ! Salope ! Pétasse !
C’est la première fois qu’il m’insulte comme ça. Il a
toujours été jusque-là assez doux dans ses propos.
Cela dure bien une quinzaine de minutes. Un petit jeu
entre les moments où il se laisse faire et ceux où il me baise la bouche.
J’aime ce nouveau comportement, même si cela m’inquiète un peu pour la suite.
Je reviens vers lui pour l’embrasser. Il me prend la
tête entre ses deux mains et m’embrasse violemment.
- Viens là que je te nique, salope !
Il me fait prendre position à quatre pattes. Je sens
son gland chaud sur mes fesses. Il les écarte pour positionner sa queue sur mon
trou. Il me pénètre progressivement jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi.
Une fois enfoncé jusqu’au bout, il commence à me baiser. Il y va
tranquillement. Je sens sa respiration sur ma nuque. Petit à petit, je sens ses
couilles taper contre mon cul. Il commence alors des va-et-vient de plus en
plus saccadés en me claquant les fesses.
- Pute à jus ! Pétasse ! T’aime mon gros
zob, hein ?
Il me défonce complètement le cul. Je le découvre sous
un nouveau jour ; il me baise comme un dingue pendant une bonne dizaine de
minutes.
- J’en peux plus. Viens t’empaler, salope !
Il s’allonge et je m’enfonce doucement sur son dard
dressé. Je me mets à faire de bons va-et-vient.
- Putain ! C’est ta chatte qui me baise la queue,
salope ! Tu le sens bien, mon chibre, hein ?
Il me claque de temps en temps, ça a l’air de beaucoup
l’exciter. Puis il reprend les commandes et me pilonne comme un malade. Je crie
à chaque fois tellement les coups sont brutaux mais je jouis du cul comme
jamais.
- Je vais gicler ! Viens pomper, salle
chienne !
Je m’extrais de sa queue et il se met directement à me
défoncer la bouche, puis à se branler contre mes lèvres, et me balance toute la
purée dans la gorge en s’enfonçant au moment de gicler. Quatre bons jets que
j’avale avec plaisir.
- Ouah ! C’était tip-top.
Je le regarde d’un air interrogateur. Je déteste cette
expression et j’ai vraiment le sentiment de ne pas le reconnaître.
On se repose une petite heure devant la télévision
mais rien ne l’intéresse vraiment.
- Viens, on va se faire un ciné, me lance-t-il.
On se rhabille en discutant des films à voir en cette
semaine de juillet. Et au moment d’ouvrir la porte, il m’embrasse tendrement
comme il l’a toujours fait ; ça me rassure. Il ouvre la porte et on
s’engage dans le couloir. Je le laisse rendre les clés à la réception pendant
que je sors, mal à l’aise, pour ne pas être vu par le réceptionniste qui a
pourtant bien compris ce qu’on est venu faire ici.
Direction le 8 Nef. Je l’ai laissé choisir le film et
j’ai dormi jusqu’au générique de fin.