- 2015 -
Tous les
matins, pour aller au travail, je dois traverser la place Carnot pour prendre
le tramway. Et tous les matins, je croise des groupes de mecs, du style rebeus
des quartiers, assis sur les bancs de la place.
Un matin, un des
mecs, habillé en survêt, vient me parler. Il s'appelle Yanis. Il me dit que sa voiture
ne démarre plus et qu'il a besoin d'aide.
- Désolé, mais
je n’y connais rien en voiture. Je n’ai même pas le permis.
- C’est pas
grave, me dit-il. Faut peut-être appeler les secours mais j’ai besoin d’aide
avant de les appeler. Tu peux m’aider, y’en a pas pour longtemps.
- C’est pas les
secours qu’il faut appeler, c’est une dépanneuse.
- Ouais, une dépanneuse,
c’est pareil.
- Bon, et qu’est-ce
que je peux faire ?
- Viens, je te
montre.
Il se dirige
vers l’un des bâtiments et je le suis.
- Je le répète,
je veux bien vous aider mais je n’y connais rien en voiture.
- Non, t’inquiète,
ça sera pas long.
Je ne vois pas
trop ce que sa réponse a à voir avec ce que je viens de lui dire mais je n’insiste
pas et le suis. Il m’explique qu’il n’a pas pu démarrer sa voiture un peu plus
tôt pour rentrer chez lui.
- Vous
travaillez de nuit ?
- Oui, je taffe
à côté. Mais c’est juste au black.
- Ce qui
compte, c’est de pouvoir travailler un peu et d’avoir des rentrées d’argent.
- Voilà, mec. T’as
tout compris.
Il sourit et me
regarde à deux reprises en marchant.
- T’habite ici,
toi ? Je te vois passer tous les matins. On t’a repéré avec mes potes.
- Oui, j’habite
juste à côté. Je traverse la place pour aller au tram.
- Ouais, c’est
cool ici. C’est un quartier de bourges.
- La preuve que
non. Moi, je ne le suis pas.
On arrive dans
un parking intérieur où des échafaudages de rénovation de façades prennent
toute la place. Il n’y a personne et aucune voiture en vue. Mais j'ai à peine
le temps d’en faire la remarque qu'il m’attrape par le bras pour me coller à
lui et me rouler une énorme pelle.
- Hey ! Ça
va pas ?
- T’as une
bonne bouche de salope, j’ai trop envie !
J’essaie de me
dégager mais il me donne énorme balayette qui me met à terre. Me tenant
toujours le bras, j’arrive à me redresser pour reprendre mon équilibre à
genoux, devant lui. De sa main libre, il sort sa queue déjà bien raide et me
force à le sucer.
- Suce mon zob,
sale pédé ! T'es qu'une salope en manque de bonne queue ! T’aimes le
zob de rebeus ?
Pendant près d’un
quart d’heure, il me baise la bouche sans relâche. Sa main gauche n’a toujours
pas lâché mon bras tandis que, de la droite, il me maintient la tête sur sa
queue pour me faire des gorges profondes.
Tout à coup, j’entends
du bruit derrière moi, mais ça ne semble pas le perturber. J’essaie de me
dégager, pensant qu’il s’agit certainement d’un riverain et profiter de sa
présence pour m’enfuir.
- Putain, reste
tranquille, la salope, ou je défonce la gueule !
- Oh, Yanis !
T’es en chien ? On devait se la faire avec les couz, cette pédale !
- Ouais, mais
putain, elle est trop bonne !
Je comprends
que c'est son pote et que je ne vais pas devoir me contenter de la queue de
Yanis.
- Oh Abdel !
Tu veux te les vider ?
Yanis me tire
les cheveux pour m’écarter de sa queue et me dirige vers celle d’Abdel qui la
sort au même moment. Celui-ci me claque les joues à coups de queue avant de me
l’enfoncer dans la bouche.
Je commence à le
sucer pendant que Yanis glisse sa main dans mon pantalon à la recherche de mon
trou. Il m’attrape par les hanches pour me remettre debout en me gardant courbé
pour pourvoir sucer son pote. Il défait ma ceinture et baisse mon pantalon
jusqu’aux genoux. Je l’entends cracher avant de sentir ses doigts me dilater le
cul.
D'un seul coup,
je sens sa grosse queue s'enfoncer. J’ai un réflexe de résistance mais les deux
hommes me maintiennent courbé, je dois continuer de sucer Abdel.
- Reste
tranquille, je t’ai dit ! m’ordonne Yanis. On va te défoncer sinon !
Abdel se penche
au-dessus de moi pour voir comment ça se passe avec Yanis et mon cul, tout en
maintenant ma tête sur son entrejambe. Il se redresse et s’enfonce bien au fond
de ma gorge en poussant un râle de jouissance. Je reçois tout son foutre en
fond de gorge. J’ai beaucoup de mal à avaler sans m’étouffer, mais il reste
immobile jusqu’au dernier jet.
Yanis continue
de m'enculer en accélérant la cadence. Abdel, lui, retire sa queue de ma bouche
et s’essuie le gland sur mes lèvres. Je reprends mon souffle tout en léchant
cette queue toujours bien raide.
Yanis se retire
et me fait pivoter face à lui. Il se branle nerveusement face à moi.
- Ouvre ta gueule,
sale pute ! Tu vas gouter du bon jus !
Je prends alors
sa queue en bouche juste au moment où il éjacule. Son sperme finit lui aussi
dans ma bouche.
- Avale, pédé !
Avale tout !
C’est ce que je
fais tout en me redressant.
Je me sens tout
ankylosé. J’ai mal aux bras, au dos, aux genoux, et j’ai l’impression que ma mâchoire
a doublé de volume. Ils partent en riant et me laissent comme une merde en
plein milieu du parking, sous les échafaudages.
J’appelle alors
le bureau pour prévenir que je ne me sens pas bien et que je prends ma journée.
Je décide de rentrer chez moi en prenant soin de contourner la place Carnot
pour éviter de croiser Yanis et Abdel, et tous leurs potes. J’ai du mal à
marcher. Mais je m’aperçois seulement à ce moment-là que je bande, excité par
ce que je viens de subir.
Arrivé chez
moi, je prends directement une douche. J’ai mal au cul, mais satisfait d’avoir
pu attirer de tels mecs pour me baiser.
Depuis, tous
les matins, pour aller au travail, je dois traverser la place Carnot pour
prendre le tramway. Et tous les matins, je croise Yanis qui me regarde toujours
fixement en se touchant la queue à travers son survêt.