- 2003 -
Approche gentille, poignée de mains franche, sourire
chaleureux ; je me présente à Laurent, un ami de Philippe. L’homme semble
très sympathique au premier abord.
- Y parait que t’as des talents de décorateur ?
me demande-t-il.
- Oui, on peut dire ça…
- Philippe m’a dit que t’étais OK pour faire ça
gratos. C’est au premier. J’ai encore un peu de temps devant moi avant l’ouverture,
je vais te montrer ça.
Son sourire ne le quitte pas. Moi, je suis un peu mal
à l’aise. Quand Philippe me demande de rendre visite à un ami à lui, ce n’est
jamais pour faire de la déco mais pour qu’il me baise. Je pensais que c’était
encore une fois le but de cette entrevue mais il semblerait que je me trompe
car l’attitude de Laurent me rassure. La prise de contact est sympathique et
sincère. Il se dirige vers l’escalier et m’invite à le suivre.
Il monte à l’étage en m'envoyant un clin d’œil amical.
Je le suis de très près et ne peux m’empêcher d’observer le galbe de ses jambes
musclées. Au bout de quelques marches, il se retourne brusquement et me plaque
la tête sur sa braguette en continuant de progresser à reculons. Je suis presque
à genoux sur les marches. Il me maintient la tête fermement des deux mains,
bien serrée au bon endroit. Plus du tout de douceur, je ne peux que le suivre à
quatre pattes comme je peux. Ma première idée était donc la bonne ;
Philippe m’a bien envoyé ici pour que son pote me baise.
Sans transition, il entame une série de coup de reins
cadencés et rapides, le tout en reculant. Je sens un durcissement rapide sous
le tissu. Nous continuons de monter cet escalier qui s’élargit en arrivant à
l’étage. Il me fait profiter pleinement du mouvement de ses cuisses en montant
les marches.
Laurent ne se pose vraisemblablement pas de questions.
Il bande. Et plus il bande, plus il m'écrase le visage sur la bosse de son
jean. Il accélère les va et vient en amplifiant sur la poussée. Je ne vois rien
mais je peux sentir que c'est un mec très musclé. Il s'éclate sur ma tête et je
sens son désir monter.
Nous sommes arrivés au premier étage mais Laurent
continue de marcher à reculons en maintenant ma tête contre lui. J’ai
l'impression qu'il va faire toute la pièce comme ça, mais au bout d'un moment,
il me redresse face à lui et me lèche les lèvres.
- Attends, je serai mieux à poil.
Je remarque que nous sommes au centre d'une petite
pièce sans meuble, loin au-dessus du bar. Il se recule légèrement avant d’éparpiller
ses vêtements dans tous les sens sans cesser une seule fois de me fixer
chaleureusement. Il me regarde comme s’il allait me dévorer. Il est sacrément bâti ;
je vais avoir droit à une baise musclée. Le slip est la dernière chose qu’il
enlève et je découvre ce corps totalement nu devant moi.
Il revient sur moi en souriant, sans aucune gêne,
érection en avant. Il me laisse à peine le temps de l'admirer. Il me reprend la
tête dans ses mains et me force à m’agenouiller devant lui. Il frotte ma tête sur
son sexe. Pas de sentiment avec lui. De toute évidence, seul l'acte compte. Il
dirige sa queue dans ma bouche.
- Allez, avale-moi ça !
Je résiste un peu. Laurent est vraiment bien monté, il
bande très fort et j’ai du mal à avaler sa queue. Mais son odeur me plait. Lui
insiste pour me pénétrer en ramenant son gland sur mes lèvres. C'est une vraie
idée fixe et une belle lutte que je vais perdre. En résistant, je profite ainsi
de sa puissance virile. Je sens que ma résistance l'énerve un peu mais il est
bien plus fort que moi. Perdant patience, il force le passage et m’enfonce sa
queue jusque dans la gorge. Il me bloque la tête dans cette position.
- Tu vas l’avaler, oui ?!?
J'étouffe rapidement. Je sens ses couilles sous mon
menton. J’ai le nez perdu dans ses poils pubiens et je ne peux plus respirer.
Je m’agrippe à ses cuisses pour qu'il desserre son étreinte mais il maintient
la pression et semble y prendre du plaisir. Au bord de l'asphyxie, je tape sur
ses cuisses et il me relâche enfin. Je prends une grande inspiration et mais il
en profite pour y réintroduire son érection profondément. Il me regarde
triomphant me démener et tenter de reprendre mon souffle avec sa queue enfilée
au trois quarts dans ma bouche. Je salive et commence à sucer. Ça l'excite. Il
l'enfonce et me maintenant empalé sur son pieu.
Il va se placer dans l'angle de la pièce. Il maintient
donc ma tête pour que je garde sa queue en bouche en se déplaçant. Je recule
accroupi tant bien que mal. Je me retrouve adossé au mur, assis sur le sol,
avec cette queue qui me baise la bouche avec détermination. Ses coups de reins
sont brutaux et ma tête cogne contre le mur. Je crains qu'il ne me baise par la
suite aussi brutalement.
Nu, sans aucun complexe, il passe à une cadence
soutenue. Il n'est pas pressé de jouir et le ramonage dure, régulier, puissant,
bien appuyé. Quand l'explosion libératrice arrive, il est arque-bouté sur moi
comme s'il voulait me faire rentrer dans le mur. Le nez dans ses poils de pubis
en sueur, je résiste tant bien que mal en avalant le flot de sperme qu'il
m'injecte sans état d'âme. Ça dure de longues minutes avant qu'il ne se retire,
le sexe à moitié dégonflé, récupérant sans attendre tous ses vêtements. Il
s'habille tranquillement sans se presser. Dégoulinant de son sperme, je regarde
la brute satisfaite. Il ne s'excuse pas pour sa brutalité, il m'indique juste
une salle de bain en remontant sa braguette et ajustant sa ceinture, avant de
redescendre au bar le plus naturellement du monde. Je suis soulagé qu’il n’ait
pas souhaité d’avantage que de se vider les couilles dans ma bouche.
Une fois lavé, revenant de mes émotions, je descends à
mon tour. Il est déjà en train de servir les premiers clients et me propose de
prendre un verre avant de partir mais je refuse. Pour lui, ce n'était qu'une
formalité ou plutôt une occasion vite consommée. Il est en plein service comme
si rien ne s'était passé.
Quand je pars, il me sert la main le plus
naturellement qui soit.
- T’as jeté un coup d’œil à l’étage ? Reviens la
semaine prochaine, tu me feras part de tes idées, me dit-il avec un clin d’œil.
Laurent est une brute, mais une brute somme toute bien
sympathique.
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