jeudi 28 février 2013

Avec Philippe : Une soirée au restaurant


- 2002 -

Aujourd'hui, vendredi, je dois voir Philippe. Il m’a juste envoyé un SMS me donnant l’heure et le lieu de rendez-vous. On doit se retrouver à la gare. J’y suis depuis dix minutes quand j’entends dans mon dos :
- Au moins, j’ai pas à attendre. Suis-moi !
Je le suis donc. A aucun moment il ne se retourne et ne m’adresse la parole. On marche ainsi jusqu’à rejoindre sa voiture garée au deuxième sous-sol du parking de la gare. Il s’installe au volant, moi à côté de lui. Il allume la radio et met sa ceinture de sécurité. En mettant la mienne, j’ose rompre le silence.
- Bonjour, dis-je.                                                                                            
- Salut Nico.
Et sans dire un mot de plus, il démarre.
- On va où ?
- C’est l'heure de diner, je t’emmène dans mon resto préféré.
- OK…
Il éclate de rire.
- Je n’ai pas l’intention d’être obligé de te kidnapper, me dit-il d’une voix presque sévère. Quand t’es avec moi, c’est moi qui prends les décisions, alors que tu sois d’accord ou pas…
Il me regarde de son air dominant. Je ne dis rien… Pendant qu'il conduit, il me caresse les cuisses, les cheveux ou les joues.
- Je veux que tu rentres dans le restaurant deux minutes après moi. Tu diras au serveur que tu rejoins des amis, la réservation est à mon nom.
- Pourquoi après toi ?
- Parce que tu bouffes pas avec nous. C’est nous que tu vas bouffer. Tu vas bouffer de la queue, ce soir. Tu seras sous la table.
- Pas dans un restaurant quand même…
- T'inquiètes pas, il y a une grande nappe, dit-il en souriant. Personne ne te verra.
Il lâche le volant de sa main droite et commence à défaire sa ceinture et les boutons de son pantalon. Il pose sa main sur ma nuque et m’abaisse vers son entre-jambe.
- Tiens, suce-moi un peu, ça va me détendre en conduisant !
Et je commence à le sucer en prenant le maximum de sa queue dans ma bouche, chose pas très évidente dans cette position, mais le trajet ne dure pas longtemps. La voiture s’arrête avant qu’il ne jouisse. Je me redresse. Je regarde dehors et ne reconnais pas l’endroit. Philippe se rajuste et on descend de voiture. Je le laisse prendre de l’avance en fumant une cigarette et j’attends dehors. Je ne suis pas rassuré de faire ce qu’il me demande, comme ça, en public mais, ma cigarette consumée, j’entre à mon tour dans le restaurant. Un garçon me montre la table. Philippe y est assis avec trois hommes. Je les reconnais, tous m’ont baisé lors des soirées que Philippe organise chez lui. J’avance jusqu’à leur table. J'hésite. Je reste debout à coté de Philippe. Je dévisage ses amis. François, Patrick et Nicolas.
- T’attends quoi, là ? Allez, sous la table !
- Mais...
- Putain, discute pas ! Pas ici !
Je me glisse à quatre pattes sous la table en espérant que personne ne me remarque. La nappe me cache, bien heureusement. Il fait plutôt sombre, là-dessous. J’entends qu’on leur apporte leur assiette. Ils discutent et rient. Puis Philippe tend la jambe pour chercher ma position sous la table.
- Nico ? Voilà ton repas.
Il défait les boutons de son pantalon. Je suis à quatre pattes sous la table, son sexe sort de son pantalon entouré d'une touffe de poils. Il bande fort. Je commence à le sucer avec de légers va-et-vient. C'est une situation très troublante. En tout cas, Philippe semble apprécier sa domination car son sexe est en pleine érection. J’aime voir son gland ; il est gros et bien dur, plus large que le reste de sa queue que je tiens à présent entière dans ma bouche. Je le suce avidement en l’écoutant discuter avec ses potes. Il bouge sur sa chaise, donnant de légers coups de bassin. Philippe est très endurant quand il me baise mais je sais que les fellations ne durent jamais très longtemps. Et en effet, le voilà qui se vide dans ma bouche. Je sens l’une de ses mains se poser sur ma nuque et me tenir fermement sur sa queue. J’avale tout et, comme il me maintient encore, je continue de le sucer. Puis son étreinte se relâche et il me caresse la tête comme s’il caressait un chien savant qui aurait bien fait son numéro.
- C’est le moment du premier tirage au sort, les gars, dit Philippe.
Un chœur de contentement se fait entendre.
- Après le premier tirage de jus, c’est le premier tirage au sort, dit l’un d’eux.
Ils rient tous à cette remarque. Au bout de quelques secondes, je comprends que Patrick est le suivant, heureux gagnant du tirage au sort. Il est assis à la droite de Philippe. Je me déplace légèrement entre ses jambes et le laisse défaire son pantalon. Lui aussi bande déjà au maximum. Je prends sa queue dans ma main et la dirige dans ma bouche.
Ils feront durer le repas jusqu’à ce que je les suce tous deux fois. J’ai mal à la mâchoire et je commence vraiment à fatiguer. Le dernier est François. Comme ils avaient déjà tous joui, la deuxième tournée est plus longue. Mais François m’attrape tout à coup la tête de ses deux mains et m'enfonce son sexe au plus profond de ma gorge. Il me maintient dans cette position pendant qu'il jouit. Son sperme envahit ma bouche, il n’arrête pas d’éjaculer. Et comme à chaque fois, j’avale tout et le suce encore un peu pour bien nettoyer sa queue.
- Allez Nico, on va aller payer. Tu peux sortir avec nous, me dit Philippe en soulevant légèrement la nappe.
Je sors de sous la table et commence directement à marcher vers la sortie. Je ne regarde personne autour de moi de peur de m’apercevoir que quelqu’un m’avait vu. J’attends sur le parking en fumant nerveusement une autre cigarette. Les quatre amis finissent par sortir du restaurant le sourire aux lèvres, regardant dans ma direction.
- Je vois que t’en a pas perdu une goutte, ma salope, me dit Philippe en posant sa main sur mon épaule.
- Tu nous as bien sucés, en tout cas, rajoute Patrick. On a passé une très bonne soirée en ta compagnie.
Et les voilà qui se mettent encore à rire.
- C’est bien, ma salope, dit Philippe. Allez, monte !
Il ouvre les portières avec le bouton de l’ouverture automatique de sa clé. Je m’engouffre dans la voiture et j’attends. Ils discutent encore quelques minutes sur le parking puis Philippe monte à son tour dans la voiture et démarre. On se dirige vers le centre ville sans dire un mot. Arrivé à proximité d’une station de métro, je demande à Philippe de me déposer à cet endroit. Il se met à rire, et je reconnais ce rire.
- Mais la soirée n’est pas finie, ma chérie. On va chez moi.
- Non, s’il te plait. Je suis fatigué et j’aimerais rentrer chez moi.
- On va passer la nuit ensemble, salope.
- S’il te plait...
- Putain, tu me fous la gaule à chaque fois que tu veux me contredire !
Le voilà qui défait sa ceinture et ses boutons de pantalon. J’ai l’impression qu’il va les faire sauter tellement ses gestes sont brusques.
- Suce-moi !
Et je me retrouve une fois de plus avec sa queue dans la bouche. Il pose de temps en temps une main sur ma tête tout en conduisant.
- Voilà, comme ça tu peux plus rien dire.
Je ne tarde pas à recevoir son jus au fond de la gorge. Pas en grande quantité cette fois. C’est la troisième fois qu’il jouit dans ma bouche ce soir.
- T’es vraiment une bonne femelle, je suis fier de toi.
Je me redresse en essuyant ma bouche du revers de ma main. Je me rends compte qu’on est déjà dans sa rue. On gare sa voiture dans le parking souterrain de son immeuble et on prend l’ascenseur. Là, il m’attrape par la nuque d’une main et commence à m’embrasser sauvagement. Sa barbe naissante me pique les lèvres et le bas du visage.
En entrant dans son appartement, il me dit d’aller m’assoir sur le canapé et d’attendre sagement.
- Il est 23H21, dit-il en regardant sa montre. C’est parfait comme timing, ça !
Je le regarde sans comprendre. Il nous sert un Whiskey et s’assoit à côté de moi. Soudain la sonnette de l’entrée retentit.
- Ils sont là, on aura même pas le temps de bavarder un peu, dit-il en se relevant.
Je les entends se saluer mais je ne les vois pas encore. Je ne suis pas très à l’aise, pourtant ce n’est pas la première fois que Philippe fait venir des mecs qu’il connait pour me baiser chez lui. Je suis pétrifié quand je les vois entrer dans le salon.
- Nico, je te présente Alain et Samy.
Les deux hommes sont très grands, la quarantaine, vraiment très baraqués. S’ils ne sont pas CRS comme Philippe j’imagine qu’ils travaillent dans la sécurité.
- Alors c’est elle, ta salope ? Pas mal, dit Samy en venant s’assoir à ma gauche.
- Moi, j’attendrai de goûter avant de donner mon avis, dit Alain à son tour.
Lui s’assoit à ma droite tout en me dévisageant des pieds à la tête. Je me retrouve au milieu de ces hommes qui ne pensent qu’à me baiser. Comme d’habitude, je me retrouve entre peur et excitation.
- Elle est jolie ta pute, Philippe.
- Viens me dire bonjour, toi.
Samy m’attire à lui pour m’embrasser sur la bouche.
- Tu l’as bien choisie, celle-là, dit-il. Elle a l’air mieux foutue que la dernière pute que tu nous avais ramenée.
- Ça fait six mois que je l’ai et, tu vas voir, elle suce à merveille, rajoute Philippe.
Ils commencent à discuter et à rire. Moi, je me tiens sagement assis entre les deux invités. Philippe nous sert à tous plusieurs verres de Whiskey pendant plus d’une heure. La tête commence à me tourner.
- Viens sur mes genoux, ma chérie, dit Philippe en écartant les jambes.
Je vais m’assoir sur une de ses cuisses puissantes. Il commence à me peloter les fesses tout en continuant sa conversation. Dans mon dos, il entre sa main sous mon pantalon et arrive à me pénétrer avec un doigt. Il joue avec mon trou alors que les autres l’observent.
- Ouvre pas trop sa p’tite chatte, dit Samy, j'aime bien quand c’est serré. Surtout quand c’est une nouvelle chatte que j’ai encore jamais explorée !
- Cette chatte-là, tu peux l’explorer et l’exploser, lui répond Philippe qui retire son doigt de mon trou.
Alain se caresse l’entre-jambe en se mordant la lèvre inférieure. Samy, lui, sort carrément sa queue déjà bandée.
- Viens me sucer, dépêche !
- Vas-y, me dit Philippe en me poussant légèrement vers son ami.
Je me mets à genoux devant Samy, bien positionné entre ses cuisses. Je lèche son gland et commence ma fellation. Il donne le rythme avec ses mains posées sur ma tête. Même si je n'ai pas envie d'être là, je m'applique à le sucer. Sa bite a une odeur particulière, mais je n’y fais pas attention. Elle coulisse dans ma bouche. Mes lèvres aspirent son gland imposant. Il me baise la bouche en me forçant à descendre de plus en plus bas sur son sexe. J'ai la bouche pleine toutes les trois secondes.
- Putain, comme je lui défonce la bouche, la sale chienne. Elle prend bien, la salope ! Vas-y, suce-la profond, putain ! Ouais, comme ça, c’est bien…
- La fatigue pas trop, dit Alain. J’en veux aussi.
- Pas de panique, les gars ! dit Philippe. Vous pourrez la baiser à volonté. Elle prendra tant qu’il y en aura.
- Alors on va bien en profiter, s’exclame Alain.
Ainsi j’enchaine les fellations sur les deux hommes, en terminant par Philippe.
- Trois bites pour toi, t’en as de la chance ! On va bien te baiser, rajoute Samy.
- Je vous l’avais dit, poursuit Philippe. On dirait qu’elle est née pour sucer et se faire enculer.
Puis il s’adresse à moi :
- Tu vas rester ici toute la nuit et, crois-moi, tu vas déguster.
Visiblement, Alain n’est pas d’humeur à attendre son tour. Il se lève et se place derrière moi.
- J’ai trop envie de te défoncer ton p’tit cul de salope ! Tu me fais trop envie !
- Régalez-vous, les mecs. Un bon cul de salope comme ça, on en trouve pas partout.
Samy a pris le relais de Philippe pour me baiser la bouche tandis qu’Alain s’enfonce progressivement dans mon cul. Je suis pris en brochette par ces deux bites qui me défoncent à des rythmes différents. Puis chacun s’adaptent au rythme de l’autre et ils me baisent enfin en cadence.
Les deux hommes finissent par changer de place. Je suce maintenant Alain. Il a une queue plus petite mais très large. Je le suce à fond pendant que Samy met toute son ardeur à me baiser le cul comme si c’était sa première enculade.
- Alors Samy, elle est bien serrée, sa chatte ?
- Putain, on est bien au chaud, là-dedans ! T'aimes ça, la queue, hein, ma salope ?
- Oh là, Samy, dit Philippe. Tu la baises comme tu veux mais c’est Ma salope, t’emballe pas trop quand même.
Ils éclatent de rire. Samy et Alain me baisent ainsi pendant une demi-heure, en alternant à tour de rôle. Le premier finit par décharger dans ma bouche. Alain continue de me baiser en me tenant par les hanches. Philippe s’assoit sur le canapé à côté de Samy qui commence à débander.
- Ouvre la bouche.                                                                                            
Je prends la queue volumineuse de Philippe en bouche. Il me tient la tête avec une main et guide le rythme. Alain, derrière moi, s’agrippe à mes hanches et s’enfonce complètement en moi pour se vider de son jus. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer.
- Regardez-la, dit Philippe. Une bonne salope qui tette la bonne queue de son mec. Je la nourris au lait, cette femelle. Elle le mérite bien.
Chacun des deux autres y va de ses commentaires en me regardant sucer Philippe. Au bout de quelques minutes, je sens sa queue se contracter et son jus déferler dans ma gorge.
- Oui ! Prend mon sperme, ma chérie ! Avale mon jus ! Ouais, avale tout, salope !
J’avale son sperme jusqu’à la dernière goutte comme à mon habitude. Je suis épuisé, la mâchoire me fait mal, mes genoux aussi. Les trois hommes ont tous joui à volonté dans ma bouche et dans mon cul. Je sens que du sperme coule le long de mes cuisses.
- C’est vraiment une bonne chienne que t’as là, dit Samy. Mais bon, c'est pas tout ça mais il se fait tard, je dois rentrer chez moi. Bobonne va encore me faire la gueule.
- Ouais, moi aussi. Merci Philippe, dit Alain.
Ils nous disent au revoir. Samy me met la main au cul en précisant qu’on ne devrait pas tarder à se revoir. Philippe les raccompagne à la porte puis revient dans le salon. Je me retrouve seul en face de lui.
- Va prendre une douche et rejoins-moi au le lit. Nu évidemment…
Sous la douche, je me remémore la soirée. J'avais un peu honte en repensant à l’épisode du restaurant, mais au fond de moi, j’avais trouvé ça excitant. Je sors de la douche, m’essuie et rejoins Philippe dans sa chambre. Il est déjà couché.
- Viens-là, ma chérie.
Il soulève la couette pour m’allonger contre lui.               
- C’est bien, t’as été une bonne femelle comme j’aime, ce soir. Je suis fier de toi. Et pour aider à m'endormir, tu vas prendre ma queue dans ta bouche et tu vas la garder au chaud toute la nuit. Je veux m’endormir comme ça. Et pendant la nuit, si je me réveille, tu seras déjà en position pour me sucer.
Ça n’en finira jamais…
- J’ai mal à la mâchoire, je ne pourrai jamais garder la bouche ouverte toute la nuit.
- Dépêche-toi, salope !
Je ne suis qu’un objet sexuel pour lui. Je le sais alors à quoi bon dire quoi que ce soit. Je me suis glissé entre ses jambes, la tête à la hauteur de son bassin. J’avale sa queue. Il ne bande pas encore. Il relève ses jambes pour le poser sur mon corps. Ses cuisses m’immobilisant, je ne peux plus faire aucun mouvement.
- Voilà, comme ça. Tette bien.
Je suce sa queue sans faire de vrais mouvements. Je commence à décontracter mon corps et à me laisser aller. Lui finit par s’endormir sans jouir, la queue raide au fond de ma gorge.

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