vendredi 30 novembre 2012

Violé en faisant de l'auto-stop


- 1997 -

Il est à peine neuf heures du matin, j’apprends à la dernière heure que les transports en commun sont en grève. Je dois me rendre à la fac pour des cours importants, je ne peux donc pas rentrer chez moi. Ne voulant pas payer un taxi pour y aller, je décide donc de faire du stop. 
Au bout d’une dizaine de minutes de marche le pouce levé, un petit fourgon avec deux mecs à l’intérieur s’arrête. Ils me demandent où je vais et me proposent de me prendre à bord. J’ouvre la porte latérale et monte à l’arrière. Nous faisons un peu connaissance et, durant le trajet, je m’aperçois qu’ils ne prennent pas la bonne route. Je le leur signale mais ils n’y prêtent pas attention. Le conducteur prend alors la direction d’un petit chemin boisé. Le mec assis du côté passager se tourne alors vers moi.
- Hey, mec ! Tu crois pas qu’on va te trimballer sans une petite récompense ?
A ce moment-là, plein de choses me passent par la tête, et je commence à prendre peur. Je profite que le fourgon roule doucement pour ouvrir la portière et sauter du véhicule pour m’enfuir. Mais le mec côté passager court après moi et me rattrape, suivi par son pote. Plaqué au sol, je suis vite ligoté les mains derrière le dos avec une corde et bâillonné avec du scotch. Ils me ramènent dans le fourgon. L’un des mecs s’assoie avec moi à l’arrière et son pote redémarre.
Le mec assis à mes côtés me prend par la nuque, me plaque le visage sur son entre-jambe et se frotte le paquet sur ma joue. J’essaie de me débattre en gueulant à travers mon bâillon mais il me relève par les cheveux d’une main tandis que de l’autre m’attrape la gorge comme pour m’étrangler.
- Ferme ta gueule et calme-toi ! Tu vas être bien gentil et faire ce qu’on te dit ! Et si t’es bien sage et docile, on te relâchera sans te faire de mal, OK ?!
Là, il déboutonne son jeans, descend sa braguette et sort sa bite à moitié gonflée. Il m’enlève le scotch de la bouche et me rebascule sur son entre-jambe, frottant sa bite sur ma figure.
- Allez ! Ouvre la bouche et suce !
Je résiste et le mec, mécontent, me relève la tête et me flanque une bonne gifle.
- Je te dis de me sucer, salope !
Il me redirige sur sa queue, l’enfourne au fond de ma gorge et me baise la bouche.
- Tiens ! Prends-la bien, salope ! Suce bien comme il faut ! Ouais, comme ça… C’est bon…
Le conducteur stoppe le véhicule et vient nous rejoindre à l’arrière. Il baisse son froc et son pote me fait sucer sa bite. Je suis tiré par les cheveux de gauche à droite afin de les sucer tour à tour. Au bout d’un moment, las de ce petit jeu, ils me mettent à genoux sur la banquette. L’un d’eux baisse mon pantalon, m’écarte les fesses, crache sur ma rondelle et enfonce un doigt dans mon cul. J’essaie de me débattre en me tortillant comme je le peux mais je suis bien coincé entre eux deux avec les mains attachées derrière le dos.
Pendant que je me fais élargir le cul avec les doigts d’un mec, l’autre me baise la bouche avec sa bite en me tenant par les cheveux.
Le mec derrière moi arrête de me doigter pour m’enculer. Je sens son gland pousser dans mon trou. Je ne peux qu’étouffer un cri à cause de la bite que je suce et je reçois une claque sur le cul qui me fait sursauter. La bite s’enfonce dans mon cul et me ramone le fion sans ménagement. Les mecs rigolent en violant ma bouche et mon cul.
- Vas-y ! Défonce-le bien ! Ouais…
Je me fais labourer le cul pendant une bonne dizaine de minutes et le mec se retire. De quelques mouvements, ils me retournent sur la banquette. Je me retrouve sur le côté pour sucer la bite de mon baiseur pendant que son pote prend sa place pour m’enculer à son tour. Je suis une nouvelle fois baisé par les deux trous. Cela dure encore pas mal de temps avant que le mec que je suce se retire de ma bouche pour se branler et jouir sur ma figure. Il étale bien tout son jus sur mon visage avec sa bite avant de me la remettre en bouche. Son pote se retire de mon cul et lâche tout son jus sur mon dos.
Leurs couilles bien vidées, ils me détachent, me virent de leur fourgon et repartent en me laissant allongé par terre à moitié à poil dans un terrain vague...

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