- 2004 -
Je rentre d’une soirée avec Philippe et un de ses
amis. Philippe avait envie d’un plan nature en pleine nuit et on peut dire
qu’il en a profité. Son pote aussi… Et là, je rentre chez moi à pieds. Il n’y a
plus de métro ni bus à cette heure-ci. Je dois traverser un parc pour éviter de
faire un grand détour. Ce parc est réputé pour être un lieu de drague en
journée. Mais bien sûr, à cette heure tardive, le parc est fermé depuis bien longtemps.
Je grimpe donc par-dessus le portail et me retrouve à l’intérieur. Je l’ai déjà
fait auparavant et je sais qu’il n’y a rien à craindre, mais au milieu du
parcours, voilà qu’un fourgon de police arrive pile en face de moi. Un homme en
descend et s’approche de moi.
- Vous faites quoi, là ? Pas la peine de vous
dire que vous êtes en infraction.
Il avance dos aux phares du camion. Je ne vois que
sa silhouette, ébloui par la forte lumière. Je me cache un peu les yeux pour
mieux voir l’homme qui se tient à présent devant moi.
- Vos papiers, s’il vous plaît !
Il doit avoir la trentaine, les cheveux courts, et
un visage très viril pour son âge.
- Bien sûr, voilà, répondis-je en prenant mon
portefeuille dans la poche arrière de mon jeans.
- Dépêchez-vous ! Vous savez que c’est interdit
d’être ici la nuit, vous faites quoi à une heure du matin, tout seul, dans un
parc ?
Je lui donne ma carte d’identité.
- Je… Je me suis endormi un peu plus loin. Je
cherche une sortie mais celle d’où je viens est fermée…
- Suivez-moi dans le véhicule, monsieur !
dit-il d’une voix assez énervée.
On se dirige vers le fourgon où son coéquipier,
resté au volant, attend et observe. Le flic marche légèrement en retrait de moi
et n’arrête pas de me regarder, sans doute pour être sûr que je n’essaie pas de
m’enfuir. Il ouvre l’arrière du fourgon et me demande de monter. C’est la
première fois que je me retrouve dans un véhicule de police et je n’en mène pas
large. Il referme la porte derrière nous sans la claquer.
- Videz les poches et déposez le tout ici,
ordonne-t-il en montrant une tablette du doigt.
Il énumère au fur et à mesure les objets que je sors
des poches de mon jeans.
- Paquet de cigarette, portefeuille avec carte bleue,
clés.
Il me regarde fixement.
- C’est tout ? Vous voulez que ce soit moi qui
vous fouille ?
- C’est tout ce que j’ai sur moi. C’est un pantalon,
pas un sac à dos !
Cette situation commence un peu à m’agacer. Lui,
continue de me regarder toujours aussi fixement.
- C’est pour baiser que vous êtes dans le
parc ? T’es pédé ? me demande-t-il sans me lâcher du regard.
- Oui, mais je suis pas là pour ça, répondis-je un
peu gêné.
Il se lève lentement et ferme les portes du fourgon.
Il s’approche de moi, prend ma main et la met sur son paquet déjà gonflé sous
son uniforme. Il me prend par les cheveux et me fait mettre à genoux, la bouche
à hauteur de son sexe.
- Vas-y, suce-moi, pédé ! dit-il en baissant sa
braguette de sa main libre.
Peut-être à cause de la situation, un flic dans un
fourgon de police, je flippe un peu. Je le pousse en arrière pour me dégager,
me relève et ouvre la porte du fourgon. Je saute et me mets à courir le plus
vite possible.
- Oh là ! Tu vas où, toi ?!?
Le deuxième flic est en train de me courser. Je fais
mon maximum pour battre le record du monde olympique du sprint. Je cours sur
l’herbe et à travers les buissons avec l’idée de les ralentir. Idée stupide
s’il en est. Et tout à coup, je pense à mon portefeuille et aux clés de mon
appartement restés dans le fourgon. Je m’arrête net et me retourne. Sans rien
comprendre à ce qui se passe, je me retrouve en une fraction de seconde à
plat-ventre sur le sol.
- C’est bon, Thierry ! Je l’ai !
lance-t-il à son coéquipier que j’entends nous rejoindre. Tu comptais aller où
comme ça, toi ? me dit-il en me menottant les poignets.
- Putain, mais lâchez-moi ! criai-je en me
débattant.
- Ça, ça dépendra de toi, mon p’tit pédé. Si tu te
laisses faire et que tu te tiens à carreau, tu pourras partir sans passer au
poste, dit Thierry. A toi de voir.
- Oh ! On a trouvé la poule au cul d’or ?
demande l’autre flic en riant.
- Affirmatif, répond Thierry. Redresse-le.
Le deuxième flic me fait mettre à genoux. Thierry se
place devant moi et sort sa queue.
- Maintenant, tu vas me sucer, salope !
Je suis surpris de voir la taille de sa queue. Une
bonne vingtaine de centimètres. Il m’attrape par les cheveux et me force à le
sucer. J’ai du mal à avaler cette queue aussi grosse. Il me faut un moment
avant de pouvoir la garder entière sans étouffer. Il me baise la bouche en
profondeur et je sens son gland au fond de ma gorge à chacun de ses coups de
rein.
- Putain, ouais ! Suce bien, salope !
Continue comme ça, t’arrêtes pas !
Le deuxième flic a déjà sorti sa queue et se branle
en me regardant avaler celle de son coéquipier.
- Hey, Patrick ! Tu voudrais pas te vider les
couilles par hasard ? Parce que je nous ai trouvé la bouche qu’il nous faut, crois-moi
!
- Mais je n’attends que ça, mon ami ! dit
l’autre sur un air enjoué. Viens là et montre-moi un peu comment tu suces !
Je m'exécute aussitôt et me déplace légèrement sur
les genoux pour prendre l’autre queue en bouche. Il a une queue très odorante ; une odeur
de sueur plutôt désagréable. Il me l’enfonce dans ma bouche et commence à me
baiser en gorge profonde.
- Putain, il suce mieux que ma femme, ce pédé !
Thierry ne tarde pas à me représenter sa queue à
sucer. J'ai devant moi deux bonnes bites bien tendues et je passe de l'une à
l'autre en essayant de m’appliquer du mieux que je peux.
Patrick passe alors derrière moi et baisse mon
pantalon et mon boxer.
- Putain ! Regarde-moi ça !
s’exclame-t-il.
Il prend mes fesses à pleine main pour les malaxer
fermement.
- On dirait un vrai cul de gonzesse ! poursuit-il.
Je te jure, j’ai jamais vu ça !
Je sens que l’un d’eux est en train de m’enlever une
menotte. Instinctivement, je pose directement mes mains sur les cuisses de
Thierry pour trouver un bon équilibre.
- Je vais te baiser et te montrer comment un homme encule
une femme ! dit Patrick.
Je sens des doigts humides parcourir la raie de mes
fesses avant de les sentir s’introduire en moi.
- Redresse-toi !
Ses doigts en moi, il force vers le haut comme pour
me soulever et me mettre sur les pieds, puis il m’oblige à me cambrer en
rabaissant ma tête vers la queue de son coéquipier que je reprends en bouche.
Je sens la queue de Patrick caresser toute la surface de mes fesses avant de
sentir son gland contre mon anus. Il me pénètre d'un coup avec un plaisir
immense. Après m’être fait baisé par Philippe et ses deux amis pendant plus
d’une heure plus tôt dans la soirée, mon cul est forcément bien dilaté pour
recevoir ces nouvelles queues. Mes gémissements sont étouffés par la queue de
Thierry qui n’a pas l’intention de lâcher prise.
- T’aimes te faire prendre, toi, hein ? me dit Thierry.
Je gémis légèrement pour toute réponse. Patrick
continue ses lents va-et-vient derrière moi. La peur que je ressens et la
soumission qu’ils m’imposent m’excitent énormément. Je prends plaisir à sentir
une si bonne queue dans mon cul en en ayant une autre dans la bouche.
Patrick accélère la cadence et pousse un râle comme
s’il était très en colère.
- Putain, je vais jouir ! Viens me sucer !
Le temps de me retourner, il enlève sa capote et me plante
sa queue en pleine bouche pour reprendre ses va-et-vient. Il m’attrape par les
cheveux et me baise violemment la bouche. Thierry en profite pour m’enculer à
son tour. Sa queue entre en moi comme dans du beurre.
- Ça vient ! Suce encore ! Ouais !
Patrick me fait mal en tirant mes cheveux trop
fortement. Il éjacule sa première giclée dans ma bouche puis se retire pour
m'asperger le visage de trois autres jets.
- Oh putain, c’est bon !
Il me caresse à présent la tête.
- Va falloir nettoyer maintenant…
Il m’engouffre à nouveau sa queue dans la bouche.
Thierry continue de me limer le cul et accélère le rythme au fur et à mesure
qu’il sent la jouissance arriver.
- Je vais cracher ! dit-il en se retirant.
Thierry enlève sa capote et fait gicler tout son jus
bien chaud sur le bas de mon dos.
- Maintenant, c’est moi qu’il va falloir
nettoyer ! dit-il.
Il vient prendre la place de Patrick et me fourre la
bouche de sa queue encore bien dressée.
- T’es un bon vide-couille, me dit-il en me
caressant les cheveux. Ma femme m’a jamais sucé comme ça. J’ai pris un pied
d’enfer avec toi.
- Tu passes souvent par ici ? me demande Patrick.
- Non, dis-je. J’avais pas prévu de traverser ce
parc ce soir.
Patrick libère mon deuxième poignet des menottes
qu’ils m’avaient mises.
- Viens récupérer tes affaires, me lance Thierry en
se rhabillant correctement tout en marchant vers le fourgon. Je me rhabille à
mon tour et le suis jusqu’au véhicule. Il monte à bord et ressort en me tendant
tous mes biens.
- Au plaisir de te revoir trainer par ici…
Je ne réponds pas. Je les regarde prendre place à
bord de la cabine et démarrer. Je reprends alors la direction de la sortie pour
rentrer chez moi. Quatre mecs m’auront baisé ce soir. Mais je n’aurais jamais
cru qu’une telle histoire m’arrive avec des flics en fonction.
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