lundi 10 décembre 2012

Une soirée en boite


- 2004 -

Les boites de nuit, ce n’est vraiment pas mon trip. Mais ce soir, j’accompagne un pote en pleine séparation d’avec sa copine. Il voulait sortir pour se changer les idées. J’ai suivi…
Au bout d’une heure d’ennui et trois bières avalées, je prends la direction des toilettes. Je me fraie un chemin entre ces corps dansant et se collant lascivement les uns aux autres. En chemin, je croise deux mecs ; deux musclors transpirants qui faisaient manifestement un concours du plus con en lançant des commentaires sur les gens présents dans la boite. Je les ignore et gagne enfin les toilettes.
Après mettre soulagé des litres de bières absorbées, je me rafraichis un peu le visage au lavabo. Mais c’est au moment où je me retourne pour sortir que je me retrouve nez à nez avec l'un des deux gars en question. Son pote se tenant juste derrière avec un sourire qui ne présage rien de bon.
- Dis donc mec, t'as demandé la permission à qui pour venir dans ces chiottes ?
- Pourquoi ? bredouillai-je sans trop savoir si c'était sérieux. Il faut une permission pour venir pisser ici ?
J'esquisse un petit léger sourire, un peu pour me rassurer mais plus pour leur laisser imaginer que je prends ça avec amusement. J’entreprends de contourner le mec pour sortir.
- Excusez-moi, je dois y aller...
- Ta gueule !
Le premier mec, celui qui était en face de moi se décale légèrement pour m’empêcher de passer. Il me pousse en arrière d’une main ; ce qui me fait reculer contre son pote qui m’attrape aussitôt les bras pour m’immobiliser.
- Faut que tu paies le prix maintenant, me lance ce dernier en continuant à se marrer et en me planquant le dos contre son torse.
Je sens déjà sur mes fesses une bosse bien rigide dans son pantalon. Le mec en face de moi se retourne en sortant un trousseau de clés de sa poche et verrouille la porte des toilettes.
- Hey ! Vous faites quoi, là ? dis-je en essayant de me libérer.
- On t’a pas déjà dit de la fermer, salope ?
En rangeant les clés dans sa poche, le mec s’avance vers moi et me met d'entrée une main au paquet pendant que, de l'autre, il me tire les cheveux en arrière, plaquant ainsi ma tête contre son épaule. Je peux sentir leur odeur virile. Je commence à transpirer…
- Tu vas commencer par nous sucer et, si tu fais ça bien, peut-être qu’on te baisera en douceur.
Le mec derrière moi me force à m’agenouiller devant son pote qui était en train de défaire sa ceinture de pantalon. Il dégrafe ses boutons de braguette et sort une queue à moitié bandée mais déjà très volumineuse. Il me la met dans la bouche en appuyant ma tête contre lui.
- Vas-y ! Suce-moi la bite, salope ! J’ai envie de gicler !
Je sens sa queue gonfler dans ma bouche. Ce n’est que quand elle atteint sa taille et sa raideur maximale qu’il commence à bouger son bassin pour me baiser la bouche avec des va-et-vient dépourvu de toute douceur.
- Et tu fais pas de connerie, t’as compris ? Tu suces et tu t’appliques !
Il me tient fermement la tête pour imposer un rythme. Son pote, relâchant son étreinte derrière moi, s’accroupit et commence à défaire mon pantalon. Puis il y glisse une main pour me rentrer un puis plusieurs doigts dans mon trou.
- Tu mouilles déjà, salope, me susurra-t-il, approchant sa bouche de mon oreille.
Celui qui me baise la bouche se met à gémir en poussant des râles virils.
- Ouais, ma salope, tu vas me faire jouir ! Ouais…
Et je reçois tout son jus au fond de ma gorge. Comme il ne s’est pas retiré, je suis forcé de tout avaler pour ne pas m’étouffer.
- Mais dis donc, on dirait qu'elle aime ça en plus. Elle a tout avalé.
- Elle a intérêt d’aimer ça parce que c’est mon jus qu’elle va avaler maintenant.
Ils se mettent à rire ensemble. Celui qui était derrière moi me fait pivoter vers lui et me fourre directement sa queue dans la bouche.
- Ah ! Putain, c’est bon ! C’est pas Valérie qui me sucerait comme ça !
Et ils rient de plus belle.
L'autre, visiblement pas entièrement satisfait de s’être soulagé dans ma bouche, entreprend de s’intéresser à mon cul. Il me prend par les hanches et me fait mettre debout, me faisant lâcher pour le coup la queue que j’avais en bouche. Il me fait pencher le tronc vers son pote qui me prend aussitôt la tête entre ses mains pour la diriger à nouveau vers sa queue. Il appuie ma tête contre son bas-ventre, me forçant à engloutir son sexe prêt à éclater. Je me tiens à ses hanches pour ne pas tomber. Le mec derrière moi me fourre sans précaution pendant que je m'occupe ainsi de son pote. Je suis déjà bien lubrifié et ses doigts ont préparé le terrain. Sa pénétration se veut féroce mais, en réalité, je l'accueille avec plaisir. Ils déchargent presque en même temps. L’un dans ma bouche, l’autre dans mon cul.
- Tu vois, on n’a pas été méchants, dit l’un d’eux en se rhabillant.
- On va même te laisser le temps de te rhabiller comme il faut avant d’ouvrir la porte.
- Ouais, faudrait pas donner des idées à d’autres mecs. Faudrait pas qu’ils mélangent leur jus au nôtre.
Ils se mettent à rire bêtement. Une fois rhabillé, celui qui avait les clés ouvre la porte. Il me lance un clin d’œil et sort avec son acolyte tout sourire aux lèvres. Je rejoins mon pote sans rien oser dire de ce qui vient de m’arriver. J’affiche moi aussi un grand sourire...

vendredi 30 novembre 2012

Violé en faisant de l'auto-stop


- 1997 -

Il est à peine neuf heures du matin, j’apprends à la dernière heure que les transports en commun sont en grève. Je dois me rendre à la fac pour des cours importants, je ne peux donc pas rentrer chez moi. Ne voulant pas payer un taxi pour y aller, je décide donc de faire du stop. 
Au bout d’une dizaine de minutes de marche le pouce levé, un petit fourgon avec deux mecs à l’intérieur s’arrête. Ils me demandent où je vais et me proposent de me prendre à bord. J’ouvre la porte latérale et monte à l’arrière. Nous faisons un peu connaissance et, durant le trajet, je m’aperçois qu’ils ne prennent pas la bonne route. Je le leur signale mais ils n’y prêtent pas attention. Le conducteur prend alors la direction d’un petit chemin boisé. Le mec assis du côté passager se tourne alors vers moi.
- Hey, mec ! Tu crois pas qu’on va te trimballer sans une petite récompense ?
A ce moment-là, plein de choses me passent par la tête, et je commence à prendre peur. Je profite que le fourgon roule doucement pour ouvrir la portière et sauter du véhicule pour m’enfuir. Mais le mec côté passager court après moi et me rattrape, suivi par son pote. Plaqué au sol, je suis vite ligoté les mains derrière le dos avec une corde et bâillonné avec du scotch. Ils me ramènent dans le fourgon. L’un des mecs s’assoie avec moi à l’arrière et son pote redémarre.
Le mec assis à mes côtés me prend par la nuque, me plaque le visage sur son entre-jambe et se frotte le paquet sur ma joue. J’essaie de me débattre en gueulant à travers mon bâillon mais il me relève par les cheveux d’une main tandis que de l’autre m’attrape la gorge comme pour m’étrangler.
- Ferme ta gueule et calme-toi ! Tu vas être bien gentil et faire ce qu’on te dit ! Et si t’es bien sage et docile, on te relâchera sans te faire de mal, OK ?!
Là, il déboutonne son jeans, descend sa braguette et sort sa bite à moitié gonflée. Il m’enlève le scotch de la bouche et me rebascule sur son entre-jambe, frottant sa bite sur ma figure.
- Allez ! Ouvre la bouche et suce !
Je résiste et le mec, mécontent, me relève la tête et me flanque une bonne gifle.
- Je te dis de me sucer, salope !
Il me redirige sur sa queue, l’enfourne au fond de ma gorge et me baise la bouche.
- Tiens ! Prends-la bien, salope ! Suce bien comme il faut ! Ouais, comme ça… C’est bon…
Le conducteur stoppe le véhicule et vient nous rejoindre à l’arrière. Il baisse son froc et son pote me fait sucer sa bite. Je suis tiré par les cheveux de gauche à droite afin de les sucer tour à tour. Au bout d’un moment, las de ce petit jeu, ils me mettent à genoux sur la banquette. L’un d’eux baisse mon pantalon, m’écarte les fesses, crache sur ma rondelle et enfonce un doigt dans mon cul. J’essaie de me débattre en me tortillant comme je le peux mais je suis bien coincé entre eux deux avec les mains attachées derrière le dos.
Pendant que je me fais élargir le cul avec les doigts d’un mec, l’autre me baise la bouche avec sa bite en me tenant par les cheveux.
Le mec derrière moi arrête de me doigter pour m’enculer. Je sens son gland pousser dans mon trou. Je ne peux qu’étouffer un cri à cause de la bite que je suce et je reçois une claque sur le cul qui me fait sursauter. La bite s’enfonce dans mon cul et me ramone le fion sans ménagement. Les mecs rigolent en violant ma bouche et mon cul.
- Vas-y ! Défonce-le bien ! Ouais…
Je me fais labourer le cul pendant une bonne dizaine de minutes et le mec se retire. De quelques mouvements, ils me retournent sur la banquette. Je me retrouve sur le côté pour sucer la bite de mon baiseur pendant que son pote prend sa place pour m’enculer à son tour. Je suis une nouvelle fois baisé par les deux trous. Cela dure encore pas mal de temps avant que le mec que je suce se retire de ma bouche pour se branler et jouir sur ma figure. Il étale bien tout son jus sur mon visage avec sa bite avant de me la remettre en bouche. Son pote se retire de mon cul et lâche tout son jus sur mon dos.
Leurs couilles bien vidées, ils me détachent, me virent de leur fourgon et repartent en me laissant allongé par terre à moitié à poil dans un terrain vague...

dimanche 14 octobre 2012

Une grange bien sombre...


- 1993 -

J’avais 18 ans. Il en avait 21. Ça aurait pu ressembler à un viol si, au fond de moi, je n’étais pas heureux de ce qui m’arrivait…
En me réveillant ce matin-là, je me suis d'abord demandé ce que je pouvais bien foutre dans cette putain de grange ! J'étais complètement à poil dans la paille avec un mal de crâne pas possible. J'ai senti un corps collé contre le mien. C'était celui de Mathieu, rencontré la veille. Complètement à poil, lui aussi. Puis, je me suis rappelé. Des images un peu floues, d'abord. La bringue de la veille, chez une copine. Tout le monde avait picolé sec. Moi aussi. Sono à fond mais pas beaucoup d’ambiance. Vers une heure du mat, un mec que j’avais aperçu dans la soirée me propose de bouger et de partir en stop jusqu'à Apt terminer la soirée dans une boîte de nuit. C’était Mathieu.
- C’est un peu nul, ici. Et à voir ta tête, je suis sûr que tu préfèrerais être ailleurs…
Ce mec était vraiment séduisant. Je dirais même charismatique. Je ne le connaissais pas mais acceptais sa proposition. Nous étions en pleine campagne, un endroit désert, perdu dans le Lubéron. Il nous a fallu marcher un quart d'heure sur un chemin de terre avant d'atteindre la petite départementale. On se dirigeait comme on pouvait tellement la nuit était sombre. Une heure après, on était toujours comme deux cons, plantés sur le bord de la route. C'était en plein été mais il n'y avait pas un chat. Mathieu était prêt à aller à pied jusqu'à Apt. Ça ne faisait pas loin de dix bornes.
Tandis que le jour commençait à arriver, les choses me revenaient un peu mieux. Mathieu dormait comme un vrai bébé, à plat ventre, les cuisses écartées, un bras replié sous sa tête. Non, ce n'était pas un rêve. Il m’avait baisé. Je me suis fais enculer pour la première fois par un mec que je ne connaissais même pas ! Et je me souviens avoir beaucoup aimé, même si je faisais mine de ne pas vouloir. Comme lorsque j'ai pris sa queue dans ma bouche pour la pomper. C'était la première fois que je suçais un mec.
A ce moment-là, mes souvenirs étaient plus clairs dans ma tête. Nous n'en pouvions plus de marcher, aussi Mathieu m'a proposé de passer la nuit à la belle étoile. Il faisait doux, il nous suffisait de trouver un champ ou un coin tranquille. C'est en nous écartant de la route que nous sommes tombés sur cette grange. On n'y voyait rien à l'intérieur mais on a tout de suite senti de la paille sous nos pieds. On s'est allongé mais impossible d'arriver à s'endormir. Mathieu était près de moi. Il m'a lancé :
- Pas de chance, ce soir ! Ni l'un, ni l'autre n'aura tiré son coup ! Pourtant, j'en avais une super envie, pas toi ?
Moi aussi, je comptais bien terminer ma soirée autre part que dans cette grange. On a continué à parler de cul. Mais je n’osais pas lui dire que j’étais gay. Je n’avais encore eu qu'une seule expérience mais, à 15 ans, je savais déjà que je préférais les mecs.
J'étais toujours aussi ivre mais cette discussion s'est mise à me faire bander. Mathieu ne pouvait pas voir, à cause de l'obscurité, ce que j'étais en train de faire. Je lui parlais, la main glissée sous mon froc, mes doigts palpant ma tige et mes couilles. Un mec aussi bandant à côté de moi en train de me parler de ses fantasmes, j'avais envie de me branler, de sortir ma queue et de l'astiquer. Elle était hyper raide. Soudain, Mathieu s'est jeté sur moi en me disant :
- Et si tu me servais de nana ! Quand je trique trop, j'arrive jamais à m'endormir !
J’étais vraiment surpris. Je me suis débattu pour lui résister, pensant qu'il plaisantait. Mais il a eu le dessus. C’était un mec musclé et hyper sportif. Pendant qu’on marchait, il me disait qu’il pratiquait le tennis, le foot et pas mal d'escalade. Il était grand, brun, et vraiment bien bâti.
Il a réussi à m'immobiliser sur la paille. Il était sur moi, coinçant mon corps entre ses cuisses et tenant fermement mes poignets. Il a continué en me demandant :
- T'as jamais baisé avec un mec ?
J'ai répondu que non. Il a ajouté :
- Même pas une petite pipe ?
A cause de l'alcool, je n'arrivais plus à lui résister, j'étais persuadé qu'il s'agissait d'un jeu. Une chose était sûre, je n'aurais jamais osé lui avouer que je ne me branlais qu’en fantasmant sur des mecs. J'ai senti soudain qu'il cherchait ma bouche pour m'embrasser. Cette fois, j'ai compris qu'il était sérieux. Même si j’attendais cette occasion depuis si longtemps, la peur dominait. J'ai détourné mon visage. J'avais l'impression de lutter contre en fantôme dans cette grange obscure. Mathieu riait.
- Baiser entre mecs, c'est meilleur qu'avec une nana, crois-moi ! Tu préfères quoi, toi ? Que je t'encule ou que tu m'encules ?
Moi, je lui répétais toujours la même phrase :
- Arrête ! Déconne pas !
Tout en me maintenant immobilisé, il a lâché l'un de mes poignets pour plaquer sa main entre mes cuisses. Il m'a tout de suite traité de salopard en trouvant ma bite raide sous ma braguette. Je n'avais pas débandé et il s'est mis à me palper les couilles et le manche avant d'entreprendre de défaire mon froc. En fait, je n'étais pas mécontent qu'il me mette la bite à l'air. J'avais envie de baiser et l'alcool allait m'aider à réaliser ma première expérience homo.
Sans la moindre culpabilité. Car cette culpabilité n'est arrivée que ce lendemain quand j'ai vu Mathieu, allongé nu dans la paille, et que j'ai réalisé qu’il m’avait baisé de cette façon.
Mais sur le moment, j'étais pétrifié. Mes dernières résistances ont sombré quand sa main s'est mise à faire coulisser ma pine entre ses doigts. Dés lors, je me suis laissé faire. Il s'est déshabillé et m'a aidé à me foutre complètement à poil. Cette fois, je n'ai pas refusé sa bouche quand il a cherché à m'embrasser. Il a pris ma main pour la diriger vers sa queue. J'ai senti sous mes doigts une bite tiède, assez épaisse et qui me paraissait bien plus longue que la mienne. Cela m'a excité de branler sa tige. Lui, il s'occupait de la mienne. C'était étrange comme sensation. On ne se voyait pas, on s'entendait seulement respirer et gémir. J'ai entendu Mathieu me murmurer :
- Suce-moi, j'en ai très envie.
A ce moment-là, j’ai refusé. J’ai tenté de me dégager en lui disant que je ne voulais pas aller plus loin. Il s’est alors étalé de tout son corps sur le mien. Sa voix avait changé.
- Tu bandes comme un taureau et tu me dis que t’as pas envie ? De toute façon, t’as pas trop le choix maintenant. Où tu te laisses faire ou je te la mets de force. A toi de choisir.
Tout était confus. J'avais gardé sa queue dans ma main. Voyant que je ne bougeais pas, il s’est redressé et est venu s’asseoir sur mon torse, les jambes pliées sur mes bras, pour me mettre sa queue dans la bouche. Son gland dégageait une légère odeur épicée. J'ai commencé par passer ma langue dessus puis il a fait glisser son manche entre mes lèvres. Je pompais sa queue. J’étais très excité. La peur et le désir se confondaient. Mathieu me guidait, il me disait comment il aimait qu'on lui fasse les choses. Je l'écoutais et je m'efforçais de m'appliquer. Il s’est redressé et m'a demandé, pour ne pas dire ordonné, de m’allonger sur le ventre. Ce que je fis. Il s'est occupé de mon cul, le mouillant de salive, dardant sa langue à l'intérieur, enfonçant un premier doigt puis un second.
Quand il m'a dit que j’allais être sa femme pour la nuit et qu’il allait me baiser et se vider les couilles dans mon trou, j’ai ressenti une très grande excitation. Je ne pouvais m’empêcher de dire non mais je savais que je voulais qu’il le fasse. Il allait m'enculer, et je me sentais prêt à recevoir sa grosse queue. Il m'a demandé de me placer à quatre pattes et il s'est posté à genoux derrière moi. Il m'a encore léché l'anus, le lubrifiant abondamment. J'avais hâte de me faire sauter, de me faire élargir encore plus par sa belle bite, mais je manifestais pourtant un autre refus.
- S’il te plait, non.
- Je crois que t’as vraiment pas compris ce qui va se passer, mon gars. Je vais te baiser que tu le veuilles ou non. Y’a personne à des kilomètres alors laisse-toi faire. Tu vas être une bonne femelle. Tu vas prendre ma queue dans ton trou et tu vas la fermer, OK ?
Je n’ai plus protesté. Il s'est amusé à glisser son gland dans ma raie avant de l'immobiliser sur ma pastille. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier quand il a commencé à me forcer. Ça brûlait. Mathieu a attendu quelques secondes avant de s'introduire plus en avant. J'avais très mal, je pensais que je ne serais pas capable d'en supporter plus. Je lui ai demandé de se retirer mais Mathieu m'a répondu :
- Aide-moi ! Ouvre-moi ton cul de salope si tu veux pas avoir mal !
J'ai fait ce qu'il m'a demandé et il s'est enfoncé plus en avant. La sensation cuisante était toujours là mais Mathieu a réussi à m'emmancher complètement. Il ne s'est pas mis à bouger tout de suite. Il s'est penché sur moi, a glissé sa main entre mes cuisses et s'est mis à me branler. Le plaisir que me procuraient ses doigts m'a permis d'oublier aussitôt les premiers inconforts que je ressentais par derrière. Peu à peu, il a commencé à aller et venir avec douceur. Il a attendu que je gémisse pour m'enculer plus sèchement. Au bout d'un moment, il s'est complètement déchaîné entre mes fesses et j'ai vraiment eu l'impression de jouir avec ma bite et mon trou du cul quand j'ai déchargé sur la paille. Mathieu, lui, a crié en jutant, puis il est retombé sur moi.
Il s’est allumé une cigarette et m’a regardé.
- J’en ai pas fini avec toi. Tu vas encore recevoir.
J'avais un peu mal entre les fesses mais je ne regrettais pas du tout de m’être fait baiser comme ça par lui.
- Pas la peine que je te dise de raconter ça à personne, compris ? De toute façon, qui te croirait ?
Pendant qu’il fumait sa cigarette, il m’a demandé de venir entre ses cuisses pour le sucer. Je me suis exécuté. Et sa cigarette finie, il m’a encore baisé. Plus longtemps cette fois…
Voilà ce que j'avais fait cette nuit ! Les images se bousculaient comme de petits flashes. Mathieu s'est réveillé au moment où je cherchais mes vêtements pour me rhabiller. Je me suis senti très mal à l'aise, mais lui me souriait.
- Tu ne veux pas remettre ça avant de passer ton slip ? J'ai toujours une super trique quand je me réveille.
Il s'est tourné et m'a montré sa queue raide, plaquée sur son ventre. Je l'avais branlée cette nuit, sucée, prise dans le fion mais je ne l'avais encore jamais vue. Je lui réponds que non et qu'il fallait oublier tout ce qui s'était passé entre nous.
- Ne m’oblige pas à te violer encore une fois, je sais que t’as aimé ça.
Il écartait les cuisses en me tendant sa queue redressée avec sa main. De voir cette queue aussi raide avec le gland bien décalotté, j'ai eu encore envie de la sucer. Je me suis mis à bander, moi aussi, et bien que dans un état très vaseux, je me suis approché de lui pour prendre en bouche ce membre tendu. Ensuite, il m’a encore baisé. Et cette fois-ci, sans que je ne refuse de quelque façon que ce soit. Nous n’avons quitté la grange qu’en fin de matinée...

jeudi 4 octobre 2012

The ''World To Men'' team #1






Bienvenue à tous !!!


Bienvenue ... Welcome ... Fáilte ... Willkommen ... Ahlan wa sahlan ... Bienvenidos ... Velkommen ...
Kalos ilthate ... Baroukh haba ... Benvenuto ... Yôkoso ... добро пожаловать ... Vitame vás ...
Gratus mihi venis ...