vendredi 28 février 2014

Avec Philippe : Chez lui


- 2000 -

Aujourd'hui, j'ai mon troisième rendez-vous avec Philippe. Il m’a dit de le rejoindre à 15H00 pile dans une rue près de chez lui. Il arrive en voiture deux minutes après moi. Il m’ouvre la portière et je monte à bord.
- Salut, ma salope ! T’es en forme, j’espère.
- Ça va…
- De toute façon, c’était pas une vraie question. T’as pas besoin d’être en forme pour recevoir ma queue. Moi, je le suis, c’est le principal, non ?
Il me regarde en souriant. Un sourire carnassier que je commence à connaitre.
Quand on arrive chez lui une dizaine de minutes plus tard, il me fait entrer en premier et referme la porte derrière lui en prenant soin de tourner le verrou. Il se sert un verre de whiskey et s’installe dans son fauteuil. Je m’assois près de lui sur le canapé.
- Viens là me renifler le paquet !
Je m’exécute et me mets à quatre pattes entre ses cuisses déjà bien écartées pour m’accueillir. D’une main, il m'agrippe les cheveux et m’enfonce la tête entre ses jambes sur sa queue. Ça sent l'homme. Je sens sa queue déjà bien raide grâce à la pression qu’elle exerce sur mon visage à travers le tissu de son pantalon. De l’autre main, il malaxe mes fesses à travers mon jeans.
- Putain, ce cul ! Faudrait que je l’aie 24H/24 à dispo !
Il déboutonne mon jeans pour glisser sa main sous mon boxer. Il commence à me tâtonner le cul avant d’y entrer un doigt. Sa respiration se fait plus forte et il commence à pousser des râles d’impatience. Il me redresse alors la tête pour défaire à son tour son pantalon afin de sortir sa queue.
- Avale !
D’une main, il dirige ma tête vers sa queue qui vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande dur.
- Ouvre-moi cette bouche à bites et avale tout ! me dit-il tout en enlevant sa chemise.
Sa queue entre doucement dans ma bouche.
- Allez, suce ! Suce bien, ouais… Suce bien, salope !
Il me baise la bouche en me maintenant la tête de ses deux mains imposantes.
- Ouvre plus grand ! m’ordonne-t-il. Avale à fond et fais bien tourner ta langue.
Ce que je fais. Il bouge son bassin pour me baiser la bouche le plus profondément possible.
- Je sais que tu l’aimes, ma queue ! Hein, ma salope ? T’aimes ça, me sucer la queue, hein ?
Il continue de me baiser la bouche en m’insultant, maintenu entre ses mains et ses cuisses qu’il referme puissamment sur ma tête à chaque mouvement de bassin.
- Lèche-moi un peu les couilles !
Je prends ses couilles velues dans ma bouche. Il les enfonce en appuyant dessus. Après quelques minutes de ce supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il m’emmène dans son bureau et s’assoit sur une chaise avec des accoudoirs.
- Va en dessous, j’ai un truc à faire ! Mais déshabille-toi avant, tu seras mieux tout nu là-dessous !
Même en étant debout et lui assis sur une chaise, sa prestance et son charisme font qu’il me domine encore. Même dans cette position qui le place plus bas que moi, rien n’enlève son autorité et sa dominance qui s’impose d’elle-même naturellement. Je me déshabille complètement et me retrouve nu devant lui.
- Dépêche-toi !
C’est un vieux bureau à l’ancienne construit dans un bois massif. Positionné contre un mur, je me glisse sous ce bureau par devant et me retrouve coincé sans possibilité de sortir. Philippe se positionne face à son écran d’ordinateur. Ses cuisses de chaque côté de ma tête, il me présente d’une main sa queue toujours bandée.
- Suce-moi pendant que j’écris un mail pour le boulot !
J’avale sa queue dans son entier et commence à le sucer dans cette position fort inconfortable. Je n’entends que le bruit du clavier au-dessus de moi. Soudain, sans aucun signe précurseur, il m’inonde la bouche de son sperme goûteux que j’avale jusqu’à la dernière goutte. Je me recule légèrement pour retirer sa queue de ma bouche.
- J’ai pas fini, salope ! Continue de sucer, je t’ai pas dit d’arrêter !
Je ne le vois pas, je n’entends que sa voix autoritaire. Il glisse une main sous le bureau pour me tendre sa queue toujours aussi épaisse, même si elle commence à se ramollir un peu. Je la reprends en bouche et le suce à nouveau. J’aspire son gland, lèche sa bite et l’enfonce profondément. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Surement pas assez pour lui car, cette fois-ci, il bouge le bassin pour mieux me baiser la bouche. Ça dure longtemps avant qu’il ne jouisse une deuxième fois.
- Tiens salope ! Prend mon jus ! Ouais ! Putain, t'es une bonne femelle, toi ! Avale tout ! Tu l’aimes, mon jus, hein ? T’es née pour servir les hommes comme moi et sucer leur bite !
J’avale tout son sperme chaud et goûteux. Il me tient la nuque pour que je prenne sa queue entière.
- Tu vois que t’aimes ça ! Allez, continue de me sucer, j’ai bientôt fini !
Sa queue est entière dans ma bouche, complètement molle mais toujours aussi volumineuse.
- Garde tout ça en bouche, ma poule ! Je dois répondre à un autre mail.
Environ cinq minutes plus tard, alors que je commence à m’ennuyer ferme avec cette queue molle dans la bouche et inconfortablement installé sous ce bureau, je sens qu’il recommence à bander et j’ai de nouveau du mal à prendre toute sa queue en bouche. Quelques secondes suffisent pour qu’il jouisse quelques gouttes de sperme blanc au fond de ma gorge.
- Avale tout, me dit-il simplement.
Il recule sa chaise de bureau et m’observe accroupi sous son bureau. J’essuie mes lèvres du revers de la main.
- Tu peux sortir de là, j’ai fini !
Je me glisse hors du bureau et me relève un peu courbaturé. J’attrape mes vêtements pour me rhabiller avec l’idée de rentrer chez moi.
- Tu crois pas que tu vas partir maintenant, je t’ai même pas encore baisée, ma salope ! Regarde dans l’état que je suis !
Il me montre sa queue, bandée au maximum, se dressant entre ses cuisses puissantes et musclées.
- Je bande rien qu’à penser que je vais te baiser la chatte, ma cochonne !
Il se lève et avance vers moi, la queue droite et raide pointant dans ma direction. Je recule instinctivement. Je finis par me retrouver dos au mur, Philippe continuant d’avancer vers moi dans une démarche de supériorité dominante.
- Viens là que je te baise, ma salope ! Je sais que t’en as envie !
Il me retourne face au mur et plaque son corps contre le mien. Il glisse sa queue entre mes cuisses et fait de légers va-et-vient pour se masturber. Je sens sa respiration dans mon cou.
- Regarde comment elle coulisse bien, me chuchote-t-il à l’oreille. Tu sens comme je suis raide ? Je vais te la mettre dans ton p’tit trou de salope.
Sa main droite va chercher sa queue entre mes cuisses pour la guider vers l’entrée de mon cul. Je sens son gland humide et chaud me pénétrer.
- Tu la veux, hein ? Je sais que tu la veux, salope !
- Non, je ne veux pas, lui dis-je en pleurant. Je veux rentrer chez moi…
Il me pénètre alors entièrement en grognant à mon oreille comme un animal. Il me tire les cheveux pour faire basculer ma tête en arrière ; mon corps se cambre de fait naturellement. Il s’enfonce encore plus profond en moi.
- Je suis à fond, ma salope ! Tu me sens bien, là ? Hein, ma salope, tu me sens bien ?
Je sens les poils de son bas ventre me caresser les fesses. Ses couilles se collent aux miennes et cette sensation est très excitante. Il bouge juste de façon à bien installer sa queue en moi.
- T'es toute serrée, ma salope ! J’adore baiser les p’tits culs comme le tien. Je suis bien au chaud, ça donne envie de rester là-dedans sans bouger. T’aimes avoir ma grosse bite au trou, hein ? Putain, que c’est bon !
Il commence alors à bouger davantage pour arriver lentement à un léger va-et-vient. Il plaque son corps contre le mien, m’immobilisant entre lui et le mur. Ses coups de reins sont de plus en plus secs et violents. Je lâche un gémissement à chaque coup de queue.
- T’es une bonne salope, toi ! J’ai l’impression de baiser la chatte d’une meuf ! J’adore ton p’tit cul de fillette !
Il me baise maintenant vraiment fort ; il se déchaine sur moi. Ses va-et-vient sont rapides et violents. Ses couilles tapent sur mon cul en cadence et je sens sa queue tout au fond de moi. Je suis plaqué face contre le mur et chaque coup de rein provoque un frottement contre le mur qui est très désagréable.
- Arrête, s’il te plait. Ça me fait mal…
- T’inquiète ! Tu vas t’habituer, ça va aller ! Ouvre bien ton cul !
Il continue à baiser sans tenir compte de mon refus durant des minutes qui me paraissent interminables. Il va de plus en plus vite, se retire et me pénètre à nouveau. Il passe alors un bras autour de ma taille et recule d’un pas, m’entrainant avec lui. Puis, d’une main ferme posée dans mon dos, il me force à me courber.
- Baisse-toi ! Je veux que tu prennes tout !
Il gémit et râle dans mon dos tout en me baisant sur une cadence métronomique. Il rentre à fond, s’immobilise, puis bouge simplement le bassin collé à moi.
- T’aimes ça, hein ? Tu vois, je suis bien à fond, là. Ta chatte est bien ouverte.
Il reprend un rythme saccadé quelques secondes puis s’immobilise encore en poussant un râle viril, ses doigts incrustés dans la peau de mes hanches.
- Ah ! Ma salope, ça fait du bien !
Il se retire sans ménagement et s’essuie la queue avec un tee-shirt posé maladroitement sur le dossier de la chaise. Il ne semble éprouver aucune considération à mon égard ; il m’a baisé et c’est ce qu’il voulait. Je ne sers qu’à ça pour lui, alors une fois que c’est fait, il passe déjà à autre chose.
- Va te laver, je te rejoins sous la douche !
Je ramasse mes vêtements et je passe devant lui tête baissée. Je referme la porte de la salle de bain derrière et une envie de pleurer me prend. Mais je me retiens, pas ici. Surtout pas ici. Je prends une longue inspiration et souffle un bon coup. Je passe sous la douche, satisfait de pouvoir me laver, frottant ma peau comme pour effacer tout ce qui vient de se passer. Philippe entre à son tour dans la salle de bain et me rejoint directement sous la douche.
- Tourne-toi et mets tes mains sur le mur !
Je lui obéis naturellement. Il tente de me pénétrer mais, même si sa queue est toujours imposante eu repos, il ne bande plus assez fort y parvenir. Il fait couler un peu de savon liquide dans sa main et m’en badigeonne le cul. Il essaie à nouveau de me pénétrer et, avec insistance, fini par entrer complètement. La sensation d’une queue épaisse mais presque flasque en moi est très étrange. Puis tout à coup, je sens une chaleur dans mon ventre. Cette sensation de chaleur semble remonter le long de mon côlon et de mes intestins. Philippe maintient mon corps contre le sien sans effet de force, presque avec affection. Il gémit à mon oreille.
- Ah… Ça fait toujours du bien de se soulager…
Puis il se retire et commence à se laver. Je comprends à cet instant qu’il vient de me remplir de sa pisse. Confirmation faite quand toute la pisse me coule le long des jambes. Philippe sourit de me voir ainsi. Il sort de la douche pour se sécher. Je me lave en quelques secondes, pressé d’en finir et de rentrer chez moi. Je m’habille et rejoins Philippe dans le salon.
- Je t’appelle dans la semaine. J’ai besoin de me défouler souvent en ce moment.
Il n’est pas habillé, juste une serviette de bain entoure sa taille. Il s’installe sur le canapé, allonge ses jambes sur la table basse et allume sa TV avec la télécommande.
- Tu sais où est la sortie, ma dit-il sans même me regarder.
Je ne dis rien de plus ; j'ouvre la porte et m’en vais sans demander mon reste. Je rentre chez moi en boitant à moitié.

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