- 2000 -
Aujourd'hui, j'ai mon troisième rendez-vous
avec Philippe. Il m’a dit de le rejoindre à 15H00 pile dans une rue près de
chez lui. Il arrive en voiture deux minutes après moi. Il m’ouvre la portière
et je monte à bord.
- Salut, ma salope ! T’es en
forme, j’espère.
- Ça va…
- De toute façon, c’était pas une
vraie question. T’as pas besoin d’être en forme pour recevoir ma queue. Moi, je
le suis, c’est le principal, non ?
Il me regarde en souriant. Un
sourire carnassier que je commence à connaitre.
Quand on arrive chez lui une
dizaine de minutes plus tard, il me fait entrer en premier et referme la porte
derrière lui en prenant soin de tourner le verrou. Il se sert un verre de
whiskey et s’installe dans son fauteuil. Je m’assois près de lui sur le canapé.
- Viens là me renifler le paquet !
Je m’exécute et me mets à quatre
pattes entre ses cuisses déjà bien écartées pour m’accueillir. D’une main, il
m'agrippe les cheveux et m’enfonce la tête entre ses jambes sur sa queue. Ça
sent l'homme. Je sens sa queue déjà bien raide grâce à la pression qu’elle
exerce sur mon visage à travers le tissu de son pantalon. De l’autre main, il
malaxe mes fesses à travers mon jeans.
- Putain, ce cul ! Faudrait
que je l’aie 24H/24 à dispo !
Il déboutonne mon jeans pour
glisser sa main sous mon boxer. Il commence à me tâtonner le cul avant d’y
entrer un doigt. Sa respiration se fait plus forte et il commence à pousser des
râles d’impatience. Il me redresse alors la tête pour défaire à son tour son
pantalon afin de sortir sa queue.
- Avale !
D’une main, il dirige ma tête vers
sa queue qui vient toucher mes lèvres, son gland embrasse mes lèvres. Il bande
dur.
- Ouvre-moi cette bouche à bites
et avale tout ! me dit-il tout en enlevant sa chemise.
Sa queue entre doucement dans ma
bouche.
- Allez, suce ! Suce bien,
ouais… Suce bien, salope !
Il me baise la bouche en me
maintenant la tête de ses deux mains imposantes.
- Ouvre plus grand !
m’ordonne-t-il. Avale à fond et fais bien tourner ta langue.
Ce que je fais. Il bouge son bassin
pour me baiser la bouche le plus profondément possible.
- Je sais que tu l’aimes, ma
queue ! Hein, ma salope ? T’aimes ça, me sucer la queue, hein ?
Il continue de me baiser la bouche
en m’insultant, maintenu entre ses mains et ses cuisses qu’il referme
puissamment sur ma tête à chaque mouvement de bassin.
- Lèche-moi un peu les couilles !
Je prends ses couilles velues dans
ma bouche. Il les enfonce en appuyant dessus. Après quelques minutes de ce
supplice, il me relâche et me demande de le suivre. Il m’emmène dans son bureau
et s’assoit sur une chaise avec des accoudoirs.
- Va en dessous, j’ai un truc à
faire ! Mais déshabille-toi avant, tu seras mieux tout nu
là-dessous !
Même en étant debout et lui assis
sur une chaise, sa prestance et son charisme font qu’il me domine encore. Même
dans cette position qui le place plus bas que moi, rien n’enlève son autorité
et sa dominance qui s’impose d’elle-même naturellement. Je me déshabille
complètement et me retrouve nu devant lui.
- Dépêche-toi !
C’est un vieux bureau à l’ancienne
construit dans un bois massif. Positionné contre un mur, je me glisse sous ce
bureau par devant et me retrouve coincé sans possibilité de sortir. Philippe se
positionne face à son écran d’ordinateur. Ses cuisses de chaque côté de ma
tête, il me présente d’une main sa queue toujours bandée.
- Suce-moi pendant que j’écris un
mail pour le boulot !
J’avale sa queue dans son entier
et commence à le sucer dans cette position fort inconfortable. Je n’entends que
le bruit du clavier au-dessus de moi. Soudain, sans aucun signe précurseur, il
m’inonde la bouche de son sperme goûteux que j’avale jusqu’à la dernière goutte.
Je me recule légèrement pour retirer sa queue de ma bouche.
- J’ai pas fini, salope !
Continue de sucer, je t’ai pas dit d’arrêter !
Je ne le vois pas, je n’entends
que sa voix autoritaire. Il glisse une main sous le bureau pour me tendre sa
queue toujours aussi épaisse, même si elle commence à se ramollir un peu. Je la
reprends en bouche et le suce à nouveau. J’aspire son gland, lèche sa bite et
l’enfonce profondément. Je sens son gland toucher le fond de ma gorge. Surement
pas assez pour lui car, cette fois-ci, il bouge le bassin pour mieux me baiser
la bouche. Ça dure longtemps avant qu’il ne jouisse une deuxième fois.
- Tiens salope ! Prend mon
jus ! Ouais ! Putain, t'es une bonne femelle, toi ! Avale tout !
Tu l’aimes, mon jus, hein ? T’es née pour servir les hommes comme moi et
sucer leur bite !
J’avale tout son sperme chaud et goûteux.
Il me tient la nuque pour que je prenne sa queue entière.
- Tu vois que t’aimes ça ! Allez,
continue de me sucer, j’ai bientôt fini !
Sa queue est entière dans ma
bouche, complètement molle mais toujours aussi volumineuse.
- Garde tout ça en bouche, ma
poule ! Je dois répondre à un autre mail.
Environ cinq minutes plus tard, alors
que je commence à m’ennuyer ferme avec cette queue molle dans la bouche et
inconfortablement installé sous ce bureau, je sens qu’il recommence à bander et
j’ai de nouveau du mal à prendre toute sa queue en bouche. Quelques secondes
suffisent pour qu’il jouisse quelques gouttes de sperme blanc au fond de ma
gorge.
- Avale tout, me dit-il
simplement.
Il recule sa chaise de bureau et
m’observe accroupi sous son bureau. J’essuie mes lèvres du revers de la main.
- Tu peux sortir de là, j’ai
fini !
Je me glisse hors du bureau et me
relève un peu courbaturé. J’attrape mes vêtements pour me rhabiller avec l’idée
de rentrer chez moi.
- Tu crois pas que tu vas partir
maintenant, je t’ai même pas encore baisée, ma salope ! Regarde dans l’état que
je suis !
Il me montre sa queue, bandée au
maximum, se dressant entre ses cuisses puissantes et musclées.
- Je bande rien qu’à penser que je
vais te baiser la chatte, ma cochonne !
Il se lève et avance vers moi, la
queue droite et raide pointant dans ma direction. Je recule instinctivement. Je
finis par me retrouver dos au mur, Philippe continuant d’avancer vers moi dans
une démarche de supériorité dominante.
- Viens là que je te baise, ma
salope ! Je sais que t’en as envie !
Il me retourne face au mur et
plaque son corps contre le mien. Il glisse sa queue entre mes cuisses et fait
de légers va-et-vient pour se masturber. Je sens sa respiration dans mon cou.
- Regarde comment elle coulisse bien,
me chuchote-t-il à l’oreille. Tu sens comme je suis raide ? Je vais te la
mettre dans ton p’tit trou de salope.
Sa main droite va chercher sa
queue entre mes cuisses pour la guider vers l’entrée de mon cul. Je sens son
gland humide et chaud me pénétrer.
- Tu la veux, hein ? Je sais
que tu la veux, salope !
- Non, je ne veux pas, lui dis-je
en pleurant. Je veux rentrer chez moi…
Il me pénètre alors entièrement en
grognant à mon oreille comme un animal. Il me tire les cheveux pour faire
basculer ma tête en arrière ; mon corps se cambre de fait naturellement.
Il s’enfonce encore plus profond en moi.
- Je suis à fond, ma salope !
Tu me sens bien, là ? Hein, ma salope, tu me sens bien ?
Je sens les poils de son bas
ventre me caresser les fesses. Ses couilles se collent aux miennes et cette
sensation est très excitante. Il bouge juste de façon à bien installer sa queue
en moi.
- T'es toute serrée, ma
salope ! J’adore baiser les p’tits culs comme le tien. Je suis bien au
chaud, ça donne envie de rester là-dedans sans bouger. T’aimes avoir ma grosse
bite au trou, hein ? Putain, que c’est bon !
Il commence alors à bouger
davantage pour arriver lentement à un léger va-et-vient. Il plaque son corps
contre le mien, m’immobilisant entre lui et le mur. Ses coups de reins sont de
plus en plus secs et violents. Je lâche un gémissement à chaque coup de queue.
- T’es une bonne salope,
toi ! J’ai l’impression de baiser la chatte d’une meuf ! J’adore ton
p’tit cul de fillette !
Il me baise maintenant vraiment
fort ; il se déchaine sur moi. Ses va-et-vient sont rapides et violents.
Ses couilles tapent sur mon cul en cadence et je sens sa queue tout au fond de
moi. Je suis plaqué face contre le mur et chaque coup de rein provoque un
frottement contre le mur qui est très désagréable.
- Arrête, s’il te plait. Ça me fait
mal…
- T’inquiète ! Tu vas
t’habituer, ça va aller ! Ouvre bien ton cul !
Il continue à baiser sans tenir
compte de mon refus durant des minutes qui me paraissent interminables. Il va
de plus en plus vite, se retire et me pénètre à nouveau. Il passe alors un bras
autour de ma taille et recule d’un pas, m’entrainant avec lui. Puis, d’une main
ferme posée dans mon dos, il me force à me courber.
- Baisse-toi ! Je veux que tu
prennes tout !
Il gémit et râle dans mon dos tout
en me baisant sur une cadence métronomique. Il rentre à fond, s’immobilise, puis
bouge simplement le bassin collé à moi.
- T’aimes ça, hein ? Tu vois,
je suis bien à fond, là. Ta chatte est bien ouverte.
Il reprend un rythme saccadé
quelques secondes puis s’immobilise encore en poussant un râle viril, ses
doigts incrustés dans la peau de mes hanches.
- Ah ! Ma salope, ça fait du
bien !
Il se retire sans ménagement et
s’essuie la queue avec un tee-shirt posé maladroitement sur le dossier de la
chaise. Il ne semble éprouver aucune considération à mon égard ; il m’a
baisé et c’est ce qu’il voulait. Je ne sers qu’à ça pour lui, alors une fois
que c’est fait, il passe déjà à autre chose.
- Va te laver, je te rejoins sous
la douche !
Je ramasse mes vêtements et je
passe devant lui tête baissée. Je referme la porte de la salle de bain derrière
et une envie de pleurer me prend. Mais je me retiens, pas ici. Surtout pas ici.
Je prends une longue inspiration et souffle un bon coup. Je passe sous la
douche, satisfait de pouvoir me laver, frottant ma peau comme pour effacer tout
ce qui vient de se passer. Philippe entre à son tour dans la salle de bain et
me rejoint directement sous la douche.
- Tourne-toi et mets tes mains sur
le mur !
Je lui obéis naturellement. Il
tente de me pénétrer mais, même si sa queue est toujours imposante eu repos, il
ne bande plus assez fort y parvenir. Il fait couler un peu de savon liquide
dans sa main et m’en badigeonne le cul. Il essaie à nouveau de me pénétrer et,
avec insistance, fini par entrer complètement. La sensation d’une queue épaisse
mais presque flasque en moi est très étrange. Puis tout à coup, je sens une
chaleur dans mon ventre. Cette sensation de chaleur semble remonter le long de
mon côlon et de mes intestins. Philippe maintient mon corps contre le sien sans
effet de force, presque avec affection. Il gémit à mon oreille.
- Ah… Ça fait toujours du bien de
se soulager…
Puis il se retire et commence à se
laver. Je comprends à cet instant qu’il vient de me remplir de sa pisse.
Confirmation faite quand toute la pisse me coule le long des jambes. Philippe
sourit de me voir ainsi. Il sort de la douche pour se sécher. Je me lave en
quelques secondes, pressé d’en finir et de rentrer chez moi. Je m’habille et
rejoins Philippe dans le salon.
- Je t’appelle dans la semaine.
J’ai besoin de me défouler souvent en ce moment.
Il n’est pas habillé, juste une
serviette de bain entoure sa taille. Il s’installe sur le canapé, allonge ses
jambes sur la table basse et allume sa TV avec la télécommande.
- Tu sais où est la sortie, ma
dit-il sans même me regarder.
Je ne dis rien de plus ;
j'ouvre la porte et m’en vais sans demander mon reste. Je rentre chez moi en
boitant à moitié.
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