vendredi 27 décembre 2013

Les potes de Philippe : Marco


- 2002 -

Vendredi soir, un peu plus de minuit, je rentre seul chez moi après avoir passé la soirée avec des amis. Nous nous sommes séparés à la sortie du cinéma où nous avons vu un film d’action futuriste que je n’ai aimé que très moyennement. Je traverse la place des Terreaux et décide d’emprunter les traboules pour monter les quelques rues des pentes de la Croix-Rousse jusque chez moi plutôt que de prendre les rues toujours animées de ce quartier, même à une heure aussi tardive. Je m’engage dans la dernière traboule avant d’arriver dans ma rue. J’ai soudain l’étrange sentiment d’être suivi ; et c’est au moment où je me retourne qu'il surgit de nulle part. Un homme plutôt baraqué me plaque contre le mur derrière moi. Il doit bien faire une tête de plus que moi. Il sort alors un couteau et place la lame sous ma gorge.
- A genoux !
Je me débats et commence à crier mais, étant beaucoup plus fort que moi, il met sa main devant ma bouche et m’empêche de bouger. Il appuie la lame sur ma gorge.
- Tu gueules, je t’égorge ! Alors tu vas être bien sage et faire ce que je te dis !
Il parle doucement pour ne pas attirer l’attention mais son ton est appuyé et très autoritaire.
- Fous-toi à genoux !
Je lui obéis. Il colle alors son entrejambe contre ma bouche. Puis il ouvre son pantalon et glisse sa main dans son caleçon pour libérer une bite monstrueuse. Alors qu'elle semble être au repos, elle mesure une bonne vingtaine de centimètres et est très large. Je me débats instinctivement et, devinant la suite, tourne la tête sur le côté. Il pose ses mains sur mes oreilles pour prendre ma tête à deux mains et m'enfonce sa queue directement au fond de ma gorge. Il commence directement un violent va-et-vient en forçant avec ses mains pour me baiser la bouche. Mon crâne tape contre le mur à chaque mouvement. Sa queue prend peu à peu plus d’ampleur dans ma bouche. Ses couilles cognent contre mon menton. Je me débats encore mais rien n’y fait, il est trop fort pour moi. Je sens alors sa bite se contracter et je reçois de nombreux jets de foutre dans la gorge.
- Avale, salope ! Putain, avale, sale pute ! me dit-il en me menaçant avec son couteau et en nettoyant sa bite contre mes lèvres.
D'un coup, il me soulève comme une plume et me retourne face contre le mur. Il baisse mon pantalon et déchire mon boxer.
- Un bon p’tit cul comme ça, ma bite va glisser comme dans du beurre, hein, ma salope ! dit-il froidement.
J’ai vraiment très peur. Il lèche ses doigts et étale sa salive sur mon trou serré. Je le supplie d’arrêter mais il se met à rire nerveusement. J’insiste pourtant…
- S’il vous plait, arrêtez… J'ai pas d’argent…
- Mais c'est pas ton fric qui m’intéresse, salope ! C'est toi et ton p’tit cul que je suis depuis le ciné ! T'aime rouler du cul, hein, pétasse ? T’aime ça, aguicher les mecs dans la rue, hein ? Maintenant, on va voir si tu vas encore rouler du cul après te l’avoir défoncé !
- Mais non, c’est pas vrai ! Je ne vous avais même pas vu… Je rentrais juste chez moi…
- Arrête de faire ta pucelle ! Je vais te baiser la chatte et tu vas fermer ta gueule !
Je sens son gland forcer l’entrée de mon trou. Il appuie fort et, la salive qu'il avait étalée aidant à glisser sa queue, il me pénètre presque entièrement. J’étouffe un cri de douleur. Cette immense queue me perfore le cul. Il ressort et me pénètre à nouveau, satisfait d’avoir enfoncé sa queue bien à fond.
Il me lime pendant cinq bonnes minutes. D’abord doucement, puis il accélère le rythme en poussant des râles virils à mon oreille.
- Mais c'est qu'elle commence à aimer ma queue, la salope, hein ? Ça rentre bien maintenant ! Tu la sens bien, hein ?
Je ne réponds rien. Il m’agrippe les cheveux pour faire basculer ma tête en arrière tout en continuant ses va-et-vient puissants.
- Réponds, salope ! T’aimes ça, hein ?
- Oui…
Il commence alors à vraiment me limer d’une cadence infernale tandis que mes cris étouffés résonnent dans la traboule vide.
- Je sais bien que t’aimes ça ! Te faire enculer comme une salope ! Une bonne saillie pour une bonne chienne comme toi !
Il se retire sèchement et me retourne.
- A genoux !
J’obéis sans réfléchir. Il prend sa queue en main et se branle devant mon visage.
- Ouvre la bouche !
J’ouvre donc la bouche devant sa queue et il lâche plusieurs jets de sperme chaud sur ma langue et mon visage.
- Allez, avale, ma salope ! Avale tout !
J’avale le jus que j’ai pris dans la bouche. Il commence à me donner de petites gifles.
- C'est bien ! T'es une bonne salope, toi !
Je reçois alors une gifle magistrale qui me sonne complètement. Je reprends mes esprits et m’aperçois qu’il n'est plus là. Je me redresse difficilement tout en remontant mon pantalon. Je rentre chez moi le corps légèrement endolori.
Dans mon appartement, je vais directement dans ma chambre et m’allonge tout habillé sur mon lit. Je m’endors comme une masse au bout de quelques secondes…
Le lendemain, je reçois un message d’une provenance inconnue sur mon mobile. « Même heure ce soir au même endroit. Si t’es pas là, je débarque directement chez toi. Philippe m’a donné carte blanche pour le week-end. T’es à moi et je compte bien en profiter. Marco. »
Philippe a décidément une grande facilité à envoyer ses potes me baiser. Le ton est donné mais je ne suis pas sûr d’être au rendez-vous le soir-même. Cet homme a été un véritable animal et il m’a vraiment fait peur. J’ai au moins la journée pour y réfléchir …
Pourtant, la peur au ventre, estimant ne pas avoir le choix, je me rends au même endroit et à la même heure comme demandé. J’attends mais je ne le vois toujours pas. Alors que je fais quelques pas dans la traboule, je sens une main sur ma bouche et un couteau sous la gorge.
- Alors ! On a aimé ça et on en veut encore ?
Je retire sa main de mon visage ; il ne manifeste aucune résistance à mon geste.
- Non, s’il vous plait ! Je ne veux pas, arrêtez !
Il me met à genoux de force et sort sa queue déjà bien raide.
- Ouvre la bouche et tire la langue, salope !
Il se branle puis enfonce sa queue entière dans ma bouche en un seul coup. Il commence à me baiser sans attendre. J’ai du mal à respirer et un haut-le-cœur me prend. S’en apercevant, il se retire.
- Tourne-toi et baisse ton froc !
Je m'exécute. Je sens alors sa langue qui fouille mon trou et qui tourne à l'intérieur. Il explore mon cul avec sa langue. Je sens sa salive couler le long de mes cuisses. Il me donne des claques sur les fesses en même temps.
Tout à coup, il se redresse et reste silencieux. Je me retourne pour voir ce qu’il fait. Il me regarde d'un air méprisant et me gifle la joue droite.
- C’est pas fini, salope !
Il m'attrape la nuque me traine jusque dans la rue où il me force à le suivre. Je remonte mon pantalon d'une main pour ne pas tomber. Il s’arrête devant une camionnette et ouvre la porte latérale.
- Monte !
Assis sur la banquette arrière, je remonte mon pantalon pour me rhabiller. On roule environ quinze minutes sans qu’un seul mot ne soit prononcé. On est sorti de Lyon. Je suis tétanisé de peur.
- On va où ?
- Ta gueule !
On s'arrête enfin. Il sort du véhicule et m’ordonne de le suivre. On est dans une forêt ou dans un bois. Il m’attrape à nouveau par la nuque pour me faire avancer.
- Pose tes mains sur cet arbre !
Je lui obéis. Il baisse mon pantalon et commence à me claquer violemment les fesses. Je me retourne et lui dit d’arrêter. Il me regarde alors d’un air vraiment méchant. Je recule jusqu’à me retrouver adossé contre l’arbre.
- Mets-toi à genoux tout de suite devant ma queue ! me dit-il calment en articulant chaque syllabe.
Je ne m’agenouille pas, je suis juste accroupi face à lui, toujours adossé contre l’arbre. Il défait son jeans et me présente sa queue toujours aussi raide et majestueuse. Je me retrouve devant toute sa puissance de mâle.
- Ouvre la bouche !
Là encore, il me baise la bouche en me coinçant la tête contre l’arbre. Il éjacule au bout de quelques minutes, m’obligeant évidemment à tout avaler.
- Mets-toi à quatre pattes !
J'obéis immédiatement en écartant les jambes. Sans attendre plus longtemps, il me pénètre et me baise d'une force terrible. Ma tête cogne contre l’arbre avec la violence de ses coups de queue. Je cris et ça l'excite ; il continue sans relâche. Au bout d’un temps qui m’apparait interminable, je le sens se contracter. Il m’agrippe la hanche de sa main gauche tandis que la droite vient m’attraper les cheveux pour me faire basculer ta tête en arrière. Il jouit en moi dans un râle si viril que ça m’en donne des frissons de plaisir.
- Putain, ce que t’es bonne !
Il donne encore quelques coups de reins comme pour finir de lâcher les dernières gouttes de sperme au fond de mon trou. Puis il se retire enfin.
- Retourne-toi !
Je me retourne, accroupi, le visage face à sa bite gluante.
- T’en veux encore, hein ? Alors ouvre la bouche !
J'ouvre grand ma bouche en tirant la langue. Il m'enfonce sa queue jusqu'à la garde. Je manque une nouvelle fois de m'étouffer mais, contrairement à tout à l’heure, ça ne semble pas le déranger. Il me baise la bouche de force en me tirant les cheveux. Comment fait-il pour être aussi longtemps en érection après avoir joui plusieurs fois ?
- Putain ! Quelle bouche de pute ! T’aimes ça, sucer ma queue, hein, salope ? T’aimes ça, hein ?
Il me baise la bouche encore quelques minutes avant de se retirer.
- T’es vraiment une femelle comme je les aime ! Je savais que je pouvais faire confiance à Philippe. Allez, rhabille-toi, ma belle, on va chez toi !
A ce moment-là, je suis littéralement pris de panique. Je ne veux pas le recevoir chez moi.
- Non, j’ai du monde en ce moment chez moi. Je ne peux pas vous recevoir…
Il me gifle à m’en faire tomber la tête. Il m’attrape par le bras et m’entraine vers la camionnette.
- Rien à foutre ! C’est pas ça qui va m’empêcher de te baiser comme je le veux ! Allez, monte !
On s’installe dans le véhicule. Je m’assois à côté de lui, cette fois. Et je suis pris de panique en constatant au bout de quelques minutes qu’il prend bien la direction de mon appartement.
Arrivés dans ma rue, Marco cherche une place où garer sa camionnette mais sans succès. Tous les propriétaires de voiture savent qu’il est quasiment impossible de trouver une place de stationnement libre sur les pentes de la Croix-Rousse dès la nuit tombée. Ce n’est qu’une rue plus loin qu’il réussit à se garer. Nous descendons du véhicule mais je n’ai aucune envie qu’il vienne chez moi. Cet homme me fait peur et je ne sais pas ce qu’il peut être capable de faire une fois qu’on sera en privé. Je reste immobile à côté de la camionnette.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Tu vas avancer, oui ?!
- Non… Je ne veux pas aller chez moi avec vous…
Il s’avance vers moi d’un air méchant et me donne une claque tellement fort que le bruit résonne dans la rue. Je me mets à pleurer. Il glisse une main dans mon pantalon et plante son majeur dans mon cul ; il me force ainsi à avancer dans les rues désertes.
- Ben voilà, ça te fait marcher, ça !
On marche ainsi jusque devant mon immeuble. Il n’a de cesse de bouger son doigt dans mon cul pour guider la marche. Je compose le code d’entrée sur le cadran digicode puis nous montons les escaliers jusqu’au deuxième étage. Il prend plaisir à enfoncer son doigt vers le haut pour m’obliger à monter les marches le plus vite possible. On s’arrête devant ma porte, je sors mes clés pour ouvrir le verrou et nous entrons.
C’est un petit appartement d’une trentaine de mètres carré dont on fait vite le tour.
- Alors ? Il est où le monde chez toi, salope ? demande-t-il en enfonçant encore son doigt dans mon cul. Hein ? Y’a du monde chez toi, hein ? Tu croyais que j’allais avaler ça ?
Il retire enfin sa main. Etant à nouveau libre, je m’éloigne naturellement de lui.
- Dépêche-toi d’aller dans ta chambre ! Je vais t’exploser la chatte !
Je ne sais pas quoi dire. J’avance vers ma chambre suivi de près par Marco. Devant mon lit, il m’attrape par la taille et se colle à moi. Je sens son sexe en pleine érection contre mes fesses.
- Je vais te faire couiner, ma belle !
Il me retourne et me pousse en arrière, me faisant ainsi m’assoir sur le bord de mon lit.
- Suce-moi la queue avant que je te fasse le cul !
Il sort sa queue que je prends en bouche comme il me l’impose. Pendant que je le suce, il enlève son t-shirt.
- Mets-toi à poil !
Je me lève pour me déshabiller. Marco enlève lui aussi tous ses vêtements.
- Allez, mets-toi en position ! Sur le dos ! Et écarte les jambes !
Comme un réflexe, je m’allonge sur le dos au milieu du lit. Je ne le lâche pas des yeux. Marco s’approche et s’allonge sur moi, faisant peser tout son corps sur le mien.
- Tu veux que je te baise, hein, ma salope ?! C’est ça que tu veux, hein ?!
Il se redresse et soulève mes jambes pour les placer sur ses épaules.
- Ecarte bien ton trou que je te baise la chatte bien à fond !
Je m'exécute immédiatement en écartant mes fesses pour bien étirer mon trou déjà élargi par ses coups de queue précédents. Il me pénètre centimètre par centimètre. Je sens sa queue entrer progressivement et, d'un coup, il pousse à fond et la rentre entièrement.
- Putain, ce que j’aime ton cul, ma salope ! On dirait qu’il est fait pour que je te défonce !
Il commence à me ramoner sans pitié, ne cherchant que son plaisir. Ses couilles claquent sur mon cul de plus en plus vite et fort.
- Putain, je savais que t’étais un trou à bites, toi ! Tu me serres trop bien la queue ! Mieux qu’une chatte de meuf !
Il me baise sans ménagement. Il transpire et je sens ses gouttes de sueur tomber sur mon torse. Il enlève mes jambes de ses épaules pour les placer autour de ses hanches. Il s’allonge à nouveau sur moi sans cesser de me baiser.
- Tu veux mon jus dans ton cul, ma salope ? Tu vas me faire jouir, pétasse !
Je sens sa queue se contracter en moi et mon cul se remplir de son liquide chaud. Je suis épuisé de m’être autant fait enculer. J'essaie de reprendre mon souffle mais Marco n’a pas bougé et m’écrase toujours avec son corps sur moi.
- Putain, Philippe a de la chance, il a trouvé une bonne femelle. Heureusement qu’il partage toujours pour qu’on puisse en profiter aussi.
Il se retire et s’allonge à côté de moi.
- Je vais dormir ici cette nuit et demain tu vas me suivre toute la journée. Tu vas être ma petite meuf perso pour me vider les couilles jusqu’à demain soir.
Il m’est impossible de dire quoi que ce soit pour le contredire ; je me soumets à lui et accepte ce qu’il attend de moi. J’accepte d’être à lui, trop fatigué pour m’y opposer. Je me sens perdu. Il m'a baisé toute la soirée et j’imagine que la nuit ne sera pas de tout repos. Il m’a défoncé le cul de sa queue et, au fond de moi, j'ai aimé ça. La peur qu’il m’inspire m’excite tout autant.
- Ce que j’aime avec toi, c’est qu’au début tu fais ta mijaurée genre je veux pas, et dès qu’on sort sa queue et qu’on commence à te faire le cul, tu révèles ta vraie nature et tu te laisses faire.
Il tourne la tête vers moi pour déceler une réaction de ma part mais je ne dis rien et reste immobile et muet.
- J’ai tort ?
- Tu m’as forcé à faire tout ça. Tu m’as menacé d’un couteau. Tu es violent. Qu’est-ce que je pouvais faire ?
- Arrête tes conneries ! T’aimes ça, je le sais ! T’es une femelle juste faite pour satisfaire les mâles. Je vais t’apprendre à me donner ta bouche et ton cul sur un claquement de doigts, tu vas voir.
Sur ces mots, il se lève et sort de la chambre. Je l’entends faire couler la douche dans la salle de bain. Je reste allongé en pensant à ce qu’il vient de dire. Je sais qu’il a raison, mais je refuserai toujours de l’admettre à voix haute.
Quand Marco revient dans la chambre, je me lève pour aller prendre une douche aussi. Je m’éternise dans la salle de bain ; l’eau chaude me faisant beaucoup de bien après toute ces baises à répétition. Je finis par rejoindre Marco dans ma chambre. Il est nu dans mon lit et m’ordonne de le rejoindre dans la même tenue.
- Si j'ai envie de te baiser pendant la nuit, ce sera plus pratique.
Je m’allonge à ses côtés. Il se colle à moi en passant une jambe et un bras sur moi. Je suis de nouveau immobilisé et encore dans une position de soumission. Marco ne tarde pas à s’endormir. Pour ma part, j’ai du mal à trouver le sommeil.
Comme je devais m’y attendre, Marco me réveille en pleine nuit pour me planter sa queue bien raide dans la bouche. Il est à genoux au-dessus de moi, chacune de ses cuisses autour de ma tête, les mains contre le mur. Je lèche sa queue sans la prendre vraiment en bouche. J'essaie de baver dessus au maximum pour qu’elle glisse plus facilement. Mais Marco s’impatiente et, passant une main sous ma tête, il me dirige pour engouffrer sa queue en gorge profonde. Il me tient bien la tête pour que je ne recrache pas son sexe.
- Bouche à bites ! Tu suces trop bien, continue !
Il m’attrape la tête avec ses deux énormes mains, et enfonce sa queue au fond de ma bouche en effectuant de lents va-et-vient. J’étouffe et j'essaie de me dégager mais il est trop costaud pour moi. Il relâche cependant un peu son étreinte et continue de me baiser la bouche très lentement. Je manque de m’étouffer à chaque coup de queue mais il continue de prendre son pied sans considérer ma position.
- T’as une bouche faite pour sucer, salope ! Ta gorge est comme une chatte, j’adore ça !
Je reçois alors plusieurs jets de foutre dans la bouche. J’avale tout ce qu’il donne. Il continue pourtant ses va-et-vient sans se retirer de ma bouche.
- Ma salope ! Jusqu’à demain tu m’appartiens ! T’es à moi, t’as compris ? T’es ma chatte, ma femelle ! Ton cul et ta bouche sont à moi ! Tu vas passer la journée de demain à me satisfaire et tu prendras mon jus par tous les trous !
Il se retire et m’attrape par les cheveux.
- T’as compris ce que je te dis ?
- Oui, dis-je timidement.
Il reprend position à mes côtés et s’allonge pour se rendormir sans dire un mot de plus. Comme plus tôt, je mets encore du temps à m’endormir mais le jour est déjà levé quand je suis de nouveau réveillé par Marco. Il m’a attrapé par la nuque et me force à descendre vers son entrejambe.
- Suce-moi !
Il m’enfonce directement sa queue dans la bouche. Je retrouve ces quelques vingt centimètres de queue que je suce longuement en lui caressant les couilles.
- T’es vraiment une bonne salope ! Continue comme ça !
Je m’applique à le sucer du mieux que je peux. Je sais combien il peut être violent si je ne fais pas ce qu’il veut.
- Je vais t’enculer, ma salope ! Je vais te bourrer le cul avec mon jus ! T’aimes la queue, hein ? T’en veux, alors tu vas en avoir, crois-moi !
Il me tire par les cheveux pour m’allonger à côté de lui. Mais il se lève et m’observe de toute sa hauteur.
- Il me faut ton cul, salope ! Je vais te baiser ! T’enculer ! Te bourrer ta chatte de femelle soumise ! Fous-toi à quatre pattes, dépêche-toi !
Une fois dans la position qu’il demande, il me crache sur le cul pour enduire mon trou de sa salive. Puis il se place derrière moi et il commence à me baiser. Il sort sa queue et me pénètre à nouveau en enfonçant le plus possible sa queue dans mon trou. Je sens à nouveau ses couilles frapper contre mon cul à chaque fois qu’il entre en moi. Il joue de cette façon pendant quelques secondes encore avant de me baiser frénétiquement comme il le fait depuis vendredi soir. Je suis incapable de retenir des gémissements qui ressemblent presque à des cris ; ce qui semble beaucoup l’amuser.
- Ferme ta gueule, putain ! Tu veux ramener du monde ou quoi ? Ça te plairait de sucer une queue en même temps que je te baise, c’est ça ?
Il est accroupi au-dessus de moi et me baise longuement. Il m’enserre le bassin de ses deux bras. J’ai l’impression qu’il me baise comme le ferait un animal. Comme un mâle fécondant sa femelle.
- T'es vraiment une bonne salope ! T’aimes ça, la queue, hein ? Ça te plait de te faire bourrer la chatte par un mâle, hein ? T’en veux encore, hein ? T’aimes ça, putain !
Il accélère davantage la cadence et je l’entends râler à chaque coup de rein.
- Putain, qu’elle est bonne ta chatte ! Tu vas me faire jouir !
Ses râles se font plus forts et plus insistants. Je sens sa queue se contracter et tout son sperme chaud se décharger en moi. Il m’attrape par les épaules pour bien enfoncer sa queue comme pour faire gicler sa semence au plus profond de moi. Puis il se retire et me demande de le sucer pour nettoyer sa queue. Je m’exécute, toujours dans le seul but de le satisfaire et surtout de ne pas l’énerver.
- Allez ! Va nous préparer un café maintenant !
Je me lève donc, j’enfile vite fait un t-shirt et un bas de jogging et je vais directement dans la cuisine pour préparer un petit-déjeuner. Ce n’est pas vraiment une cuisine, il s’agit en fait de ce qu’on appelle un « coin cuisine » aménagé comme une cuisine américaine donnant directement sur la pièce principale sans cloison de séparation. Je mets la cafetière en route et une bonne odeur de café commence à se répandre dans l’appartement. Marco se lève et passe à côté de moi, totalement nu. Il me regarde avec une expression sévère de domination. Je n’y prête pas attention et continue mes préparatifs. Il s’enferme dans les toilettes en sifflant un air improvisé. Je lui sors un grand mug pour son café. Je me prépare en même temps un thé que je préfère au café le matin. Marco revient et va s’installer dans mon canapé. Il pose ses jambes sur la table basse placée devant lui et passe un bras sur le dossier en me regardant m’affairer.
- J’ai des trucs à faire ce matin. Je vais te laisser prendre soin de ta chatte et je reviendrai dans l’après-midi, on ira faire un tour dans la nature tous les deux. Un mâle et sa femelle faisant leur promenade du dimanche, ça te plait ?
- Comme tu veux…
Je lui apporte le mug de café que je pose à côté de ses jambes croisées sur la table basse. Je retourne vers la cuisine et m’installe sur un tabouret de bar où je prends mon petit-déjeuner sur le comptoir.
- A t’entendre gémir comme tu le fais quand je te baise, on peut dire que t’aime vraiment ça…
Je garde la tête baissée sur mon petit-déjeuner et ne lui réponds pas.
- T’aimes quand je te baise ?
Silence.
- Réponds-moi !
Je me retourne vers lui et le regarde longuement avant de lui répondre.
- Ne me dis pas que tu as besoin d’être rassuré sur tes capacités et compétences sexuelles, dis-je sur un ton agacé. Remarque, c’est peut-être pour ça que t’as besoin de menacer les gens avec un couteau pour les baiser.
Il pose alors le mug calmement sur la table basse et se lève en s’approchant de moi lentement. Je vois sa queue se dresser à chaque pas qu’il fait dans ma direction. Je descends du tabouret de bar pour me retrouver debout face à lui.
- J’ai adoré ta chatte dès que je t’ai baisée vendredi soir, et je continuerai à te l’ouvrir en te baisant de force s’il le faut. Que tu sois d’accord ou pas, c’est pas mon problème. C’est bien clair ? rajoute-t-il en me caressant les fesses et en introduisant deux doigts dans mon trou.
J’essaie de me dégager et de retirer sa main mais il m’attrape par le gorge avec sa main libre.
- Apparemment, c’est pas assez clair pour toi, hein ? me dit-il d’un ton autoritaire.
Il retire sa main de mon cul et me retourne pour me plaquer face contre le comptoir de la cuisine. Il descend mon bas de jogging violemment et se plaque contre moi pour m’empêcher de bouger.
- Allez, salope ! Ecarte bien les jambes ! Je vais te faire comprendre à quoi sert ta chatte !
Il me pénètre d’un seul coup et commence à me bourrer le cul sur un rythme saccadé.
- Voilà, ma salope ! Tu comprends maintenant ?
Il me baise sans ménagement en m’insultant sans arrêt. La position n’est pas très agréable et j’ai l’impression que le comptoir va se détacher du mur tellement ses coups de reins sont puissants.
- Alors ? T’aimes ça quand je te baise, hein ?
Il me défonce le cul à grands coups de queue comme un sauvage. Je la sens en moi et un plaisir intérieur m’envahir entièrement.
- Tu la sens, ma grosse queue ? Putain, ce cul… Tu vas encore me faire juter !
Il m’enserre d’un bras autour de la taille tandis que l’autre s’enroule autour de mon cou.
- Oh, putain ! Je vais cracher, salope ! Je vais cracher dans ta chatte de pute ! Oh, putain ! Ouais…
J’éjacule en même temps que lui. Je sens son sperme chaud au fond de moi tandis que le mien coule le long de mes jambes. Il se retire et va directement dans la salle bain sans dire un mot. Pendant qu’il prend une douche, je m’essuie vite fait de tout ce sperme dégoulinant, puis je range un peu l’appartement. Marco sort de la salle de bain et entre dans ma chambre pour s’habiller.
- Je reviens ici vers 17H00, me lance-t-il depuis la chambre. T’as intérêt d’être là !
Il revient dans le salon tout habillé et me regarde de son air conquérant.
- Je dis ça pour ton bien, évidemment…
- Evidemment, dis-je d’un ton sarcastique.
Il sourit, puis se dirige vers la porte d’entrée.
- A 17H00 ! me crie-t-il.
La porte se referme ; il est parti. Je pose ce que j’ai en main et je vais m’allonger sur mon lit où je m’endors comme une masse en quelques secondes.
Il est presque 16H30 quand j’ouvre enfin les yeux. Je n’arrive pas à croire que j’aie pu dormir toute la journée sans me réveiller une seule fois. J’ai l’impression d’avoir le cerveau quelque peu liquéfié d’avoir autant dormi. Je me retourne pour m’allonger dans l’autre sens en me disant que je profiterais bien de quelques minutes de plus avant de me lever. Mais tout à coup le souvenir de Marco me frappe comme sa façon de me gifler. Je regarde l’heure à nouveau mais c’est bien ça ; il ne me reste plus qu’une demi-heure avant de le voir rappliquer chez moi. Je me lève d’un bond et je file dans la salle de bain pour prendre une douche. Le sperme séché sur mes jambes tire ma peau. La douche est vraiment très agréable et appréciable. Je fais durer ce moment de plaisir mais je me résous finalement à sortir et me sécher pour me préparer le plus vite possible avant l’arrivée de Marco.
A 17H00 pile, je reçois un sms me disant « Je suis en bas. Je t’attends. » Je prends une veste, mes clés, et je referme la porte de mon appartement derrière moi. Je descends les deux étages rapidement mais je m’arrête quelques secondes derrière la porte de l’immeuble avant de l’ouvrir. Je prends une bonne respiration et sors enfin. Il est là, face à moi, dans la camionnette, stationnant en warning devant mon immeuble.
- Monte ! me lance-t-il sur un ton impatient.
Je fais le tour du véhicule et m’installe à côté de lui. Il démarre aussitôt avant même de me laisser le temps d’attacher ma ceinture de sécurité.
- Je t’emmène dans un coin que j’aime bien, on va bien s’éclater. Tu verras, tu vas aimer.
Je ne dis rien et je laisse faire. Quelque chose me dit que je ne vais pas forcément aimer son « coin » mais je sais qu’il serait malvenu de m’opposer à ce qu’il a décidé. Il s’engage sur le périphérique, puis sur une partie d’autoroute, et après une vingtaine de minutes de route il ralenti à l’annonce d’une aire de repos sur un panneau de circulation. Je n’ai pas eu le temps de lire le nom de l’endroit mais Marco semble bien connaître les lieux. C’est une aire d’autoroute où des poids-lourds sont garés les uns à côté des autres. Il y a que des toilettes publiques avec des bosquets aux alentours. Aucune boutique ou station essence. Il passe à côté des camions lentement et fait le tour complet du site sans se garer. Avant d’arriver au niveau des camions que l’on a déjà croisés, il ralenti et roule très lentement. Il défait son pantalon et sort sa queue en pleine érection.
- Vas-y, suce-moi ! On va leur montrer qu’on est chaud.
A ces mots, il m’attrape par la nuque et m’abaisse vers son sexe tendu que je m’empresse de prendre en bouche. Après être repassé lentement devant les routiers, Marco se gare un peu plus loin devant une rangée d’arbres cachant en fait un grand bois où les mecs se promènent pour baiser entre eux. Je me redresse et Marco rentre sa bite toujours raide dans son pantalon et se rajuste avant de descendre de la camionnette. Je sors à mon tour du véhicule et je le suis quand il prend la direction du bois. Il s’arrête dans un petit coin reculé et à l’abri des rôdeurs et s’adosse à un arbre. Il fait descendre son jeans jusqu’aux aux chevilles ; sa queue raide tendue dans ma direction.
- Allez, suce-moi !
Je m’accroupis devant lui en posant mes mains sur ses cuisses musclées pour garder un bon équilibre et je commence à le sucer en en prenant le plus possible dans la bouche.
- Tu fais ça bien, salope ! Je vais juter !
Marco pose ses deux mains sur ma tête et je sens son jus m’envahir la gorge.
- T’arrête pas ! Continue de me sucer !
Après donc lui avoir bien vidé les couilles, je reprends sa queue en bouche. Il n'a pas joui une grande quantité de sperme, cette fois.
J’entends des pas derrière moi et mon premier réflexe est de lâcher la queue de Marco pour me relever, mais il m’empêche de bouger en mettant encore une fois ses mains sur ma tête.
- Bouge pas ! Reste tranquille et suce !
Le bruit de pas s’arrête mais je suis incapable d'estimer à quelle distance se tient le mec.
- Salut, lance-t-il.
- Salut, répond Marco.
Je continue de sucer Marco dont la queue est restée bien raide.
- Vas-y, viens…
- C’est ton mec ?
- Non, c’est juste une bonne salope à baiser.
- Ah ouais ?
- Ouais. Alors n’hésite pas, viens te servir…
Le mec s’approche. Il descend sa braguette et sort sa queue. Il est juste à côté de Marco et il se branle en approchant sa bite de mon visage.
- Vas-y, suce-le, m’ordonne Marco.
Je lâche donc sa queue pour prendre celle du mec dans la bouche. Je la gobe entièrement et le suce avec avidité.
- Ouais… Putain, c’est bon !
- T’aimes ça ? lui demande Marco.
- Putain, ouais ! Elle suce trop bien, ta lope !
- Elle a une bonne petite chatte aussi. Tu veux l’enculer ?
- Et comment !
Le mec passe derrière moi tandis que Marco le remplace en me fourrant sa queue dans la bouche. Je pose à nouveau mes mains sur ses cuisses, mais il m’attrape les poignets et place mes mains derrière ma tête. Mon équilibre n’est pas très bon mais Marco est suffisamment fort pour me retenir et m’empêcher de tomber. Le mec derrière moi m’écarte les fesses et crache sur mon trou. Je sens son gland forcer l’entrée et sa queue s’enfoncer lentement en moi.
- Oh putain ! T’as raison ! Quel cul ! C’est trop bon !
Pendant qu’il me baise sur un rythme d’une cadence soutenue, Marco me baise la bouche en enfonçant sa bite le plus loin possible sans me faire tousser. Je suis pris en sandwich par ces deux mecs ; une bite dans le cul et une autre dans la bouche. Tous deux gémissent pour affirmer le plaisir qu’ils prennent à me baiser. Les va-et-vient du mec dans mon cul me font prendre la queue de Marco en gorge profonde à chaque coup de reins. Le mec me tient par les hanches et je sens à son changement de rythme qu’il ne va pas tarder à jouir. Effectivement, ses doigts s’enfoncent dans ma peau tandis qu’il colle son torse sur mon dos. Ses gémissements annoncent sa jouissance mais il me baise encore quelques secondes avant de se retirer. Marco continue à me baiser la bouche le plus naturellement du monde. Le mec remonte son pantalon et me donne une claque sur la fesse droite.
- Merci. Salut…
- Salut, répond Marco.
Il gémit en me caressant les cheveux. Puis, il me bloque la tête contre lui pour enfoncer sa queue le plus loin possible pendant quelques secondes. Puis il lâche son étreinte et se retire. Il m’attrape par la gorge et me force à me redresser en maintenant mon visage face au sien.
- C’est trop bon de te voir te faire baiser la chatte pendant que tu me suces !
Puis il me relâche et me retourne dos à lui.
- Baisse-toi, je vais te baiser aussi !
Il prend bonne position derrière moi et me pénètre d’un seul coup. Ayant le cul déjà bien ouvert, sa queue s’enfonce sans difficulté.
- Putain ! Comme j’aime ton cul !
Marco est tellement excité qu’il me défonce le cul comme une brute.
- Ouais ! Putain, salope, c’est bon ! Tiens ! Prends-moi ça !
Il me baise pendant cinq bonnes minutes avant de tout décharger en moi. Il reste un petit moment au fond de mon cul avant de se retirer pour me la remettre en bouche.
- Voilà… Nettoie bien, ma belle !
Son ton est presque doux et il me caresse la tête comme il le ferait à un chien ayant bien obéi à son maître.
- Bon, allez ! Rhabille-toi, on se casse !
Il prend déjà la direction du parking à peine avoir fini sa phrase. Je me rhabille rapidement en marchant. Je le rattrape au moment où il monte dans la camionnette. On reprend la route en sens inverse en direction de Lyon.
- On va chez moi, me dit-il sans même me regarder. Je veux que tu restes avec moi ce soir. J’ai organisé une petite soirée avec mes potes. Ils ont besoin d’un bon trou à bites et personne ne pourra mieux les satisfaire que toi.
Ça ne va donc jamais s'arrêter ? Ce mec va finir par choper un priapisme aiguë s’il continue à bander et à éjaculer aussi souvent comme il le fait. Et mon cul ne va plus jamais se relâcher et va rester dilaté pour le reste de ma vie. Je souris légèrement à ses pensées stupides, mais le sérieux me reprend à l’idée de passer la soirée avec plusieurs mecs qui ne seront là que pour se vider les couilles.
Arrivés chez Marco, dans le sixième arrondissement, il m’invite à m’asseoir dans son canapé. C’est apparemment un grand appartement pour quelqu’un qui vit seul. Il me sert un verre de Coca avant de disparaître dans une des pièces voisines. Je bois quelques gorgées et profite de cette accalmie pour m’adosser au canapé et me décontracter un peu. Si je pouvais m’endormir, je le ferais sans hésitation.
Marco revient dans le salon totalement nu. Il vient s’asseoir à côté de moi et commence à se branler.
- Déshabille-toi !
Je me lève et enlève mes vêtements un à un pour me retrouver nu à mon tour. Sa queue commence à prendre du volume sous l’effet du frottement.
- Suce-moi un peu !
Je m’agenouille entre ses jambes et commence une fellation qui semble lui procurer beaucoup de plaisir.
- Arrête, tu vas encore me faire jouir. Je veux que ça dure un peu.
Il prend sa queue du bout des doigts pour la faire claquer sur ses abdos poilus. Puis il la tend vers moi et me regarde d’un air vicieux.
- Viens t’asseoir dessus !
Je me retourne et m’assois dos à lui sur sa queue qui entre jusqu’à la garde toujours sans difficulté. Il bouge lentement du bassin et m’encule tendrement en me caressant le dos et les cuisses. Il me parle doucement, me dit qu’il aime sentir sa queue dans ma chatte et qu’il n’y a qu’avec moi qu’il prend un pied pareil. Je sens son souffle dans mon cou et cette sensation me donne des frissons de plaisir. Sa queue va et vient dans mon ventre. Il me saisit les hanches et se met à onduler du bassin pour accentuer son plaisir. Mais le rythme change du tout au tout en une seconde ; le voici qui me fait sauter sur lui pour me baiser profondément.
- Je vais te déchirer le cul, ma belle ! Et tu vas aimer ça, putain !
La suite d’un tel propos ne se fait pas attendre ; je sens sa queue se contracter alors qu’il arrête de bouger. Son liquide chaud se répandant en moi.
- Putain que ça fait du bien…
Il reste en moi un long moment en dandinant du bassin pour continuer à prendre du plaisir et sentir sa queue toujours bien épaisse au fond de mon trou.
On sonne à la porte. Marc me soulève pour se retirer et va dans l’entrée pour accueillir ses amis. J’entends bientôt plusieurs voix d’hommes s’approcher du salon. Les voix se taisent dès que les hommes me voient. Ils ne s’attendaient peut-être pas à me trouver déjà nu et prêt à l’offrande. Ils sont trois à me lécher du regard de la tête aux pieds. Marco apparaît derrière eux et vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé.
- Mettez-vous à l’aise, les gars ! Allez à votre rythme et sachez que les préliminaires ne sont pas une obligation !
Il rit en posant une main ferme sur ma cuisse. Les trois invités se déshabillent sans attendre. Deux sur trois bandent déjà comme des taureaux. Chacun à un physique bien à lui, très différents du physique massif de Marco, mais chacun présente une virilité affirmée et une envie de me baiser déjà bien évidente. Marco passe alors un bras autour de mon cou et tapote son index sur ses lèvres souriantes en me regardant.
- Bon ! Tu vois, Nico, on se connaît bien avec mes potes et on a nos habitudes, alors faut pas trop nous en vouloir si on t’attache sur la table basse que tu vois devant toi pour que tu nous serves de vide-couilles toute la nuit s’il le faut.
Il resserre son étreinte comme pour anticiper un refus de ma part ou une tentative pour me dégager. Un des mecs s’approche pour me prendre un bras et me forcer à me lever. Marco et un autre mec m’écartent les jambes et les attache aux pieds de la table. Les deux autres font de même avec mes poignets sur l’autre versant de la table. Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table basse, soumis et offert au premier venu. Un des mecs m’attrape par les cheveux et me redresse brutalement la tête pour permettre à un autre de me bander les yeux. Je sens l’odeur d’une bite passer devant mon visage, puis un gland vient caresser mes lèvres. J’ouvre la bouche pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée. La position dans laquelle je suis me fait déjà mal aux genoux et aux tibias. Quelqu’un fait glisser ses mains sur mes fesses avant de les écarter. Je l’entends cracher dans ses doigts pour m’enduire l’anus de salive. La sensation humide de cette salive sur mon trou n’est pas très agréable. Il appuie son sexe contre ma rondelle et m’encule d’un seul coup de reins. Sa queue me paraît énorme, mais Marco a tellement bien préparer le terrain en me baisant tout le week-end que je reçois cette queue avec beaucoup de plaisir. Personne ne parle. Seuls mes gémissements se mêlent au souffle de mes amants et au bruit de leur sexe dans mes orifices humides. Je me fais limer pendant de longues minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul puis la bouche. Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent. Marc s’approche alors de moi pour me murmurer quelques mots à l’oreille.
- T’es parfaite, ma belle. Tu sais accueillir mes invités avec classe. Continue comme ça…
Puis il me demande d’ouvrir la bouche alors qu’une queue s’y engouffre en gorge profonde. Je suppose qu’il s’agit de Marco. La façon de me tenir la tête lui ressemble. D’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les unes après les autres comme s’ils étaient une dizaine. Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe maintenant les sexes dressés sans problème. Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager. Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils prennent à mes dépens. L’un après l’autre, pendant près de deux heures, quatre mâles me baisent sans retenue. Ils me prennent chacun plusieurs fois, passant de ma bouche à mon cul et inversement.
Puis tout s’arrête soudainement, comme s’ils s’étaient tous concertés silencieusement pour mettre fin à mon supplice. Les derniers jets de sperme m’arrivent sur le visage, les cheveux et les fesses. Je les entends se rhabiller et c’est la première fois que j’entends clairement leur voix. Ils en vont de leurs commentaires en disant combien je suis capable d’encaisser les queues à la chaine, et qu’une bonne salope comme moi devrait servir des hommes comme eux à temps complet. Ils rient, se congratulent les uns les autres, et semblent tous m’avoir oublié. Sentiment vite remis en question lorsque l’un d’entre eux vient me claquer une fesse pour me dire au revoir. Marco les raccompagne à la porte et revient dans le salon.
- T’as vraiment été parfaite, mes potes ont vraiment apprécié. Tu sais encaisser, c’est bien.
Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses. Je suis incapable de dire s’il m’a baisé avec ses potes ou s’il m’a abandonné à leurs assauts, mais il a l’air encore très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mon cul et son sexe s’enfonce lentement en moi.
- On est vraiment bien là-dedans…
Il me baise longtemps avant de jouir. La fontaine semble être tarie après toutes ces baises à répétition. Il me libère et m’aide à me relever. Je ressens des courbatures de partout, je suis complètement cassé. J’ai mal à la mâchoire et aux reins et j’ai du mal à retrouver une mobilité fluide pour me rhabiller.
Marco me ramène chez moi en promettant qu’il demanderait très bientôt à Philippe pour s’occuper de moi encore tout un week-end. Il me dépose devant l’entrée de mon immeuble et je le remercie de m’avoir raccompagné.
- Tu l’as bien mérité. Vas dormir maintenant !
Et il démarre sans autre courtoisie. J’attends que la camionnette disparaisse à l’angle de la rue et je monte chez moi retrouver la douceur de mon appartement. Je n’ai à cette seconde qu’une seule idée en tête : dormir.

dimanche 15 décembre 2013

mercredi 27 novembre 2013

Les flics du parc


- 2004 -

Je rentre d’une soirée avec Philippe et un de ses amis. Philippe avait envie d’un plan nature en pleine nuit et on peut dire qu’il en a profité. Son pote aussi… Et là, je rentre chez moi à pieds. Il n’y a plus de métro ni bus à cette heure-ci. Je dois traverser un parc pour éviter de faire un grand détour. Ce parc est réputé pour être un lieu de drague en journée. Mais bien sûr, à cette heure tardive, le parc est fermé depuis bien longtemps. Je grimpe donc par-dessus le portail et me retrouve à l’intérieur. Je l’ai déjà fait auparavant et je sais qu’il n’y a rien à craindre, mais au milieu du parcours, voilà qu’un fourgon de police arrive pile en face de moi. Un homme en descend et s’approche de moi.
- Vous faites quoi, là ? Pas la peine de vous dire que vous êtes en infraction.
Il avance dos aux phares du camion. Je ne vois que sa silhouette, ébloui par la forte lumière. Je me cache un peu les yeux pour mieux voir l’homme qui se tient à présent devant moi.
- Vos papiers, s’il vous plaît !
Il doit avoir la trentaine, les cheveux courts, et un visage très viril pour son âge.
- Bien sûr, voilà, répondis-je en prenant mon portefeuille dans la poche arrière de mon jeans.
- Dépêchez-vous ! Vous savez que c’est interdit d’être ici la nuit, vous faites quoi à une heure du matin, tout seul, dans un parc ?
Je lui donne ma carte d’identité.
- Je… Je me suis endormi un peu plus loin. Je cherche une sortie mais celle d’où je viens est fermée…
- Suivez-moi dans le véhicule, monsieur ! dit-il d’une voix assez énervée.
On se dirige vers le fourgon où son coéquipier, resté au volant, attend et observe. Le flic marche légèrement en retrait de moi et n’arrête pas de me regarder, sans doute pour être sûr que je n’essaie pas de m’enfuir. Il ouvre l’arrière du fourgon et me demande de monter. C’est la première fois que je me retrouve dans un véhicule de police et je n’en mène pas large. Il referme la porte derrière nous sans la claquer.
- Videz les poches et déposez le tout ici, ordonne-t-il en montrant une tablette du doigt.
Il énumère au fur et à mesure les objets que je sors des poches de mon jeans.
- Paquet de cigarette, portefeuille avec carte bleue, clés.
Il me regarde fixement.
- C’est tout ? Vous voulez que ce soit moi qui vous fouille ?
- C’est tout ce que j’ai sur moi. C’est un pantalon, pas un sac à dos !
Cette situation commence un peu à m’agacer. Lui, continue de me regarder toujours aussi fixement.
- C’est pour baiser que vous êtes dans le parc ? T’es pédé ? me demande-t-il sans me lâcher du regard.
- Oui, mais je suis pas là pour ça, répondis-je un peu gêné.
Il se lève lentement et ferme les portes du fourgon. Il s’approche de moi, prend ma main et la met sur son paquet déjà gonflé sous son uniforme. Il me prend par les cheveux et me fait mettre à genoux, la bouche à hauteur de son sexe.
- Vas-y, suce-moi, pédé ! dit-il en baissant sa braguette de sa main libre.
Peut-être à cause de la situation, un flic dans un fourgon de police, je flippe un peu. Je le pousse en arrière pour me dégager, me relève et ouvre la porte du fourgon. Je saute et me mets à courir le plus vite possible.
- Oh là ! Tu vas où, toi ?!?
Le deuxième flic est en train de me courser. Je fais mon maximum pour battre le record du monde olympique du sprint. Je cours sur l’herbe et à travers les buissons avec l’idée de les ralentir. Idée stupide s’il en est. Et tout à coup, je pense à mon portefeuille et aux clés de mon appartement restés dans le fourgon. Je m’arrête net et me retourne. Sans rien comprendre à ce qui se passe, je me retrouve en une fraction de seconde à plat-ventre sur le sol.
- C’est bon, Thierry ! Je l’ai ! lance-t-il à son coéquipier que j’entends nous rejoindre. Tu comptais aller où comme ça, toi ? me dit-il en me menottant les poignets.
- Putain, mais lâchez-moi ! criai-je en me débattant.
- Ça, ça dépendra de toi, mon p’tit pédé. Si tu te laisses faire et que tu te tiens à carreau, tu pourras partir sans passer au poste, dit Thierry. A toi de voir.
- Oh ! On a trouvé la poule au cul d’or ? demande l’autre flic en riant.
- Affirmatif, répond Thierry. Redresse-le.
Le deuxième flic me fait mettre à genoux. Thierry se place devant moi et sort sa queue.
- Maintenant, tu vas me sucer, salope !
Je suis surpris de voir la taille de sa queue. Une bonne vingtaine de centimètres. Il m’attrape par les cheveux et me force à le sucer. J’ai du mal à avaler cette queue aussi grosse. Il me faut un moment avant de pouvoir la garder entière sans étouffer. Il me baise la bouche en profondeur et je sens son gland au fond de ma gorge à chacun de ses coups de rein.
- Putain, ouais ! Suce bien, salope ! Continue comme ça, t’arrêtes pas !
Le deuxième flic a déjà sorti sa queue et se branle en me regardant avaler celle de son coéquipier.
- Hey, Patrick ! Tu voudrais pas te vider les couilles par hasard ? Parce que je nous ai trouvé la bouche qu’il nous faut, crois-moi !
- Mais je n’attends que ça, mon ami ! dit l’autre sur un air enjoué. Viens là et montre-moi un peu comment tu suces !
Je m'exécute aussitôt et me déplace légèrement sur les genoux pour prendre l’autre queue en bouche.  Il a une queue très odorante ; une odeur de sueur plutôt désagréable. Il me l’enfonce dans ma bouche et commence à me baiser en gorge profonde.
- Putain, il suce mieux que ma femme, ce pédé !
Thierry ne tarde pas à me représenter sa queue à sucer. J'ai devant moi deux bonnes bites bien tendues et je passe de l'une à l'autre en essayant de m’appliquer du mieux que je peux.
Patrick passe alors derrière moi et baisse mon pantalon et mon boxer.
- Putain ! Regarde-moi ça ! s’exclame-t-il.
Il prend mes fesses à pleine main pour les malaxer fermement.
- On dirait un vrai cul de gonzesse ! poursuit-il. Je te jure, j’ai jamais vu ça !
Je sens que l’un d’eux est en train de m’enlever une menotte. Instinctivement, je pose directement mes mains sur les cuisses de Thierry pour trouver un bon équilibre.
- Je vais te baiser et te montrer comment un homme encule une femme ! dit Patrick.
Je sens des doigts humides parcourir la raie de mes fesses avant de les sentir s’introduire en moi.
- Redresse-toi !
Ses doigts en moi, il force vers le haut comme pour me soulever et me mettre sur les pieds, puis il m’oblige à me cambrer en rabaissant ma tête vers la queue de son coéquipier que je reprends en bouche. Je sens la queue de Patrick caresser toute la surface de mes fesses avant de sentir son gland contre mon anus. Il me pénètre d'un coup avec un plaisir immense. Après m’être fait baisé par Philippe et ses deux amis pendant plus d’une heure plus tôt dans la soirée, mon cul est forcément bien dilaté pour recevoir ces nouvelles queues. Mes gémissements sont étouffés par la queue de Thierry qui n’a pas l’intention de lâcher prise.
- T’aimes te faire prendre, toi, hein ? me dit Thierry.
Je gémis légèrement pour toute réponse. Patrick continue ses lents va-et-vient derrière moi. La peur que je ressens et la soumission qu’ils m’imposent m’excitent énormément. Je prends plaisir à sentir une si bonne queue dans mon cul en en ayant une autre dans la bouche.
Patrick accélère la cadence et pousse un râle comme s’il était très en colère.
- Putain, je vais jouir ! Viens me sucer !
Le temps de me retourner, il enlève sa capote et me plante sa queue en pleine bouche pour reprendre ses va-et-vient. Il m’attrape par les cheveux et me baise violemment la bouche. Thierry en profite pour m’enculer à son tour. Sa queue entre en moi comme dans du beurre.
- Ça vient ! Suce encore ! Ouais !
Patrick me fait mal en tirant mes cheveux trop fortement. Il éjacule sa première giclée dans ma bouche puis se retire pour m'asperger le visage de trois autres jets.
- Oh putain, c’est bon !
Il me caresse à présent la tête.
- Va falloir nettoyer maintenant…
Il m’engouffre à nouveau sa queue dans la bouche. Thierry continue de me limer le cul et accélère le rythme au fur et à mesure qu’il sent la jouissance arriver.
- Je vais cracher ! dit-il en se retirant.
Thierry enlève sa capote et fait gicler tout son jus bien chaud sur le bas de mon dos.
- Maintenant, c’est moi qu’il va falloir nettoyer ! dit-il.
Il vient prendre la place de Patrick et me fourre la bouche de sa queue encore bien dressée.
- T’es un bon vide-couille, me dit-il en me caressant les cheveux. Ma femme m’a jamais sucé comme ça. J’ai pris un pied d’enfer avec toi.
- Tu passes souvent par ici ? me demande Patrick.
- Non, dis-je. J’avais pas prévu de traverser ce parc ce soir.
Patrick libère mon deuxième poignet des menottes qu’ils m’avaient mises.
- Viens récupérer tes affaires, me lance Thierry en se rhabillant correctement tout en marchant vers le fourgon. Je me rhabille à mon tour et le suis jusqu’au véhicule. Il monte à bord et ressort en me tendant tous mes biens.
- Au plaisir de te revoir trainer par ici…
Je ne réponds pas. Je les regarde prendre place à bord de la cabine et démarrer. Je reprends alors la direction de la sortie pour rentrer chez moi. Quatre mecs m’auront baisé ce soir. Mais je n’aurais jamais cru qu’une telle histoire m’arrive avec des flics en fonction.