- 2002 -
Vendredi soir, un peu plus de
minuit, je rentre seul chez moi après avoir passé la soirée avec des
amis. Nous nous sommes séparés à la sortie du cinéma où nous avons vu
un film d’action futuriste que je n’ai aimé que très moyennement. Je traverse la
place des Terreaux et décide d’emprunter les traboules pour monter les quelques
rues des pentes de la Croix-Rousse jusque chez moi plutôt que de prendre les
rues toujours animées de ce quartier, même à une heure aussi tardive. Je
m’engage dans la dernière traboule avant d’arriver dans ma rue. J’ai soudain
l’étrange sentiment d’être suivi ; et c’est au moment où je me retourne
qu'il surgit de nulle part. Un homme plutôt baraqué me plaque contre le mur
derrière moi. Il doit bien faire une tête de plus que moi. Il sort alors un
couteau et place la lame sous ma gorge.
- A genoux !
Je me débats et commence à
crier mais, étant beaucoup plus fort que moi, il met sa main devant ma bouche
et m’empêche de bouger. Il appuie la lame sur ma gorge.
- Tu gueules, je
t’égorge ! Alors tu vas être bien sage et faire ce que je te dis !
Il parle doucement pour ne pas
attirer l’attention mais son ton est appuyé et très autoritaire.
- Fous-toi à genoux !
Je lui obéis. Il colle alors
son entrejambe contre ma bouche. Puis il ouvre son pantalon et glisse sa main
dans son caleçon pour libérer une bite monstrueuse. Alors qu'elle semble être au repos, elle mesure une bonne vingtaine de
centimètres et est très large. Je me débats instinctivement et, devinant la suite,
tourne la tête sur le côté. Il pose ses mains sur mes oreilles pour prendre ma
tête à deux mains et m'enfonce sa queue directement au fond de ma gorge. Il
commence directement un violent va-et-vient en forçant avec ses mains pour me
baiser la bouche. Mon crâne tape contre le mur à chaque mouvement. Sa queue prend peu à peu plus d’ampleur dans ma bouche. Ses couilles cognent contre mon menton. Je me débats encore
mais rien n’y fait, il est trop fort pour moi. Je sens alors sa bite se
contracter et je reçois de nombreux jets de foutre dans la gorge.
- Avale, salope ! Putain,
avale, sale pute ! me dit-il en me menaçant avec son couteau et en
nettoyant sa bite contre mes lèvres.
D'un coup, il me soulève comme
une plume et me retourne face contre le mur. Il baisse mon pantalon et déchire
mon boxer.
- Un bon p’tit cul comme ça,
ma bite va glisser comme dans du beurre, hein, ma salope ! dit-il
froidement.
J’ai vraiment très peur. Il
lèche ses doigts et étale sa salive sur mon trou serré. Je le supplie d’arrêter
mais il se met à rire nerveusement. J’insiste pourtant…
- S’il vous plait, arrêtez…
J'ai pas d’argent…
- Mais c'est pas ton fric qui
m’intéresse, salope ! C'est toi et ton p’tit cul que je suis depuis le ciné ! T'aime rouler du cul, hein, pétasse ? T’aime ça, aguicher les
mecs dans la rue, hein ? Maintenant, on va voir si tu vas encore rouler du
cul après te l’avoir défoncé !
- Mais non, c’est pas
vrai ! Je ne vous avais même pas vu… Je rentrais juste chez moi…
- Arrête de faire ta
pucelle ! Je vais te baiser la chatte et tu vas fermer ta gueule !
Je sens son gland forcer
l’entrée de mon trou. Il appuie fort et, la salive qu'il avait étalée aidant à
glisser sa queue, il me pénètre presque entièrement. J’étouffe un cri de
douleur. Cette immense queue me perfore le cul. Il ressort et me pénètre à
nouveau, satisfait d’avoir enfoncé sa queue bien à fond.
Il me lime pendant cinq bonnes
minutes. D’abord doucement, puis il accélère le rythme en poussant des râles
virils à mon oreille.
- Mais c'est qu'elle commence
à aimer ma queue, la salope, hein ? Ça rentre bien maintenant ! Tu la
sens bien, hein ?
Je ne réponds rien. Il
m’agrippe les cheveux pour faire basculer ma tête en arrière tout en continuant
ses va-et-vient puissants.
- Réponds, salope !
T’aimes ça, hein ?
- Oui…
Il commence alors à vraiment
me limer d’une cadence infernale tandis que mes cris étouffés résonnent dans la
traboule vide.
- Je sais bien que t’aimes
ça ! Te faire enculer comme une salope ! Une bonne saillie pour une
bonne chienne comme toi !
Il se retire sèchement et me
retourne.
- A genoux !
J’obéis sans réfléchir. Il prend
sa queue en main et se branle devant mon visage.
- Ouvre la bouche !
J’ouvre donc la bouche devant
sa queue et il lâche plusieurs jets de sperme chaud sur ma langue et mon visage.
- Allez, avale, ma
salope ! Avale tout !
J’avale le jus que j’ai
pris dans la bouche. Il commence à me donner de petites gifles.
- C'est bien ! T'es une
bonne salope, toi !
Je reçois alors une gifle
magistrale qui me sonne complètement. Je reprends mes esprits et m’aperçois
qu’il n'est plus là. Je me redresse difficilement tout en remontant mon pantalon. Je rentre chez moi le corps
légèrement endolori.
Dans mon appartement, je vais
directement dans ma chambre et m’allonge tout habillé sur mon lit. Je m’endors
comme une masse au bout de quelques secondes…
Le lendemain, je reçois un
message d’une provenance inconnue sur mon mobile. « Même heure ce soir au
même endroit. Si t’es pas là, je débarque directement chez toi. Philippe m’a
donné carte blanche pour le week-end. T’es à moi et je compte bien en profiter.
Marco. »
Philippe a décidément une
grande facilité à envoyer ses potes me baiser. Le ton est donné mais je ne suis
pas sûr d’être au rendez-vous le soir-même. Cet homme a été un véritable animal
et il m’a vraiment fait peur. J’ai au moins la journée pour y réfléchir …
Pourtant, la peur au ventre,
estimant ne pas avoir le choix, je me rends au même endroit et à la même heure
comme demandé. J’attends mais je ne le vois toujours pas. Alors que je fais quelques pas dans la traboule, je sens
une main sur ma bouche et un couteau sous la gorge.
- Alors ! On a aimé ça et
on en veut encore ?
Je retire sa main de mon visage ;
il ne manifeste aucune résistance à mon geste.
- Non, s’il vous plait !
Je ne veux pas, arrêtez !
Il me met à genoux de force
et sort sa queue déjà bien raide.
- Ouvre la bouche et tire la
langue, salope !
Il se branle puis enfonce sa
queue entière dans ma bouche en un seul coup. Il commence à me baiser sans
attendre. J’ai du mal à respirer et un haut-le-cœur me prend. S’en apercevant,
il se retire.
- Tourne-toi et baisse ton
froc !
Je m'exécute. Je sens alors sa
langue qui fouille mon trou et qui tourne à l'intérieur. Il explore mon cul
avec sa langue. Je sens sa salive couler le long de mes cuisses. Il me donne
des claques sur les fesses en même temps.
Tout à coup, il se redresse et
reste silencieux. Je me retourne pour voir ce qu’il fait. Il me regarde d'un
air méprisant et me gifle la joue droite.
- C’est pas fini,
salope !
Il m'attrape la nuque me
traine jusque dans la rue où il me force à le suivre. Je remonte mon pantalon d'une main pour ne pas tomber. Il s’arrête devant une camionnette et ouvre la porte latérale.
- Monte !
Assis sur la banquette
arrière, je remonte mon pantalon pour me rhabiller. On roule environ quinze
minutes sans qu’un seul mot ne soit prononcé. On est sorti de Lyon. Je suis tétanisé de peur.
- On va où ?
- Ta gueule !
On s'arrête enfin. Il sort du
véhicule et m’ordonne de le suivre. On est dans une forêt ou dans un bois. Il
m’attrape à nouveau par la nuque pour me faire avancer.
- Pose tes mains sur cet
arbre !
Je lui obéis. Il baisse mon
pantalon et commence à me claquer violemment les fesses. Je me retourne et lui
dit d’arrêter. Il me regarde alors d’un air vraiment méchant. Je recule jusqu’à
me retrouver adossé contre l’arbre.
- Mets-toi à genoux tout de
suite devant ma queue ! me dit-il calment en articulant chaque syllabe.
Je ne m’agenouille pas, je
suis juste accroupi face à lui, toujours adossé contre l’arbre. Il défait son
jeans et me présente sa queue toujours aussi raide et majestueuse. Je me
retrouve devant toute sa puissance de mâle.
- Ouvre la bouche !
Là encore, il me baise la
bouche en me coinçant la tête contre l’arbre. Il éjacule au bout de quelques
minutes, m’obligeant évidemment à tout avaler.
- Mets-toi à quatre
pattes !
J'obéis immédiatement en
écartant les jambes. Sans attendre plus longtemps, il me pénètre et me baise
d'une force terrible. Ma tête cogne contre l’arbre avec la violence de ses
coups de queue. Je cris et ça l'excite ; il continue sans relâche. Au bout
d’un temps qui m’apparait interminable, je le sens se contracter. Il m’agrippe
la hanche de sa main gauche tandis que la droite vient m’attraper les cheveux
pour me faire basculer ta tête en arrière. Il jouit en moi dans un râle si
viril que ça m’en donne des frissons de plaisir.
- Putain, ce que t’es
bonne !
Il donne encore quelques coups
de reins comme pour finir de lâcher les dernières gouttes de sperme au fond de
mon trou. Puis il se retire enfin.
- Retourne-toi !
Je me retourne, accroupi, le
visage face à sa bite gluante.
- T’en veux encore,
hein ? Alors ouvre la bouche !
J'ouvre grand ma bouche en
tirant la langue. Il m'enfonce sa queue jusqu'à la garde. Je manque une
nouvelle fois de m'étouffer mais, contrairement à tout à l’heure, ça ne semble
pas le déranger. Il me baise la bouche de force en me tirant les cheveux.
Comment fait-il pour être aussi longtemps en érection après avoir joui
plusieurs fois ?
- Putain ! Quelle bouche
de pute ! T’aimes ça, sucer ma queue, hein, salope ? T’aimes ça,
hein ?
Il me baise la bouche encore
quelques minutes avant de se retirer.
- T’es vraiment une femelle
comme je les aime ! Je savais que je pouvais faire confiance à Philippe.
Allez, rhabille-toi, ma belle, on va chez toi !
A ce moment-là, je suis
littéralement pris de panique. Je ne veux pas le recevoir chez moi.
- Non, j’ai du monde en ce
moment chez moi. Je ne peux pas vous recevoir…
Il me gifle à m’en faire
tomber la tête. Il m’attrape par le bras et m’entraine vers la camionnette.
- Rien à foutre ! C’est
pas ça qui va m’empêcher de te baiser comme je le veux ! Allez,
monte !
On s’installe dans le
véhicule. Je m’assois à côté de lui, cette fois. Et je suis pris de panique en
constatant au bout de quelques minutes qu’il prend bien la direction de mon
appartement.
Arrivés dans ma rue, Marco
cherche une place où garer sa camionnette mais sans succès. Tous les
propriétaires de voiture savent qu’il est quasiment impossible de trouver une
place de stationnement libre sur les pentes de la Croix-Rousse dès la nuit
tombée. Ce n’est qu’une rue plus loin qu’il réussit à se garer. Nous descendons
du véhicule mais je n’ai aucune envie qu’il vienne chez moi. Cet homme me fait
peur et je ne sais pas ce qu’il peut être capable de faire une fois qu’on sera
en privé. Je reste immobile à côté de la camionnette.
- Qu’est-ce qu’il y a ?
Tu vas avancer, oui ?!
- Non… Je ne veux pas aller
chez moi avec vous…
Il s’avance vers moi d’un air
méchant et me donne une claque tellement fort que le bruit résonne dans la rue.
Je me mets à pleurer. Il glisse une main dans mon pantalon et plante son majeur dans mon cul ;
il me force ainsi à avancer dans les rues désertes.
- Ben voilà, ça te fait
marcher, ça !
On marche ainsi jusque devant
mon immeuble. Il n’a de cesse de bouger son doigt dans mon cul pour guider la
marche. Je compose le code d’entrée sur le cadran digicode puis nous montons
les escaliers jusqu’au deuxième étage. Il prend plaisir à enfoncer son doigt
vers le haut pour m’obliger à monter les marches le plus vite possible. On
s’arrête devant ma porte, je sors mes clés pour ouvrir le verrou et nous
entrons.
C’est un petit appartement
d’une trentaine de mètres carré dont on fait vite le tour.
- Alors ? Il est où le
monde chez toi, salope ? demande-t-il en enfonçant encore son doigt dans
mon cul. Hein ? Y’a du monde chez toi, hein ? Tu croyais que j’allais avaler ça ?
Il retire enfin sa main. Etant
à nouveau libre, je m’éloigne naturellement de lui.
- Dépêche-toi d’aller dans ta
chambre ! Je vais t’exploser la chatte !
Je ne sais pas quoi dire.
J’avance vers ma chambre suivi de près par Marco. Devant mon lit, il m’attrape
par la taille et se colle à moi. Je sens son sexe en pleine érection contre mes
fesses.
- Je vais te faire couiner, ma belle !
Il me retourne et me pousse en
arrière, me faisant ainsi m’assoir sur le bord de mon lit.
- Suce-moi la queue avant que
je te fasse le cul !
Il sort sa queue que je prends
en bouche comme il me l’impose. Pendant que je le suce, il enlève son
t-shirt.
- Mets-toi à poil !
Je me lève pour me
déshabiller. Marco enlève lui aussi tous ses vêtements.
- Allez, mets-toi en
position ! Sur le dos ! Et écarte les jambes !
Comme un réflexe, je m’allonge
sur le dos au milieu du lit. Je ne le lâche pas des yeux. Marco s’approche et
s’allonge sur moi, faisant peser tout son corps sur le mien.
- Tu veux que je te baise,
hein, ma salope ?! C’est ça que tu veux, hein ?!
Il se redresse et soulève mes
jambes pour les placer sur ses épaules.
- Ecarte bien ton trou que je
te baise la chatte bien à fond !
Je m'exécute immédiatement en
écartant mes fesses pour bien étirer mon trou déjà élargi par ses coups de
queue précédents. Il me pénètre centimètre par centimètre. Je sens sa queue
entrer progressivement et, d'un coup, il pousse à fond et la rentre
entièrement.
- Putain, ce que j’aime ton
cul, ma salope ! On dirait qu’il est fait pour que je te défonce !
Il commence à me ramoner sans
pitié, ne cherchant que son plaisir. Ses couilles claquent sur mon cul de plus
en plus vite et fort.
- Putain, je savais que
t’étais un trou à bites, toi ! Tu me serres trop bien la queue !
Mieux qu’une chatte de meuf !
Il me baise sans ménagement.
Il transpire et je sens ses gouttes de sueur tomber sur mon torse. Il enlève
mes jambes de ses épaules pour les placer autour de ses hanches. Il s’allonge à
nouveau sur moi sans cesser de me baiser.
- Tu veux mon jus dans ton
cul, ma salope ? Tu vas me faire jouir, pétasse !
Je sens sa queue se contracter
en moi et mon cul se remplir de son liquide chaud. Je suis épuisé de m’être
autant fait enculer. J'essaie de reprendre mon souffle mais Marco n’a pas bougé
et m’écrase toujours avec son corps sur moi.
- Putain, Philippe a de la chance, il a trouvé une bonne
femelle. Heureusement qu’il partage toujours pour qu’on puisse en profiter
aussi.
Il se retire et s’allonge à
côté de moi.
- Je vais dormir ici cette
nuit et demain tu vas me suivre toute la journée. Tu vas être ma petite meuf
perso pour me vider les couilles jusqu’à demain soir.
Il m’est impossible de dire
quoi que ce soit pour le contredire ; je me soumets à lui et accepte ce
qu’il attend de moi. J’accepte d’être à lui, trop fatigué pour m’y opposer. Je
me sens perdu. Il m'a baisé toute la soirée et j’imagine que la nuit ne sera
pas de tout repos. Il m’a défoncé le cul de sa queue et, au fond de moi, j'ai
aimé ça. La peur qu’il m’inspire m’excite tout autant.
- Ce que j’aime avec toi,
c’est qu’au début tu fais ta mijaurée genre je veux pas, et dès qu’on sort sa
queue et qu’on commence à te faire le cul, tu révèles ta vraie nature et tu te
laisses faire.
Il tourne la tête vers moi
pour déceler une réaction de ma part mais je ne dis rien et reste immobile et
muet.
- J’ai tort ?
- Tu m’as forcé à faire tout
ça. Tu m’as menacé d’un couteau. Tu es violent. Qu’est-ce que je pouvais faire ?
- Arrête tes conneries !
T’aimes ça, je le sais ! T’es une femelle juste faite pour satisfaire les
mâles. Je vais t’apprendre à me donner ta bouche et ton cul sur un claquement
de doigts, tu vas voir.
Sur ces mots, il se lève et
sort de la chambre. Je l’entends faire couler la douche dans la salle de bain.
Je reste allongé en pensant à ce qu’il vient de dire. Je sais qu’il a raison,
mais je refuserai toujours de l’admettre à voix haute.
Quand Marco revient dans la
chambre, je me lève pour aller prendre une douche aussi. Je m’éternise dans la
salle de bain ; l’eau chaude me faisant beaucoup de bien après toute ces
baises à répétition. Je finis par rejoindre Marco dans ma chambre. Il est nu
dans mon lit et m’ordonne de le rejoindre dans la même tenue.
- Si j'ai envie de te baiser
pendant la nuit, ce sera plus pratique.
Je m’allonge à ses côtés. Il
se colle à moi en passant une jambe et un bras sur moi. Je suis de nouveau immobilisé
et encore dans une position de soumission. Marco ne tarde pas à s’endormir.
Pour ma part, j’ai du mal à trouver le sommeil.
Comme je devais m’y attendre,
Marco me réveille en pleine nuit pour me planter sa queue bien raide dans la
bouche. Il est à genoux au-dessus de moi, chacune de ses cuisses autour de ma
tête, les mains contre le mur. Je lèche sa queue sans la prendre vraiment en
bouche. J'essaie de baver dessus au maximum pour qu’elle glisse plus
facilement. Mais Marco s’impatiente et, passant une main sous ma tête, il me
dirige pour engouffrer sa queue en gorge profonde. Il me tient bien la tête
pour que je ne recrache pas son sexe.
- Bouche à bites ! Tu
suces trop bien, continue !
Il m’attrape la tête avec ses
deux énormes mains, et enfonce sa queue au fond de ma bouche en effectuant de
lents va-et-vient. J’étouffe et j'essaie de me dégager mais il est trop costaud
pour moi. Il relâche cependant un peu son étreinte et continue de me baiser la
bouche très lentement. Je manque de m’étouffer à
chaque coup de queue mais il continue de prendre son pied sans considérer ma
position.
- T’as une bouche faite pour
sucer, salope ! Ta gorge est comme une chatte, j’adore ça !
Je reçois alors plusieurs jets
de foutre dans la bouche. J’avale tout ce qu’il donne. Il continue pourtant ses
va-et-vient sans se retirer de ma bouche.
- Ma salope ! Jusqu’à
demain tu m’appartiens ! T’es à moi, t’as compris ? T’es ma chatte,
ma femelle ! Ton cul et ta bouche sont à moi ! Tu vas passer la journée
de demain à me satisfaire et tu prendras mon jus par tous les trous !
Il se retire et m’attrape par
les cheveux.
- T’as compris ce que je te
dis ?
- Oui, dis-je timidement.
Il reprend position à mes
côtés et s’allonge pour se rendormir sans dire un mot de plus. Comme plus tôt,
je mets encore du temps à m’endormir mais le jour est déjà levé quand je suis
de nouveau réveillé par Marco. Il m’a attrapé par la nuque et me force à
descendre vers son entrejambe.
- Suce-moi !
Il m’enfonce directement sa
queue dans la bouche. Je retrouve ces quelques vingt centimètres de queue que
je suce longuement en lui caressant les couilles.
- T’es vraiment une bonne
salope ! Continue comme ça !
Je m’applique à le sucer du
mieux que je peux. Je sais combien il peut être violent si je ne fais pas ce
qu’il veut.
- Je vais t’enculer, ma
salope ! Je vais te bourrer le cul avec mon jus ! T’aimes la queue,
hein ? T’en veux, alors tu vas en avoir, crois-moi !
Il me tire par les cheveux
pour m’allonger à côté de lui. Mais il se lève et m’observe de toute sa hauteur.
- Il me faut ton cul,
salope ! Je vais te baiser ! T’enculer ! Te bourrer ta chatte de
femelle soumise ! Fous-toi à quatre pattes, dépêche-toi !
Une fois dans la position
qu’il demande, il me crache sur le cul pour enduire mon trou de sa salive. Puis
il se place derrière moi et il commence à me baiser. Il sort sa queue et me
pénètre à nouveau en enfonçant le plus possible sa queue dans mon trou. Je sens
à nouveau ses couilles frapper contre mon cul à chaque fois qu’il entre en moi. Il joue
de cette façon pendant quelques secondes encore avant de me baiser
frénétiquement comme il le fait depuis vendredi soir. Je suis incapable de
retenir des gémissements qui ressemblent presque à des cris ; ce qui
semble beaucoup l’amuser.
- Ferme ta gueule,
putain ! Tu veux ramener du monde ou quoi ? Ça te plairait de sucer
une queue en même temps que je te baise, c’est ça ?
Il est accroupi au-dessus de
moi et me baise longuement. Il m’enserre le bassin de ses deux bras. J’ai
l’impression qu’il me baise comme le ferait un animal. Comme un mâle fécondant
sa femelle.
- T'es vraiment une bonne
salope ! T’aimes ça, la queue, hein ? Ça te plait de te faire bourrer
la chatte par un mâle, hein ? T’en veux encore, hein ? T’aimes ça,
putain !
Il accélère davantage la
cadence et je l’entends râler à chaque coup de rein.
- Putain, qu’elle est bonne ta
chatte ! Tu vas me faire jouir !
Ses râles se font plus forts
et plus insistants. Je sens sa queue se contracter et tout son sperme chaud se
décharger en moi. Il m’attrape par les épaules pour bien enfoncer sa queue
comme pour faire gicler sa semence au plus profond de moi. Puis il se retire et
me demande de le sucer pour nettoyer sa queue. Je m’exécute, toujours dans le
seul but de le satisfaire et surtout de ne pas l’énerver.
- Allez ! Va nous
préparer un café maintenant !
Je me lève donc, j’enfile vite
fait un t-shirt et un bas de jogging et je vais directement dans la cuisine
pour préparer un petit-déjeuner. Ce n’est pas vraiment une cuisine, il s’agit
en fait de ce qu’on appelle un « coin cuisine » aménagé comme une
cuisine américaine donnant directement sur la pièce principale sans cloison de
séparation. Je mets la cafetière en route et une bonne odeur de café commence à
se répandre dans l’appartement. Marco se lève et passe à côté de moi, totalement
nu. Il me regarde avec une expression sévère de domination. Je n’y prête pas
attention et continue mes préparatifs. Il s’enferme dans les toilettes en
sifflant un air improvisé. Je lui sors un grand mug pour son café. Je me
prépare en même temps un thé que je préfère au café le matin. Marco revient et
va s’installer dans mon canapé. Il pose ses jambes sur la table basse placée
devant lui et passe un bras sur le dossier en me regardant m’affairer.
- J’ai des trucs à faire ce
matin. Je vais te laisser prendre soin de ta chatte et je reviendrai dans
l’après-midi, on ira faire un tour dans la nature tous les deux. Un mâle et sa
femelle faisant leur promenade du dimanche, ça te plait ?
- Comme tu veux…
Je lui apporte le mug de café
que je pose à côté de ses jambes croisées sur la table basse. Je retourne vers
la cuisine et m’installe sur un tabouret de bar où je prends mon petit-déjeuner
sur le comptoir.
- A t’entendre gémir comme tu
le fais quand je te baise, on peut dire que t’aime vraiment ça…
Je garde la tête baissée sur
mon petit-déjeuner et ne lui réponds pas.
- T’aimes quand je te
baise ?
Silence.
- Réponds-moi !
Je me retourne vers lui et le
regarde longuement avant de lui répondre.
- Ne me dis pas que tu as
besoin d’être rassuré sur tes capacités et compétences sexuelles, dis-je sur un
ton agacé. Remarque, c’est peut-être pour ça que t’as besoin de menacer les
gens avec un couteau pour les baiser.
Il pose alors le mug calmement
sur la table basse et se lève en s’approchant de moi lentement. Je vois sa
queue se dresser à chaque pas qu’il fait dans ma direction. Je descends du
tabouret de bar pour me retrouver debout face à lui.
- J’ai adoré ta chatte dès que
je t’ai baisée vendredi soir, et je continuerai à te l’ouvrir en te baisant de
force s’il le faut. Que tu sois d’accord ou pas, c’est pas mon problème. C’est
bien clair ? rajoute-t-il en me caressant les fesses et en introduisant
deux doigts dans mon trou.
J’essaie de me dégager et de
retirer sa main mais il m’attrape par le gorge avec sa main libre.
- Apparemment, c’est pas assez
clair pour toi, hein ? me dit-il d’un ton autoritaire.
Il retire sa main de mon cul
et me retourne pour me plaquer face contre le comptoir de la cuisine. Il
descend mon bas de jogging violemment et se plaque contre moi pour m’empêcher
de bouger.
- Allez, salope ! Ecarte
bien les jambes ! Je vais te faire comprendre à quoi sert ta chatte !
Il me pénètre d’un seul coup
et commence à me bourrer le cul sur un rythme saccadé.
- Voilà, ma salope ! Tu
comprends maintenant ?
Il me baise sans ménagement en
m’insultant sans arrêt. La position n’est pas très agréable et j’ai
l’impression que le comptoir va se détacher du mur tellement ses coups de reins
sont puissants.
- Alors ? T’aimes ça
quand je te baise, hein ?
Il me défonce le cul à grands
coups de queue comme un sauvage. Je la sens en moi et un plaisir intérieur
m’envahir entièrement.
- Tu la sens, ma grosse queue
? Putain, ce cul… Tu vas encore me faire juter !
Il m’enserre d’un bras autour
de la taille tandis que l’autre s’enroule autour de mon cou.
- Oh, putain ! Je vais
cracher, salope ! Je vais cracher dans ta chatte de pute ! Oh, putain
! Ouais…
J’éjacule en même temps que
lui. Je sens son sperme chaud au fond de moi tandis que le mien coule le long
de mes jambes. Il se retire et va directement dans la salle bain sans dire un
mot. Pendant qu’il prend une douche, je m’essuie vite fait de tout ce sperme
dégoulinant, puis je range un peu l’appartement. Marco sort de la salle de bain
et entre dans ma chambre pour s’habiller.
- Je reviens ici vers 17H00,
me lance-t-il depuis la chambre. T’as intérêt d’être là !
Il revient dans le salon tout
habillé et me regarde de son air conquérant.
- Je dis ça pour ton bien,
évidemment…
- Evidemment, dis-je d’un ton
sarcastique.
Il sourit, puis se dirige vers
la porte d’entrée.
- A 17H00 ! me crie-t-il.
La porte se referme ; il
est parti. Je pose ce que j’ai en main et je vais m’allonger sur mon lit où je
m’endors comme une masse en quelques secondes.
Il est presque 16H30 quand
j’ouvre enfin les yeux. Je n’arrive pas à croire que j’aie pu dormir toute la
journée sans me réveiller une seule fois. J’ai l’impression d’avoir le cerveau
quelque peu liquéfié d’avoir autant dormi. Je me retourne pour m’allonger dans
l’autre sens en me disant que je profiterais bien de quelques minutes de plus
avant de me lever. Mais tout à coup le souvenir de Marco me frappe comme sa
façon de me gifler. Je regarde l’heure à nouveau mais c’est bien ça ;
il ne me reste plus qu’une demi-heure avant de le voir rappliquer chez moi. Je
me lève d’un bond et je file dans la salle de bain pour prendre une douche. Le
sperme séché sur mes jambes tire ma peau. La douche est vraiment très agréable
et appréciable. Je fais durer ce moment de plaisir mais je me résous finalement
à sortir et me sécher pour me préparer le plus vite possible avant l’arrivée de
Marco.
A 17H00 pile, je reçois un sms
me disant « Je suis en bas. Je t’attends. » Je prends une veste, mes
clés, et je referme la porte de mon appartement derrière moi. Je descends les
deux étages rapidement mais je m’arrête quelques secondes derrière la porte de
l’immeuble avant de l’ouvrir. Je prends une bonne respiration et sors enfin. Il
est là, face à moi, dans la camionnette, stationnant en warning devant mon
immeuble.
- Monte ! me lance-t-il
sur un ton impatient.
Je fais le tour du véhicule et
m’installe à côté de lui. Il démarre aussitôt avant même de me laisser le temps
d’attacher ma ceinture de sécurité.
- Je t’emmène dans un coin que
j’aime bien, on va bien s’éclater. Tu verras, tu vas aimer.
Je ne dis rien et je laisse
faire. Quelque chose me dit que je ne vais pas forcément aimer son
« coin » mais je sais qu’il serait malvenu de m’opposer à ce qu’il a
décidé. Il s’engage sur le périphérique, puis sur une partie d’autoroute, et
après une vingtaine de minutes de route il ralenti à l’annonce
d’une aire de repos sur un panneau de circulation. Je n’ai pas eu le temps de lire le nom de l’endroit mais
Marco semble bien connaître les lieux. C’est une aire
d’autoroute où des poids-lourds sont garés les uns à côté des autres. Il y a que des
toilettes publiques avec des bosquets aux alentours. Aucune boutique ou station essence. Il passe à côté des
camions lentement et fait le tour complet du site sans se garer. Avant
d’arriver au niveau des camions que l’on a déjà croisés, il ralenti et roule
très lentement. Il défait son pantalon et sort sa queue en pleine érection.
- Vas-y, suce-moi ! On va leur montrer qu’on est
chaud.
A ces mots, il m’attrape par la nuque et m’abaisse vers
son sexe tendu que je m’empresse de prendre en bouche. Après être repassé
lentement devant les routiers, Marco se gare un peu plus loin devant une rangée
d’arbres cachant en fait un grand bois où les mecs se promènent pour baiser
entre eux. Je me redresse et Marco rentre sa bite toujours raide dans son
pantalon et se rajuste avant de descendre de la camionnette. Je sors à mon tour
du véhicule et je le suis quand il prend la direction du bois. Il s’arrête dans
un petit coin reculé et à l’abri des rôdeurs et s’adosse à un arbre. Il fait
descendre son jeans jusqu’aux aux chevilles ; sa queue raide tendue dans
ma direction.
- Allez, suce-moi !
Je m’accroupis devant lui en posant mes mains sur ses
cuisses musclées pour garder un bon équilibre et je commence à le sucer en en
prenant le plus possible dans la bouche.
- Tu fais ça bien, salope ! Je vais juter !
Marco pose ses deux mains sur ma tête et je sens son jus
m’envahir la gorge.
- T’arrête pas ! Continue de me sucer !
Après donc lui avoir bien vidé les couilles, je reprends
sa queue en bouche. Il n'a pas joui une grande quantité de sperme, cette fois.
J’entends des pas derrière moi et mon premier réflexe est de lâcher la queue de Marco pour me relever, mais il m’empêche de bouger en mettant encore une fois ses mains sur ma tête.
J’entends des pas derrière moi et mon premier réflexe est de lâcher la queue de Marco pour me relever, mais il m’empêche de bouger en mettant encore une fois ses mains sur ma tête.
- Bouge pas ! Reste tranquille et suce !
Le bruit de pas s’arrête mais je suis incapable d'estimer à
quelle distance se tient le mec.
- Salut, lance-t-il.
- Salut, répond Marco.
Je continue de sucer Marco dont la queue est restée bien
raide.
- Vas-y, viens…
- C’est ton mec ?
- Non, c’est juste une bonne salope à baiser.
- Ah ouais ?
- Ouais. Alors n’hésite pas, viens te servir…
Le mec s’approche. Il descend sa braguette et sort sa
queue. Il est juste à côté de Marco et il se branle en approchant sa bite de
mon visage.
- Vas-y, suce-le, m’ordonne Marco.
Je lâche donc sa queue pour prendre celle du mec dans la
bouche. Je la gobe entièrement et le suce avec avidité.
- Ouais… Putain, c’est bon !
- T’aimes ça ? lui demande Marco.
- Putain, ouais ! Elle suce trop bien, ta
lope !
- Elle a une bonne petite chatte aussi. Tu veux l’enculer
?
- Et comment !
Le mec passe derrière moi tandis que Marco le remplace en
me fourrant sa queue dans la bouche. Je pose à nouveau mes mains sur ses
cuisses, mais il m’attrape les poignets et place mes mains derrière ma tête.
Mon équilibre n’est pas très bon mais Marco est suffisamment fort pour me
retenir et m’empêcher de tomber. Le mec derrière moi m’écarte les fesses et
crache sur mon trou. Je sens son gland forcer l’entrée et sa queue s’enfoncer
lentement en moi.
- Oh putain ! T’as raison ! Quel cul !
C’est trop bon !
Pendant qu’il me baise sur un rythme d’une cadence
soutenue, Marco me baise la bouche en enfonçant sa bite le plus loin possible
sans me faire tousser. Je suis pris en sandwich par ces deux mecs ; une
bite dans le cul et une autre dans la bouche. Tous deux gémissent pour
affirmer le plaisir qu’ils prennent à me baiser. Les va-et-vient du mec dans
mon cul me font prendre la queue de Marco en gorge profonde à chaque coup de
reins. Le mec me tient par les hanches et je sens à son changement de rythme
qu’il ne va pas tarder à jouir. Effectivement, ses doigts s’enfoncent dans ma
peau tandis qu’il colle son torse sur mon dos. Ses gémissements annoncent sa
jouissance mais il me baise encore quelques secondes avant de se retirer. Marco
continue à me baiser la bouche le plus naturellement du monde. Le mec remonte
son pantalon et me donne une claque sur la fesse droite.
- Merci. Salut…
- Salut, répond Marco.
Il gémit en me caressant les cheveux. Puis, il me bloque
la tête contre lui pour enfoncer sa queue le plus loin possible pendant
quelques secondes. Puis il lâche son étreinte et se retire. Il m’attrape par la
gorge et me force à me redresser en maintenant mon visage face au sien.
- C’est trop bon de te voir te faire baiser la chatte
pendant que tu me suces !
Puis il me relâche et me retourne dos à lui.
- Baisse-toi, je vais te baiser aussi !
Il prend bonne position derrière moi et me pénètre d’un
seul coup. Ayant le cul déjà bien ouvert, sa queue s’enfonce sans difficulté.
- Putain ! Comme j’aime ton cul !
Marco est tellement excité qu’il me défonce le cul comme
une brute.
- Ouais ! Putain, salope, c’est
bon ! Tiens ! Prends-moi ça !
Il me baise pendant cinq bonnes minutes avant de tout
décharger en moi. Il reste un petit moment au fond de mon cul avant de se
retirer pour me la remettre en bouche.
- Voilà… Nettoie bien, ma belle !
Son ton est presque doux et il me caresse la tête comme
il le ferait à un chien ayant bien obéi à son maître.
- Bon, allez ! Rhabille-toi, on se casse !
Il prend déjà la direction du parking à peine avoir fini
sa phrase. Je me rhabille rapidement en marchant. Je le rattrape au moment où
il monte dans la camionnette. On reprend la route en sens inverse en direction
de Lyon.
- On va chez moi, me dit-il sans même me regarder. Je veux que tu restes avec moi ce soir. J’ai
organisé une petite soirée avec mes potes. Ils ont besoin d’un bon trou à bites
et personne ne pourra mieux les satisfaire que toi.
Ça ne va donc jamais s'arrêter ? Ce mec va finir par choper un
priapisme aiguë s’il continue à bander et à éjaculer aussi souvent comme il le
fait. Et mon cul ne va plus jamais se relâcher et va rester dilaté pour le reste
de ma vie. Je souris légèrement à ses pensées stupides, mais le sérieux me
reprend à l’idée de passer la soirée avec plusieurs mecs qui ne seront là que
pour se vider les couilles.
Arrivés chez Marco, dans le sixième arrondissement, il m’invite à m’asseoir dans son
canapé. C’est apparemment un grand appartement pour quelqu’un qui vit seul. Il
me sert un verre de Coca avant de disparaître dans une des pièces voisines. Je
bois quelques gorgées et profite de cette accalmie pour m’adosser au canapé et
me décontracter un peu. Si je pouvais m’endormir, je le ferais sans hésitation.
Marco revient dans le salon totalement nu. Il vient
s’asseoir à côté de moi et commence à se branler.
- Déshabille-toi !
Je me lève et enlève mes vêtements un à un pour me
retrouver nu à mon tour. Sa queue commence à prendre du volume sous l’effet du
frottement.
- Suce-moi un peu !
Je m’agenouille entre ses jambes et commence une fellation
qui semble lui procurer beaucoup de plaisir.
- Arrête, tu vas encore me faire jouir. Je veux que ça
dure un peu.
Il prend sa queue du bout des doigts pour la faire
claquer sur ses abdos poilus. Puis il la tend vers moi et me regarde d’un air
vicieux.
- Viens t’asseoir dessus !
Je me retourne et m’assois dos à lui sur sa queue qui
entre jusqu’à la garde toujours sans difficulté. Il bouge lentement du bassin et m’encule tendrement en me caressant le
dos et les cuisses. Il me parle doucement, me dit qu’il aime sentir sa queue
dans ma chatte et qu’il n’y a qu’avec moi qu’il prend un pied pareil. Je sens
son souffle dans mon cou et cette sensation me donne des frissons de plaisir.
Sa queue va et vient dans mon ventre. Il me saisit les hanches et se met à onduler
du bassin pour accentuer son plaisir. Mais le rythme change du tout au tout en
une seconde ; le voici qui me fait sauter sur lui pour me baiser
profondément.
- Je vais te déchirer le cul,
ma belle ! Et tu vas aimer ça, putain !
La suite d’un tel propos ne se
fait pas attendre ; je sens sa queue se contracter alors qu’il arrête de
bouger. Son liquide chaud se répandant en moi.
- Putain que ça fait du bien…
Il reste en moi un long moment
en dandinant du bassin pour continuer à prendre du plaisir et sentir sa queue
toujours bien épaisse au fond de mon trou.
On sonne à la porte. Marc me
soulève pour se retirer et va dans l’entrée pour accueillir ses amis. J’entends
bientôt plusieurs voix d’hommes s’approcher du salon. Les voix se taisent dès
que les hommes me voient. Ils ne s’attendaient peut-être pas à me trouver déjà
nu et prêt à l’offrande. Ils sont trois à me lécher du regard de la tête aux
pieds. Marco apparaît derrière eux et vient s’asseoir à côté de moi sur le
canapé.
- Mettez-vous à l’aise, les gars !
Allez à votre rythme et sachez que les préliminaires ne sont pas une
obligation !
Il rit en posant une main ferme
sur ma cuisse. Les trois invités se déshabillent sans attendre. Deux sur trois
bandent déjà comme des taureaux. Chacun à un physique bien à lui, très
différents du physique massif de Marco, mais chacun présente une virilité
affirmée et une envie de me baiser déjà bien évidente. Marco passe alors un
bras autour de mon cou et tapote son index sur ses lèvres souriantes en me
regardant.
- Bon ! Tu vois, Nico, on
se connaît bien avec mes potes et on a nos habitudes, alors faut pas trop nous
en vouloir si on t’attache sur la table basse que tu vois devant toi pour que
tu nous serves de vide-couilles toute la nuit s’il le faut.
Il resserre son étreinte comme
pour anticiper un refus de ma part ou une tentative pour me dégager. Un des
mecs s’approche pour me prendre un bras et me forcer à me lever. Marco et un
autre mec m’écartent les jambes et les attache aux pieds de la table. Les deux
autres font de même avec mes poignets sur l’autre versant de la table. Je suis
à présent ficelé à quatre pattes sur la table basse, soumis et offert au
premier venu. Un des mecs m’attrape par les cheveux et me redresse brutalement
la tête pour permettre à un autre de me bander les yeux. Je sens l’odeur d’une
bite passer devant mon visage, puis un gland vient caresser mes lèvres. J’ouvre
la bouche pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée. La position dans laquelle je suis me fait déjà mal aux genoux et aux tibias. Quelqu’un
fait glisser ses mains sur mes fesses avant de les écarter. Je l’entends
cracher dans ses doigts pour m’enduire l’anus de salive. La sensation humide de
cette salive sur mon trou n’est pas très agréable. Il appuie son sexe contre ma
rondelle et m’encule d’un seul coup de reins. Sa queue me paraît énorme, mais Marco
a tellement bien préparer le terrain en me baisant tout le week-end que je
reçois cette queue avec beaucoup de plaisir. Personne ne parle. Seuls mes
gémissements se mêlent au souffle de mes amants et au bruit de leur sexe dans
mes orifices humides. Je me fais limer pendant de longues minutes avant qu’un
jus chaud et visqueux m’inonde le cul puis la bouche. Les couilles vidées, mes
baiseurs se retirent. Marc s’approche alors de moi pour me murmurer quelques
mots à l’oreille.
- T’es parfaite, ma belle. Tu sais
accueillir mes invités avec classe. Continue comme ça…
Puis il me demande d’ouvrir la
bouche alors qu’une queue s’y engouffre en gorge profonde. Je suppose qu’il
s’agit de Marco. La façon de me tenir la tête lui ressemble. D’autres queues
raides et brûlantes s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les unes après
les autres comme s’ils étaient une dizaine. Ma mâchoire me fait mal et mon anus
ouvert absorbe maintenant les sexes dressés sans problème. Je ne suis plus
qu’une machine à faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se
soulager. Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et
dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de
ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils prennent à mes dépens. L’un
après l’autre, pendant près de deux heures, quatre mâles me baisent sans
retenue. Ils me prennent chacun plusieurs fois, passant de ma bouche à mon cul et inversement.
Puis tout s’arrête
soudainement, comme s’ils s’étaient tous concertés silencieusement pour mettre
fin à mon supplice. Les derniers jets de sperme m’arrivent sur le visage, les cheveux et les
fesses. Je les entends se rhabiller et c’est la première fois que j’entends
clairement leur voix. Ils en vont de leurs commentaires en disant combien je suis
capable d’encaisser les queues à la chaine, et qu’une bonne salope comme moi
devrait servir des hommes comme eux à temps complet. Ils rient, se congratulent
les uns les autres, et semblent tous m’avoir oublié. Sentiment vite remis en
question lorsque l’un d’entre eux vient me claquer une fesse pour me dire au
revoir. Marco les raccompagne à la porte et revient dans le salon.
- T’as vraiment été parfaite,
mes potes ont vraiment apprécié. Tu sais encaisser, c’est bien.
Il s’allonge sur moi et je sens
sa queue tendue glisser entre mes fesses. Je suis incapable de dire s’il m’a
baisé avec ses potes ou s’il m’a abandonné à leurs assauts, mais il a l’air
encore très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mon cul et
son sexe s’enfonce lentement en moi.
- On est vraiment bien
là-dedans…
Il me baise longtemps avant de
jouir. La fontaine semble être tarie après toutes ces baises à répétition. Il
me libère et m’aide à me relever. Je ressens des courbatures de partout, je
suis complètement cassé. J’ai mal à la mâchoire et aux reins et j’ai du mal à
retrouver une mobilité fluide pour me rhabiller.
Marco me ramène chez moi en
promettant qu’il demanderait très bientôt à Philippe pour s’occuper de moi
encore tout un week-end. Il me dépose devant l’entrée de mon immeuble et je le
remercie de m’avoir raccompagné.
- Tu l’as bien mérité. Vas
dormir maintenant !
Et il démarre sans autre
courtoisie. J’attends que la camionnette disparaisse à l’angle de la rue et je
monte chez moi retrouver la douceur de mon appartement. Je n’ai à cette seconde
qu’une seule idée en tête : dormir.