- 2002 -
Aujourd'hui, vendredi, je dois voir Philippe. Il m’a juste
envoyé un SMS me donnant l’heure et le lieu de rendez-vous. On doit se
retrouver à la gare. J’y suis depuis dix minutes quand j’entends dans mon
dos :
- Au moins, j’ai pas à attendre. Suis-moi !
Je le suis donc. A aucun moment il ne se retourne et ne
m’adresse la parole. On marche ainsi jusqu’à rejoindre sa voiture garée au
deuxième sous-sol du parking de la gare. Il s’installe au volant, moi à côté de
lui. Il allume la radio et met sa ceinture de sécurité. En mettant la mienne,
j’ose rompre le silence.
- Bonjour, dis-je.
- Salut Nico.
Et sans dire un mot de plus, il démarre.
- On va où ?
- C’est l'heure de diner, je t’emmène dans mon resto préféré.
- OK…
Il éclate de rire.
- Je n’ai pas l’intention d’être obligé de te kidnapper,
me dit-il d’une voix presque sévère. Quand t’es avec moi, c’est moi qui prends
les décisions, alors que tu sois d’accord ou pas…
Il me regarde de son air dominant. Je ne dis rien… Pendant
qu'il conduit, il me caresse les cuisses, les cheveux ou les joues.
- Je veux que tu rentres dans le restaurant deux minutes
après moi. Tu diras au serveur que tu rejoins des amis, la réservation est à
mon nom.
- Pourquoi après toi ?
- Parce que tu bouffes pas avec nous. C’est nous que tu
vas bouffer. Tu vas bouffer de la queue, ce soir. Tu seras sous la table.
- Pas dans un restaurant quand même…
- T'inquiètes pas, il y a une grande nappe, dit-il en
souriant. Personne ne te verra.
Il lâche le volant de sa main droite et commence à défaire
sa ceinture et les boutons de son pantalon. Il pose sa main sur ma nuque et
m’abaisse vers son entre-jambe.
- Tiens, suce-moi un peu, ça va me détendre en conduisant
!
Et je commence à le sucer en prenant le maximum de sa
queue dans ma bouche, chose pas très évidente dans cette position, mais le
trajet ne dure pas longtemps. La voiture s’arrête avant qu’il ne jouisse. Je me
redresse. Je regarde dehors et ne reconnais pas l’endroit. Philippe se rajuste
et on descend de voiture. Je le laisse prendre de l’avance en fumant une
cigarette et j’attends dehors. Je ne suis pas rassuré de faire ce qu’il me
demande, comme ça, en public mais, ma cigarette consumée, j’entre à mon tour
dans le restaurant. Un garçon me montre la table. Philippe y est assis avec
trois hommes. Je les reconnais, tous m’ont baisé lors des soirées que Philippe
organise chez lui. J’avance jusqu’à leur table. J'hésite. Je reste debout à
coté de Philippe. Je dévisage ses amis. François, Patrick et Nicolas.
- T’attends quoi, là ? Allez, sous la table !
- Mais...
- Putain, discute pas ! Pas ici !
Je me glisse à quatre pattes sous la table en espérant que
personne ne me remarque. La nappe me cache, bien heureusement. Il fait plutôt
sombre, là-dessous. J’entends qu’on leur apporte leur assiette. Ils discutent
et rient. Puis Philippe tend la jambe pour chercher ma position sous la table.
- Nico ? Voilà ton repas.
Il défait les boutons de son pantalon. Je suis à
quatre pattes sous la table, son sexe sort de son pantalon entouré d'une touffe
de poils. Il bande fort. Je commence à le sucer avec de légers va-et-vient.
C'est une situation très troublante. En tout cas, Philippe semble apprécier sa
domination car son sexe est en pleine érection. J’aime voir son gland ;
il est gros et bien dur, plus large que le reste de sa queue que je tiens à
présent entière dans ma bouche. Je le suce avidement en l’écoutant discuter
avec ses potes. Il bouge sur sa chaise, donnant de légers coups de bassin. Philippe
est très endurant quand il me baise mais je sais que les fellations ne durent
jamais très longtemps. Et en effet, le voilà qui se vide dans ma bouche. Je sens
l’une de ses mains se poser sur ma nuque et me tenir fermement sur sa queue.
J’avale tout et, comme il me maintient encore, je continue de le sucer. Puis
son étreinte se relâche et il me caresse la tête comme s’il caressait un chien
savant qui aurait bien fait son numéro.
- C’est le moment du premier tirage au sort, les gars, dit
Philippe.
Un chœur de contentement se fait entendre.
- Après le premier tirage de jus, c’est le premier tirage
au sort, dit l’un d’eux.
Ils rient tous à cette remarque. Au bout de quelques
secondes, je comprends que Patrick est le suivant, heureux gagnant du tirage au
sort. Il est assis à la droite de Philippe. Je me déplace légèrement entre ses
jambes et le laisse défaire son pantalon. Lui aussi bande déjà au maximum. Je
prends sa queue dans ma main et la dirige dans ma bouche.
Ils feront durer le repas jusqu’à ce que je les suce tous deux
fois. J’ai mal à la mâchoire et je commence vraiment à fatiguer. Le dernier est
François. Comme ils avaient déjà tous joui, la deuxième tournée est plus
longue. Mais François m’attrape tout à coup la tête de ses deux mains et
m'enfonce son sexe au plus profond de ma gorge. Il me maintient dans cette position
pendant qu'il jouit. Son sperme envahit ma bouche, il n’arrête pas d’éjaculer. Et
comme à chaque fois, j’avale tout et le suce encore un peu pour bien nettoyer
sa queue.
- Allez Nico, on va aller payer. Tu peux sortir avec nous,
me dit Philippe en soulevant légèrement la nappe.
Je sors de sous la table et commence directement à marcher
vers la sortie. Je ne regarde personne autour de moi de peur de m’apercevoir
que quelqu’un m’avait vu. J’attends sur le parking en fumant nerveusement une
autre cigarette. Les quatre amis finissent par sortir du restaurant le sourire
aux lèvres, regardant dans ma direction.
- Je vois que t’en a pas perdu une goutte, ma salope, me
dit Philippe en posant sa main sur mon épaule.
- Tu nous as bien sucés, en tout cas, rajoute Patrick. On
a passé une très bonne soirée en ta compagnie.
Et les voilà qui se mettent encore à rire.
- C’est bien, ma salope, dit Philippe. Allez, monte !
Il ouvre les portières avec le bouton de l’ouverture
automatique de sa clé. Je m’engouffre dans la voiture et j’attends. Ils
discutent encore quelques minutes sur le parking puis Philippe monte à son tour
dans la voiture et démarre. On se dirige vers le centre ville sans dire un mot.
Arrivé à proximité d’une station de métro, je demande à Philippe de me déposer
à cet endroit. Il se met à rire, et je reconnais ce rire.
- Mais la soirée n’est pas finie, ma chérie. On va chez
moi.
- Non, s’il te plait. Je suis fatigué et j’aimerais rentrer
chez moi.
- On va passer la nuit ensemble, salope.
- S’il te plait...
- Putain, tu me fous la gaule à chaque fois que tu veux me
contredire !
Le voilà qui défait sa ceinture et ses boutons de
pantalon. J’ai l’impression qu’il va les faire sauter tellement ses gestes sont
brusques.
- Suce-moi !
Et je me retrouve une fois de plus avec sa queue dans la
bouche. Il pose de temps en temps une main sur ma tête tout en conduisant.
- Voilà, comme ça tu peux plus rien dire.
Je ne tarde pas à recevoir son jus au fond de la gorge.
Pas en grande quantité cette fois. C’est la troisième fois qu’il jouit dans ma
bouche ce soir.
- T’es vraiment une bonne femelle, je suis fier de toi.
Je me redresse en essuyant ma bouche du revers de ma main.
Je me rends compte qu’on est déjà dans sa rue. On gare sa voiture dans le
parking souterrain de son immeuble et on prend l’ascenseur. Là, il m’attrape
par la nuque d’une main et commence à m’embrasser sauvagement. Sa barbe
naissante me pique les lèvres et le bas du visage.
En entrant dans son appartement, il me dit d’aller
m’assoir sur le canapé et d’attendre sagement.
- Il est 23H21, dit-il en regardant sa montre. C’est
parfait comme timing, ça !
Je le regarde sans comprendre. Il nous sert un Whiskey et
s’assoit à côté de moi. Soudain la sonnette de l’entrée retentit.
- Ils sont là, on aura même pas le temps de bavarder un
peu, dit-il en se relevant.
Je les entends se saluer mais je ne les vois pas encore.
Je ne suis pas très à l’aise, pourtant ce n’est pas la première fois que
Philippe fait venir des mecs qu’il connait pour me baiser chez lui. Je suis
pétrifié quand je les vois entrer dans le salon.
- Nico, je te présente Alain et Samy.
Les deux hommes sont très grands, la quarantaine, vraiment
très baraqués. S’ils ne sont pas CRS comme Philippe j’imagine qu’ils
travaillent dans la sécurité.
- Alors c’est elle, ta salope ? Pas mal, dit Samy en
venant s’assoir à ma gauche.
- Moi, j’attendrai de goûter avant de donner mon avis, dit
Alain à son tour.
Lui s’assoit à ma droite tout en me dévisageant des pieds
à la tête. Je me retrouve au milieu de ces hommes qui ne pensent qu’à me
baiser. Comme d’habitude, je me retrouve entre peur et excitation.
- Elle est jolie ta pute, Philippe.
- Viens me dire bonjour, toi.
Samy m’attire à lui pour m’embrasser sur la bouche.
- Tu l’as bien choisie, celle-là, dit-il. Elle a l’air
mieux foutue que la dernière pute que tu nous avais ramenée.
- Ça fait six mois que je l’ai et, tu vas voir, elle suce à
merveille, rajoute Philippe.
Ils commencent à discuter et à rire. Moi, je me tiens
sagement assis entre les deux invités. Philippe nous sert à tous plusieurs
verres de Whiskey pendant plus d’une heure. La tête commence à me tourner.
- Viens sur mes genoux, ma chérie, dit Philippe en
écartant les jambes.
Je vais m’assoir sur une de ses cuisses puissantes. Il
commence à me peloter les fesses tout en continuant sa conversation. Dans mon
dos, il entre sa main sous mon pantalon et arrive à me pénétrer avec un doigt. Il
joue avec mon trou alors que les autres l’observent.
- Ouvre pas trop sa p’tite chatte, dit Samy, j'aime bien
quand c’est serré. Surtout quand c’est une nouvelle chatte que j’ai encore
jamais explorée !
- Cette chatte-là, tu peux l’explorer et l’exploser, lui
répond Philippe qui retire son doigt de mon trou.
Alain se caresse l’entre-jambe en se mordant la lèvre
inférieure. Samy, lui, sort carrément sa queue déjà bandée.
- Viens me sucer, dépêche !
- Vas-y, me dit Philippe en me poussant légèrement vers
son ami.
Je me mets à genoux devant Samy, bien positionné entre ses
cuisses. Je lèche son gland et commence ma fellation. Il donne le rythme avec
ses mains posées sur ma tête. Même si je n'ai pas envie d'être là, je
m'applique à le sucer. Sa bite a une odeur particulière, mais je n’y fais pas
attention. Elle coulisse dans ma bouche. Mes lèvres aspirent son gland imposant.
Il me baise la bouche en me forçant à descendre de plus en plus bas sur son
sexe. J'ai la bouche pleine toutes les trois secondes.
- Putain, comme je lui défonce la bouche, la sale chienne.
Elle prend bien, la salope ! Vas-y, suce-la profond, putain ! Ouais,
comme ça, c’est bien…
- La fatigue pas trop, dit Alain. J’en veux aussi.
- Pas de panique, les gars ! dit Philippe. Vous
pourrez la baiser à volonté. Elle prendra tant qu’il y en aura.
- Alors on va bien en profiter, s’exclame Alain.
Ainsi j’enchaine les fellations sur les deux hommes, en
terminant par Philippe.
- Trois bites pour toi, t’en as de la chance ! On va bien
te baiser, rajoute Samy.
- Je vous l’avais dit, poursuit Philippe. On dirait
qu’elle est née pour sucer et se faire enculer.
Puis il s’adresse à moi :
- Tu vas rester ici toute la nuit et, crois-moi, tu vas
déguster.
Visiblement, Alain n’est pas d’humeur à attendre son tour.
Il se lève et se place derrière moi.
- J’ai trop envie de te défoncer ton p’tit cul de
salope ! Tu me fais trop envie !
- Régalez-vous, les mecs. Un bon cul de salope comme ça,
on en trouve pas partout.
Samy a pris le relais de Philippe pour me baiser la bouche
tandis qu’Alain s’enfonce progressivement dans mon cul. Je suis pris en brochette
par ces deux bites qui me défoncent à des rythmes différents. Puis chacun
s’adaptent au rythme de l’autre et ils me baisent enfin en cadence.
Les deux hommes finissent par changer de place. Je suce
maintenant Alain. Il a une queue plus petite mais très large. Je le suce à fond
pendant que Samy met toute son ardeur à me baiser le cul comme si c’était sa
première enculade.
- Alors Samy, elle est bien serrée, sa chatte ?
- Putain, on est bien au chaud, là-dedans ! T'aimes
ça, la queue, hein, ma salope ?
- Oh là, Samy, dit Philippe. Tu la baises comme tu veux
mais c’est Ma salope, t’emballe pas trop quand même.
Ils éclatent de rire. Samy et Alain me baisent ainsi
pendant une demi-heure, en alternant à tour de rôle. Le premier finit par
décharger dans ma bouche. Alain continue de me baiser en me tenant par les
hanches. Philippe s’assoit sur le canapé à côté de Samy qui commence à
débander.
- Ouvre la bouche.
Je prends la queue volumineuse de Philippe en bouche. Il
me tient la tête avec une main et guide le rythme. Alain, derrière moi,
s’agrippe à mes hanches et s’enfonce complètement en moi pour se vider de son
jus. Il donne encore quelques coups de reins avant de se retirer.
- Regardez-la, dit Philippe. Une bonne salope qui tette la
bonne queue de son mec. Je la nourris au lait, cette femelle. Elle le mérite
bien.
Chacun des deux autres y va de ses commentaires en me
regardant sucer Philippe. Au bout de quelques minutes, je sens sa queue se
contracter et son jus déferler dans ma gorge.
- Oui ! Prend mon sperme, ma chérie ! Avale mon
jus ! Ouais, avale tout, salope !
J’avale son sperme jusqu’à la dernière goutte comme à mon
habitude. Je suis épuisé, la mâchoire me fait mal, mes genoux aussi. Les trois
hommes ont tous joui à volonté dans ma bouche et dans mon cul. Je sens que du
sperme coule le long de mes cuisses.
- C’est vraiment une bonne chienne que t’as là, dit Samy.
Mais bon, c'est pas tout ça mais il se fait tard, je dois rentrer chez moi.
Bobonne va encore me faire la gueule.
- Ouais, moi aussi. Merci Philippe, dit Alain.
Ils nous disent au revoir. Samy me met la main au cul en
précisant qu’on ne devrait pas tarder à se revoir. Philippe les raccompagne à
la porte puis revient dans le salon. Je me retrouve seul en face de lui.
- Va prendre une douche et rejoins-moi au le lit. Nu
évidemment…
Sous la douche, je me remémore la soirée. J'avais un peu
honte en repensant à l’épisode du restaurant, mais au fond de moi, j’avais
trouvé ça excitant. Je sors de la douche, m’essuie et rejoins Philippe dans sa
chambre. Il est déjà couché.
- Viens-là, ma chérie.
Il soulève la couette pour
m’allonger contre lui.
- C’est bien, t’as été une bonne femelle comme j’aime, ce
soir. Je suis fier de toi. Et pour aider à m'endormir, tu vas prendre ma queue dans
ta bouche et tu vas la garder au chaud toute la nuit. Je veux m’endormir comme
ça. Et pendant la nuit, si je me réveille, tu seras déjà en position pour me
sucer.
Ça n’en finira jamais…
- J’ai mal à la mâchoire, je ne
pourrai jamais garder la bouche ouverte toute la nuit.
- Dépêche-toi, salope !
Je ne suis qu’un objet sexuel pour lui. Je le sais alors à
quoi bon dire quoi que ce soit. Je me suis glissé entre ses jambes, la tête à
la hauteur de son bassin. J’avale sa queue. Il ne bande pas encore. Il relève
ses jambes pour le poser sur mon corps. Ses cuisses m’immobilisant, je ne peux
plus faire aucun mouvement.
- Voilà, comme ça. Tette bien.
Je suce sa queue sans faire de vrais mouvements. Je
commence à décontracter mon corps et à me laisser aller. Lui finit par
s’endormir sans jouir, la queue raide au fond de ma gorge.