- 2003 -
Quand je me
présente à Serge, il est en train de rentrer son mobilier d'extérieur. Il
m'accueille avec un large sourire. Visiblement, il m'attendait. Il est bientôt
trois heures du matin et j’accuse un grand coup de fatigue.
Il me propose de
m'installer à l'intérieur à une table le long du mur. Je m'assois et l'observe
empiler ses chaises, porter ses tables et ses parasols. Je détaille rapidement
son physique, chemise blanche, les manches retroussées sur des avant-bras
légèrement poilus. Ventre plat, un jeans bleu foncé taille basse avec une
grosse ceinture. Les muscles du dos lui déforment la chemise à chaque fois
qu'il lève un paquet de chaises. Il revient avec une série de six chaises
empilées qui ne semblent pas lui peser. Il est sûrement plus fort que son
physique fin ne le laisse supposer.
Il passe devant
moi et va poser ses chaises dans un coin du bar. En revenant, il prend un verre
et me propose de trinquer avec lui. J'accepte ; il me sert alors une
triple dose de Whiskey. Il s'en prend un aussi qu'il descend cul sec en me faisant
un clin d’œil.
- C'est pour
nous échauffer un peu et te donner du courage, tu vas en avoir besoin. Question
sexe, je suis très chaud comme mec. Bois-le d'un coup. Ça va te faire du
bien !
Au moins, il
est direct. Je savais pour quelle raison Philippe m’a demandé de venir voir cet
homme aussi tard à son boulot, mais c’est la première fois qu’un pote à lui
entre directement dans le vif du sujet dès la première rencontre. Je suis un
peu nerveux et je bois mon triple whisky d’une seule gorgée. Il me reprend le
verre et me sert la même dose en me disant de le déguster tranquillement le
temps qu'il finisse son service.
Il ne traine
pas à ranger le reste du mobilier. Je remarque que son jeans est déjà gonflé au
niveau de la braguette et il se déplace dos à la rue pour éviter d'être
remarqué. Il a une belle allure. Un petit côté macho dans la démarche qui ne me
déplait pas. Il revient avec un lourd parasol et, en croisant mon regard, il
s'arrête, enjambe le parasol et pousse le bassin en avant dans un mouvement
très évocateur.
- Bientôt ton
tour. Tu vas trinquer, mec !
Ses paroles
l'excitent. Il montre qu'il est un dominateur et, comme toujours, cette
attitude me fait un peu peur.
Il pose le
parasol dans un coin, va chercher rapidement les dernières chaises, baisse les
stores du café et en deux temps trois mouvements vient directement s'assoir sur
la table en face de ma chaise cuisses bien écartées, ajustant l'énorme excroissance
de son jeans. Je bois mon verre de whisky en ne perdant pas de vue cette bosse
pointée vers moi. Il m’enlève le verre des mains et le pose sur la table à côté
de sa cuisse musclée. Il m’attrape alors la tête et m’invite à venir frotter
mon nez et mes joues sur sa bosse. Je le regarde par dessous avec un regard de
soumission complète. Il répond par un sourire éclatant, quelque peu carnassier.
Il m’appuie la tête dans le creux de sa cuisse droite et resserre les jambes
pour m’emprisonner.
- Tu le sens
bien mon zob ? Tu sens ce que tu vas prendre ? On a tout le temps qu’il
faut. Plus personne ne va venir et personne m’attend chez moi.
Il écarte les
cuisses et me plaque sa braguette sur la bouche. Il ôte lentement sa chemise.
- Tout ce que
Philippe m’a dit sur toi m'a excité. J'y ai pensé toute la journée. Et je suis
pas du genre à faire durer les préliminaires alors enlève-moi le jeans !
L'effet du
whisky aidant, je frotte mon visage sur son entrejambe en admirant le torse qui
se contorsionne au-dessus de moi. La chemise vole sur la table voisine. Prenant
appui sur les bras, il s'installe confortablement sur la table, m'aidant par la
seule action de ses cuisses à mieux coller son jeans. L'odeur est bonne et chaude.
Son visage est radieux ; il me fixe en souriant, la bouche légèrement
entrouverte, la langue gourmande dépassant du bord de sa lèvre inférieure.
Je défais
chaque bouton de son jeans et laisse apparaître un slip blanc dans lequel est
moulée sa queue en pleine érection. Il me regarde faire. J’enfonce
voluptueusement la tête dans la masse moelleuse du sexe pour en évaluer la
rigidité. C'est mieux qu'en rêve et je commence à bander. En réaction, il serre
les cuisses sur ma tête et se tend de plaisir accentuant la compression de son
engin entre la boucle de son ceinturon et mon visage. Je sens son corps vibrer
et son pénis prêt à faire éclater l’élastique du slip.
- Allez !
Tombe-moi le jeans ! Vite ! Je tiens plus !
J’ai le visage
écrasé sur le tissu au niveau de ses couilles. Avec une marque d’impatience,
ses mains rejoignent les miennes pour m’aider. Le contact de sa peau me plait.
Il se soulève en s’aidant d’une main et m’aide avec l’autre à baisser son jeans
jusqu’aux cuisses. Toujours assis sur la table, il s'aide de ses bras musclés
pour me ramener la face directement sur son érection. En prenant appui avec ses
jambes sur le banc sur lequel je suis assis, il fait reculer la table pour se
mettre debout face à moi. Il m'écrase de nouveau son slip sur la figure. Les à-coups qu'il donne sur ma tête aide son jeans à glisser le long de ses jambes.
Grâce au jeu de
miroirs du bar, je peux voir du coin de l’œil la scène. Il est debout arcbouté,
une main derrière le dos, cuisses tendues, regard pointé vers ma tête,
s'appliquant à me presser son slip sur le visage. Il montre un grand sourire. Son
pénis qui roule sur ma face se fraie tranquillement un passage vers la sortie. Son
gland rosé apparait en me caressant le front. Il le presse fortement pour le
décalotter à fond. Il ramène ses mains sur ma tête et me positionne les narines
dessus. L'odeur de mâle est excitante. Il prend plaisir de ma soumission,
rabaissant son slip à mi-cuisse et m'enjambe la tête de façon à me coincer la
face dans son entrejambe, le nez dans les poils de ses testicules odorants. Son
érection enfin libérée est tendue dans le prolongement de mes yeux. Il me regarde
satisfait.
- T'aimes ça
l'odeur du mâle au travail, hein ? Profites-en, je vais te malaxer
quelques minutes pour faire monter la sève !
Il me frotte
fermement ses couilles sur le visage en jouant des cuisses et en regardant les
miroirs autour de nous. Je succombe au mouvement du bassin qu'il m’impose. La
vue de son fessier, de ses cuisses en action et de son pénis tendu au-dessus de
ma tête me fait bander aussi. Je lui caresse le dos des cuisses et il se tend
de plaisir, la tête en arrière, les yeux fermés, amplifiant significativement
la cadence de ses mouvements.
Soudain un
puissant jet de sperme gicle au-dessus de ma tête et me retombe dans les
cheveux. S'écartant légèrement et campant sur les deux jambes, il pointe son
pénis humide sous mon nez.
- Ouvre la
bouche, y’en a encore !
Mais à peine
a-t-il prononcé ces mots qu’une deuxième giclée m’inonde la face.
Je refuse de le
sucer tout de suite pour m’essuyer le visage. Je suis plutôt impressionné par
l'engin qui cherche maintenant à me pénétrer la bouche. Je reçois sur ma joue
droite un troisième jet. Il rigole de me voir engluer dans son sperme.
- Fallait être
plus rapide, mon gars !
Il étale son
sperme sur le visage avec sa queue avant qu'il ne coule sur moi. Puis il
m’écrase de nouveau la tête sur son sexe. Le nez sur son pubis, je respire un
cocktail d'odeurs de sueur et de sperme frais. C'est savoureux. La queue bien
tendue, il décharge le reste de sa semence dans mon cou et dans l’encolure de
ma chemise.
Je trouve assez
surprenant d’éjaculer plusieurs jets avec autant d’intervalle, je n’avais
jamais vu ça. Ayant bien frotté mon visage contre son pubis, il me redresse la
tête et force le passage de ma bouche avec sa queue. Il en profite pour finir
de se déshabiller en prenant bien soin de ne pas laisser sa queue s’échapper de
ma bouche.
- Allez, suis-moi ! On va continuer dans la pièce en haut !
Et me prenant par
la main, il m'entraîne vers l'escalier. J'espère qu'il ne va pas, comme Laurent
l'autre fois, me faire monter à quatre pattes la tête serrée sur son sexe. Mais
non, il monte les quelques marches rapidement, me laissant admirer ses fesses
galbées et ses cuisses musclées.
Il m’entraine
vers le fond de la pièce. Il y a une dizaine de tables de réception. La pièce a
été refaite et richement décorée. Et ne ressemble en rien à ce que j’avais pu
voir la première fois. Nous passons une porte et nous arrivons dans une petite
chambre où se dresse un grand lit à baldaquin entouré de deux tables de
chevets, une grande armoire, une commode, et deux fauteuils sous les fenêtres
dont les rideaux ont été tirés. La chambre est également équipée d’une salle de
bain décorée des miroirs. Il me semble évident que la chambre a été aménagée
pour ses ébats.
- Allonge-toi
sur le lit, on va jouer sérieusement maintenant.
Je m’allonge et
le regarde évoluer dans la pièce. Il me lance un regard satisfait en se
touchant la queue pour tenter de retrouver une bonne érection. Il monte sur le
lit en ne me lâchant pas du regard. Il se positionne au-dessus de ma
tête et s'accroupit lentement en se branlant. Il me laisse admirer son sexe
qui retrouve en quelques secondes une taille plus que surprenante. Il
m'applique délicatement son gland sur la bouche et me caresse les lèvres avec
avant de forcer le passage et de s’y introduire presque entièrement. Je
n’arrive pas à prendre sa queue dans son entier, il me faut m’habituer à sa
taille, mais après quelques va-et-vient de sa part, je peux sentir les poils de
son pubis sur mon nez. Il se retire cependant plusieurs fois pour me laisser
reprendre ma respiration. A chaque pause, il me regarde droit dans les yeux, et
quand mes yeux croisent les siens, il revient enfourner sa queue jusque dans ma
gorge. Tout en restant en moi, il ajuste sa posture en avançant un peu et
écartant bien les jambes pour se mettre au bon niveau.
Puis il se
retire complètement et recule jusqu’à s’asseoir sur mon bassin. Il déboutonne ma
chemise et, posant ses mains loin de part et d'autre de mes hanches, il vient
déposer son pénis sur mon torse. Le contact de sa tige m'excite. Son corps nu
et musclé me recouvre de plus près et amorce de petits va-et-vient. Je sens sur
moi son corps en action, en appui sur les bras, les cuisses bien écartées pour
mieux presser son pénis sur mon torse.
Au fur et à
mesure que son pénis durcit, il commence à pousser des petits gémissements de
plaisir en accélérant le rythme. La tête redressée et les bras tendus, j’admire
tous les muscles de son torse et de ses épaules si bien dessinés dans l’effort.
Je peux également sentir ses fesses musclées caresser mon ventre. Ses cuisses
sont gonflées à bloc et il augmente sans cesse la pression contre mon buste.
Entre cette pression de côté et le poids de son corps sur moi, je commence à
avoir du mal à respirer. Ma tête disparait entre ses deux mains. Il se redresse
légèrement pour se rapprocher de mon visage. Assis sur ma poitrine, il pointe
son pénis sur ma bouche en faisant glisser de nouveau le gland sur mes lèvres
et mes narines. Ses testicules viennent frôler mon cou. Il se contorsionne au-dessus
de moi en observant ma réaction à l'insistance de la pression de son pénis sur
ma bouche. Il ponctue une poussée une peu plus forte en se mettant en position pour
faire des pompes.
- Allez !
Ouvre, mon mignon ! Suce-moi la queue !
Il commence alors
à faire des pompes au-dessus de moi, me labourant le visage de son sexe, et au
bout d'une dizaine de pompes, se couche sur moi en collant sa queue humide sur
mon visage. Je lèche ses couilles poilues et parvient à en prendre une en
bouche. Puis il glisse légèrement vers le bas en se frottant sur moi et
approchant imperceptiblement son gland de ma bouche. Je le saisis au passage et
commence à le sucer. Puis il s'enfonce très lentement, très doucement, jusqu’à ce que mon nez retrouve son
pubis, ses couilles plaquées sous mon menton.
Il me baise à
présent la bouche et je commence à saliver en essayant de suivre le rythme pour
ne pas étouffer, inspirant du nez à chaque remonter de l'engin. Bien installé
de cette posture au-dessus de moi, il se redresse et m'observe tout sourire en
enfonçant son pénis plus profondément. La cadence s'accélère et son visage se
crispe, bouche ouverte, au fur et à mesure que la tension augmente.
Soudain, il se
cabre et ramène ses deux mains sur ma tête. Il m'enfonce au plus profond de ma
gorge son pénis chaud et doux. J’ai le nez écrasé dans son pubis en sueur. Je
l’entends alors râler au même moment qu’une série de giclée de sperme m’inonde
la gorge. Le goût est amer et j’ai du mal à l’avaler.
Il relâche enfin
son étreinte et s’assoit sur mon torse. Son pénis encore en partie dans ma
bouche, il me regarde en souriant chaleureusement.
La sueur luit
sur sa peau. Sa respiration est rapide. Il sent bon et rayonne de plaisir. Il
me félicite de ma prestation, mais je n’ai pas le sentiment d’avoir fait
grand-chose. Je le trouve beau, là, au-dessus de moi. Je continue de sucer son
pénis et je garde encore quelques minutes son gland en bouche. Je ne perds pas
une goutte de sa semence. Puis il relâche enfin sa musculature et se laisse
tomber de tout son long à côté de moi.
Nous restons ainsi
une bonne vingtaine de minutes à communier et discuter des fantasmes de l’un et
de l’autre. Puis, sans prévenir, au milieu d’une phrase, il m’enjambe la tête
et s'assoit au bord du lit. J’observe son dos musclé ; c'est un bel
athlète. Il me regarde de côté et me dit qu'il va être temps de nous séparer.
Il se lève, se rhabille lentement en m'invitant à faire de même. Il est poli
mais directif. Il me raccompagne à la porte et, tout en me serrant la main, m'invite
à revenir le voir souvent.
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